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  • Le juste est sauvé difficilement
    La Tour de Garde 1957 | 15 août
    • Jusqu’à la dernière minute, il y a grand danger que nos cœurs soient attirés et entraînés par certaines choses laissées derrière nous, avantages de ce monde sans valeur véritable, haute position, meilleurs salaires, plus de plaisirs, de repos, en un mot : matérialisme. “ Rappelez-​vous la femme de Lot ” ! “ Ne retourne(z) pas en arrière ” ! Hâtez-​vous, toujours dans la même direction, en vous éloignant de plus en plus de ce vieux monde ! — Zach. 3:2 ; II Pierre 2:7 ; Gen. 19:15-17 ; Luc 17:31, 32, Jé.

      Ne nourrissez aucun désir pour la manière de vivre de ce monde ; ce serait en effet considérer à la légère la bonté imméritée de Jéhovah et manquer à son dessein. Cela nous mettrait dans la classe des pécheurs, et “ si le juste est sauvé difficilement, où paraîtra l’impie et le pécheur ? ” Ils ne paraîtront pas. Ils disparaîtront dans l’oubli au point culminant du jugement à Harmaguédon. Tandis que, selon la volonté de Jéhovah, son peuple de bonne volonté sera pris par la main et éloigné précipitamment de la scène de ce vieux monde, maintenant sur le point de subir son changement le plus extraordinaire de tous, que ferez-​vous ? Continuez à regarder dans une seule direction, celle de la délivrance. Ressemblez à Paul en concentrant votre attention sur cette seule ligne de conduite. Laissez derrière vous tout ce qui appartient à ce vieux monde, défendez énergiquement les intérêts du monde nouveau et occupez-​vous-​en entièrement. — II Cor. 6:1 ; I Pierre 4:18, Da ; Phil. 3:13.

      En qualité de soldats chrétiens, engagés dans la plus noble des causes pour lesquelles on ait combattu, nous sommes invités à prendre notre part, en supportant le mal, en endurant avec patience les rigueurs du combat qui se poursuit, jusqu’à la fin véritable. Alors, et alors seulement nous obtiendrons notre salut. C’est ce qu’il faut entendre par “ sauvé difficilement ”. Comme il est donc vital de nous identifier continuellement et étroitement avec l’“ homme droit ” de Jéhovah et la société du Monde Nouveau ! N’abandonnez pas le rassemblement de vous-​même, vous exhortant réciproquement à l’amour, à l’amour profond, et aux bonnes œuvres Ne pensez pas que vous pouvez en prendre à votre aise, même pour un moment. Gardez la précieuse position de service avec laquelle vous avez été honoré par le Roi du monde nouveau. Conservez l’armure de Dieu et continuez à manier avec vigueur l’épée de l’esprit. C’est ainsi que nous pouvons être sauvés à travers la “ fin accomplie de toutes choses ”, difficilement mais bien sauvés, et notre salut glorifiera la puissance et le nom de Jéhovah, notre Dieu. — II Tim. 2:3 ; Mat. 24:13 ; Héb. 10:24, 25.

  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1957 | 15 août
    • Questions de lecteurs

      ● Pourquoi Matthieu et Luc donnent-​ils la généalogie de Jésus d’une manière différente ? Matthieu (1:1-16) désigne Jacob comme étant le père de Joseph, “ l’époux de Marie, de laquelle est né Jésus ”, tandis que selon le récit de Luc 3:23-38 Joseph était “ fils d’Héli ”. — J. C., États-Unis.

      Deux autorités au moins résolvent la difficulté d’une manière acceptable en expliquant que Luc suit la descendance naturelle de Jésus par Marie, sa mère selon la chair et ses ancêtres, tandis que Matthieu cite l’arbre généalogique légal de Jésus par Joseph et ses ancêtres. Si nous comparons ces deux généalogies en commençant par les inscriptions les plus anciennes, l’explication susmentionnée nous aide à comprendre pourquoi elles se séparent après David, le récit de Matthieu nous donnant celle qui passe par Salomon, fils de David, alors que Luc mentionne celle qui passe par Nathan, fils de David, et pourquoi, après s’être réunies brièvement avec Salathiel et Zorobabel, elles se séparent de nouveau et forment deux lignes différentes. Matthieu termine avec Jacob, le père de Joseph, et Luc termine par Héli qui était le père de Marie, la mère selon la chair de Jésus. — The Westminster Dictionary of the Bible (Édition révisée de 1944, page 198, colonne 1) ; Mc Clintock and Strong’s Cyclopædia (1882, tome III, page 773, colonne 2).

      Pourquoi Luc omet-​il Marie et cite-​t-​il Joseph en tant que “ fils d’Héli ” ? La Cyclopædia mentionnée ci-dessus dit à la page 773, colonne 2 : “ En établissant leurs tableaux généalogiques les Juifs tenaient, comme on le sait, exclusivement compte des hommes. C’est ainsi que, lorsque le sang du grand-père passait à son petit-fils par une fille, ils rejetaient le nom de la fille et considéraient le mari de cette fille comme fils du grand-père du côté maternel (Nomb. 26:33 ; 27:4-7). ” En harmonie avec cette règle, le nom de Joseph remplace celui de Marie dans le récit de Luc, bien que la généalogie suive la ligne de Marie. La Cyclopædia voit dans la rédaction même du récit de Luc une confirmation de cette pensée et dit à la page 774, colonne 1 : “ L’évangéliste Luc fait intentionnellement la différence entre la généalogie réelle et la généalogie légale par une remarque entre parenthèses : “ Jésus était (comme on le pensait) fils de Joseph, (mais en réalité) fils d’Héli ” ou son petit-fils du côté maternel. ” — Luc 3:23.

      Mais pourquoi y a-​t-​il deux généalogies alors qu’une suffirait et que des différences entre elles peuvent susciter la confusion ? N’oublions pas que les premiers lecteurs des récits de Matthieu et de Luc connaissaient certainement les détails susmentionnés, de sorte que les deux généalogies n’avaient rien de troublant pour eux, pas plus que pour le lecteur moderne qui est familiarisé avec les détails. De plus, bien que certaines gens les trouvent insipides et ennuyeuses, les généalogies servent souvent un dessein fort important. La généalogie du Messie ou du Christ revêt évidemment une importance particulière car les prophéties montrent on ne peut plus clairement que sa ligne de descente devait passer par les patriarches Abraham, Isaac, Jacob et par le bien-aimé roi David. Les interrogeant à ce sujet, Jésus posa cette question aux pharisiens : “ Que pensez-​vous du Christ ? De qui est-​il fils ? ” Ils répondirent : “ De David. ” (Mat. 22:42). La messianité de Jésus devait être prouvée par sa généalogie.

      Par conséquent, il est raisonnable d’admettre que Matthieu et Luc, qui tous deux écrivirent sous la direction de l’esprit de Jéhovah, voulaient établir la descendance du Messie d’une façon absolument certaine. Comme nous le constatons en lisant seulement les quelques versets de Matthieu 2:1-18, Matthieu fait constamment allusion aux prophéties réalisées par le Christ. Lorsque Luc adressa son rapport à l’“ excellent Théophile ”, il ne le fit pas dans le dessein de répéter simplement quelque chose. Il fit “ des recherches exactes sur toutes ces choses depuis leur origine, (afin) de te les exposer par écrit d’une manière suivie ”, pour que Théophile soit persuadé des choses qui lui avaient été enseignées oralement (Luc 1:1-4). Pour atteindre ce but, Luc ne pouvait faire mieux que de compléter le récit de Matthieu contenant la généalogie légale de Jésus passant par Joseph, son père nourricier — par un autre récit montrant sa descendance naturelle ou selon la chair et dont le dernier maillon était la vierge Marie, et cela d’autant plus que les deux tables généalogiques montrent Jésus descendant d’Abraham, d’Isaac, de Jacob et — ce qui est d’importance primordiale — de David. Les deux récits représentent donc “ deux témoins ” rendant doublement certaine la messianité de Jésus. — Deut. 19:15.

      D’autres renseignements à ce sujet se trouvent dans The Watchtower du 1er juillet 1950, page 208 ; de plus le livre “ Le Royaume s’est approché ” contient aux pages 37-40 une comparaison des deux listes généalogiques.

      ● Le récit selon lequel les habits des Israélites ne s’usèrent pas pendant les quarante ans qu’ils passèrent dans le désert doit-​il être pris au sens littéral ou doit-​on comprendre que leurs réserves en habits ne s’épuisaient pas ? — R. H., États-Unis.

      Dans Deutéronome 8:3, 4 (Jé) il est écrit : Jéhovah “ t’a donné à manger la manne que ni toi ni tes pères n’aviez connue, pour te montrer que l’homme ne vit pas seulement de pain, mais que l’homme vit de tout ce qui sort de la bouche de Yahvé. Le vêtement que tu portais ne s’est pas usé, ta sandale ne s’est pas usée et ton pied n’a pas enflé, au cours de ces quarante ans ! ” Le fait de fournir la manne était un miracle constant, il en est de même des habits qui ne s’usaient pas. En effet, il s’agissait bien d’un miracle. Si les provisions avaient simplement été renouvelées, il n’y aurait pas lieu de croire à un miracle. Le récit

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