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JocdéamAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JOCDÉAM
{Article non traduit.}
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JoélahAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JOÉLAH
{Article non traduit.}
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JoézerAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JOÉZER
{Article non traduit.}
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JogbéhahAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JOGBÉHAH
{Article non traduit.}
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JogliAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JOGLI
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JohaAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JOHA
{Article non traduit.}
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JohananAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JOHANAN
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JoïadaAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JOÏADA
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JoïakimAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JOÏAKIM
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JoïaribAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JOÏARIB
{Article non traduit.}
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JoieAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JOIE
Émotion provoquée par l’attente d’un événement heureux ou par l’obtention d’une chose agréable; bonheur; exultation. Les termes hébreux et grecs traduits dans la Bible par “joie”, “exultation” et “allégresse” comportent de multiples nuances et représentent plusieurs degrés de joie; ils évoquent des notions aussi diverses que la gaieté, un sujet ou une occasion de joie, la danse (parce qu’elle est quelquefois signe de joie), les trépignements qui accompagnent une sensation très agréable, la jubilation ou l’action de sauter de joie avec exubérance, ainsi que le fait de se glorifier ou de se vanter (de quelque chose).
Jéhovah est appelé le “Dieu heureux”. (I Tim. 1:11.) Il crée et travaille avec joie, pour son propre plaisir comme pour celui de ses créatures, et il se délecte de ses œuvres (Ps. 104:31). De même, il désire que ses créatures apprécient ce qu’il fait pour elles et qu’elles retirent de la joie de leur propre travail (Eccl. 5:19). Puisque tout ce qui est bon vient de lui (Jacq. 1:17), c’est en apprenant à le connaître que toutes ses créatures intelligentes, hommes ou anges, éprouvent la plus grande satisfaction qui soit. — Ps. 64:10; 104:34; Jér. 9:23, 24; Phil. 4:4.
En vertu des relations intimes qu’il entretient avec Jéhovah, Jésus Christ est celui qui le connaît le mieux (Mat. 11:27). C’est pourquoi il est à même d’expliquer son Père à ses disciples (Jean 1:18). Rien d’étonnant donc à ce que Jésus soit joyeux. De fait, il est qualifié d’“heureux et unique Détenteur du pouvoir souverain”. (I Tim. 6:14, 15.) Son amour pour Dieu le pousse à faire toujours ce qui plaît à son Père (Jean 8:29). Ainsi, lorsque Jéhovah lui confia la mission de venir sur terre pour souffrir et mourir afin de justifier son nom, “en vue de la joie qui lui était proposée, il endura un poteau de supplice, méprisant la honte”. (Héb. 12:2.) Qui plus est, il éprouvait un profond amour pour les humains, qui constituaient pour lui un sujet de joie. — Prov. 8:30, 31.
Les serviteurs de Jéhovah peuvent réjouir son cœur, à condition de lui rester fidèles. Satan le Diable, quant à lui, n’a cessé de contester la légitimité de la domination divine et l’intégrité de tous ceux qui servent Dieu (Job 1:9-11; 2:4, 5; Rév. 12:10). C’est donc à ces derniers que s’adressent les paroles suivantes: “Sois sage, mon fils, et réjouis mon cœur, pour que je puisse répondre à celui qui me provoque.” (Prov. 27:11). Oui, Dieu ressent de la joie quand il constate la fidélité de ses serviteurs terrestres. — És. 65:19; Soph. 3:17.
Puisque Jéhovah est la Source de la joie et qu’il veut voir son peuple se réjouir, la joie fait partie intégrante du fruit de son esprit saint (Gal. 5:22, 23; I Thess. 1:6). Paul rappela aux chrétiens de Rome que le Royaume de Dieu n’appartient pas au monde matériel. Dès lors, nul ne devrait trébucher à cause de ce que quelqu’un mange ou boit, ni juger son frère pour de tels motifs, “car le Royaume de Dieu ne signifie pas manger et boire, mais il signifie justice, paix et joie avec de l’esprit saint”. — Rom. 14:17.
La joie véritable réside dans le cœur, et elle peut s’avérer bénéfique pour l’organisme tout entier. “Un cœur joyeux a un bon effet sur le visage” et “fait du bien comme remède [“fait du bien au corps”, NW, éd. de 1957, note en bas de page]”, déclare le sage rédacteur des Proverbes. — Prov. 15:13; 17:22.
LA JOIE QUE PROCURE LE SERVICE DE DIEU
Les commandements que Jéhovah donne à ses serviteurs ne sont pas pesants (I Jean 5:3). Dieu désire en effet que ceux-ci soient heureux de le servir. Au temps où ils formaient le peuple de Dieu, les Israélites devaient se réjouir lors des fêtes saisonnières qu’il avait instituées ainsi que dans d’autres aspects de leur vie et de leur culte (Lév. 23:40; Deut. 12:7, 12, 18). Il convenait aussi qu’ils parlent de leur Dieu avec allégresse (Ps. 20:5; 51:14; 59:16). Du reste, s’ils ne le servaient pas avec joie de cœur, cela révélerait que leur cœur était mauvais, qu’ils manquaient de reconnaissance pour la bonté de cœur et la bienveillance divines. C’est pourquoi Dieu les avertit de ce qui leur arriverait s’ils lui désobéissaient et s’ils ne prenaient pas plaisir à le servir. — Deut. 28:45-47.
Le chrétien, pour sa part, devrait retirer tout autant de joie de son service pour Dieu. Si tel n’était pas le cas, cela trahirait un manque de gratitude (Ps. 100:2). “La joie de Jéhovah est votre forteresse”, déclara jadis l’un des fidèles serviteurs de Dieu (Néh. 8:10). D’ailleurs, la bonne nouvelle que les chrétiens proclament fut présentée par l’ange de Dieu comme “la bonne nouvelle d’une grande joie qu’aura tout le peuple”. (Luc 2:10.) Le privilège de porter le nom de Jéhovah et la vérité renfermée dans la Bible devraient être des sujets de joie pour les témoins de Dieu. — Voir Jérémie 15:16.
De plus, les justes décisions judiciaires de Jéhovah, décisions qui sont appliquées dans la congrégation chrétienne et dans la vie des disciples, constituent autant de raisons de se réjouir, surtout à une époque où le monde bafoue la justice et l’équité (Ps. 48:11). D’autre part, l’espérance ineffable qui est proposée aux chrétiens est indiscutablement pour eux un motif d’allégresse (“Réjouissez-vous dans l’espérance.” — Rom. 12:12; Prov. 10:28). Leur salut est pour eux une cause de jubilation (Ps. 13:5). Par ailleurs, le serviteur de Dieu se réjouit aussi en ceux qu’il aide à connaître et à servir Jéhovah (Phil. 4:1; I Thess. 2:19). Enfin, l’une de ses plus grandes joies consiste à se réunir et à collaborer avec les autres membres du peuple de Dieu. — Ps. 106:4, 5; 122:1.
La persécution — un sujet de joie
Certes, la persécution n’a rien d’agréable en elle-même. Cependant, le chrétien qui garde son cœur peut l’envisager avec joie, car s’il l’endure en demeurant intègre, il remportera une victoire. En outre, Dieu soutiendra celui qui lui reste fidèle (Col. 1:11). L’endurance d’un tel homme démontre qu’il jouit de l’approbation divine. Jésus déclara même que le chrétien devrait ‘bondir de joie’ lorsqu’on l’outrage ou qu’on le persécute. — Mat. 5:11, 12; Jacq. 1:2-4; I Pierre 4:13, 14.
D’AUTRES JOIES QUI PROCÈDENT DE DIEU
Jéhovah a octroyé aux humains une multitude d’autres joies qu’ils peuvent savourer jour après jour. Citons le mariage (Deut. 24:5; Prov. 5:18), le fait d’être le père ou la mère d’un enfant juste et sage (Prov. 23:24, 25), la nourriture (Eccl. 10:19; Actes 14:17), le vin (Ps. 104:14, 15; Eccl. 10:19) et l’extraordinaire diversité de sa création. — Jacq. 1:17; I Tim. 6:17.
DES JOIES FAUSSES OU ÉPHÉMÈRES
Jésus parla de certains individus qui entendraient la vérité et l’accueilleraient avec joie, sans toutefois en comprendre le sens véritable. Ils ne laisseraient pas la parole s’enraciner dans leur cœur et, partant, ils perdraient leur joie et trébucheraient dès qu’une tribulation ou une persécution surviendrait à cause de la parole (Mat. 13:20, 21). D’autre part, les joies fondées sur le matérialisme sont fausses, blâmables et de courte durée. Quant à celui qui exulte du malheur d’autrui, fût-ce de son ennemi, il devra répondre de son péché devant Jéhovah (Job 31:25-30; Prov. 17:5; 24:17, 18). Le jeune homme qui “se réjouit dans sa jeunesse” en cédant aux “désirs propres à la jeunesse” se comporte également en insensé (Eccl. 11:9, 10; II Tim. 2:22). Pareillement, quiconque aime les divertissements en pâtira (Prov. 21:17; Eccl. 7:4). Et même le chrétien qui exulte en se comparant aux autres s’égare. Il devrait plutôt constater ce qu’est son œuvre personnelle pour avoir sujet d’exulter par rapport à lui seul. — Gal. 6:4.
UNE JOIE ÉTERNELLE
Jéhovah avait promis de rétablir son peuple Israël, qui avait été déporté à Babylone. Effectivement, il ramena les Israélites à Jérusalem en 537 avant notre ère, et ceux-ci se réjouirent grandement lorsque furent posées les fondations du temple (És. 35:10; 51:11; 65:17-19; Esdras 3:10-13). Cependant, la prophétie d’Ésaïe (65:17) devait, selon toute vraisemblance, se réaliser d’une façon plus complète encore lors de l’instauration d’‘un nouveau ciel et d’une nouvelle terre’ grâce auxquels tous les humains se réjouiraient à jamais à l’ombre de la “Nouvelle Jérusalem”. — Rév. 21:1-3.
Dans l’état de choses actuel, la méchanceté, la maladie et la mort ne nous permettent pas de goûter une joie sans mélange. Toutefois, conformément à la règle biblique selon laquelle “un roi sage disperse les méchants”, Jésus Christ, le Roi divinement établi, fera disparaître tous les ennemis de Dieu et de la justice (Prov. 20:26; I Cor. 15:25, 26). C’est ainsi que tout ce qui trouble la joie des hommes disparaîtra, car même “la mort ne sera plus; ni deuil, ni cri, ni douleur ne seront plus”. (Rév. 21:4.) La résurrection dissipera totalement les chagrins occasionnés par la mort. Pareille perspective réconforte d’ores et déjà les chrétiens. Grâce à elle, ceux-ci ne s’affligent plus “comme les autres qui n’ont pas d’espérance”. — I Thess. 4:13, 14; Jean 5:28, 29.
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JokébèdAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JOKÉBÈD
(“Jéhovah est gloire”).
Fille de Lévi qui épousa Amram, Lévite lui aussi; mère de Miriam, d’Aaron et de Moïse (Ex. 6:20; Nomb. 26:59). Jokébèd était une femme de foi qui mettait sa confiance en Jéhovah, son Dieu. Elle passa outre au décret de Pharaon en refusant de tuer son bébé, qui reçut plus tard le nom de Moïse. Au bout de trois mois, comme elle ne pouvait plus le garder chez elle, elle le plaça dans une arche de papyrus et le déposa parmi les roseaux près de la rive du Nil. La fille de Pharaon trouva le bébé et voulut le garder, mais les choses se passèrent de telle manière qu’elle demanda à la propre mère de Moïse d’allaiter le nourrisson. Tandis que le garçon grandissait, Jokébèd et son mari enseignaient avec beaucoup d’assiduité à leurs enfants les principes du culte pur, ce qui ne manqua pas d’exercer plus tard une influence sur leur vie. — Ex. 2:1-10.
D’après le texte massorétique, Jokébèd était la sœur de Kohath, père d’Amram; autrement dit, Amram épousa sa tante, ce qui n’était pas illicite en ce temps-là (Ex. 6:18, 20). Cependant, certains exégètes croient que Jokébèd était la cousine d’Amram plutôt que sa tante. C’est en effet ce qu’indique la Septante, ainsi que la Peschitto syriaque et la tradition juive. Voici par exemple ce qu’on peut lire en Exode 6:20: “Amram prit pour femme Jochabed, fille du frère de son père.” (LXX, P. Giguet). “Amram prit pour femme Jochabed, fille de son oncle paternel.” (Glaire). “Amram épousa Jochabed, fille de son oncle paternel.” (Lemaistre de Saci). À propos de l’expression “la sœur de son père”, la Bible de Rotherham donne cette précision dans une note en bas de page: “Prob[ablement] un membre féminin de la famille de son père.” Dans son Commentary, Thomas Scott déclare: “D’après la Septante et la tradition juive, Jokébèd était la cousine et non la tante d’Amram.” Clarke (Clarke’s Commentary) fait cette remarque: “Les meilleurs critiques estiment que Jokébèd était la cousine germaine d’Amram, et non sa tante.” Lorsque Nombres 26:59 dit que Jokébèd était la “fille de Lévi”, il faut peut-être comprendre qu’elle était sa “petite-fille”, car dans beaucoup d’autres passages des Écritures le mot “fils” est employé pour désigner un “petit-fils”. Fenton explique que l’hébraïsme ‘née à Lévi’, dans le même verset, “ne signifie pas à Lévi lui-même; il s’agit simplement d’une personne issue de sa tribu. Vu le temps qui s’est écoulé, il est impossible qu’elle [Jokébèd] ait été la fille de Lévi lui-même”.
Par contre, si le texte massorétique est correct en Exode 6:20, et si Jokébèd était vraiment la tante d’Amram et non sa cousine, les problèmes chronologiques épineux qui s’ensuivent pourraient être résolus de la manière suivante:
Léa épousa Jacob en 1774 avant notre ère et Lévi, son troisième enfant, naquit vers 1771 (Gen. 29:21-23, 32-34). Quand Lévi vint en Égypte, en 1728, il devait donc avoir environ quarante-trois ans et était père de trois fils, dont Kohath (Gen. 46:8, 11). À cette époque, sa femme pouvait n’avoir que quinze ans. Lévi mourut en 1634 avant notre ère, à l’âge de 137 ans (Ex. 6:16). Il a très bien pu engendrer Jokébèd une dizaine ou une vingtaine d’années avant cette date. Si Jokébèd est née dix ans avant la mort de son père, soit en 1644, elle avait seulement cinquante et un ans à la naissance de Moïse, en 1593. (Lorsque les Israélites sont sortis d’Égypte, en 1513 avant notre ère, Moïse avait quatre-vingts ans. — Actes 7:23, 30.) Et la mère de Jokébèd? Si elle était aussi la mère de Kohath et si elle n’avait que quinze ans lors de l’entrée en Égypte, elle aurait eu quatre-vingt-dix-neuf ans en 1644, année où Jokébèd aurait pu naître. Elle aurait donc largement passé l’âge de mettre au monde des enfants. (À quatre-vingt-neuf ans, Sara avait cessé d’avoir ses règles. — Gen. 17:17; 18:11.) Ainsi, il est possible que Lévi ait été le père de Jokébèd. Par contre, la mère de Jokébèd était nécessairement une femme plus jeune que la mère de Kohath. Dans ce cas, tout en n’étant que la demi-sœur de Kohath, Jokébèd aurait été la tante d’Amram.
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JokimAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JOKIM
{Article non traduit.}
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JonadabAuxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
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JONADAB
(“Jéhovah est généreux” ou “Jéhovah encourage”).
1. Neveu de David; fils de Schiméah, son frère. Jonadab était un “homme fort et sage”, mais rusé et astucieux. Après avoir incité Amnon, fils de David, à lui révéler sa passion pour Tamar, sa demi-sœur, Jonadab lui proposa le stratagème qui conduisit Amnon à la violer. Quand Absalom, frère de Tamar, eut tué Amnon par vengeance, on rapporta à David qu’il avait tué tous les fils du roi, mais Jonadab était là pour lui donner l’assurance que seul Amnon était mort (II Sam. 13:3-5, 14, 22, 28-33). Jonadab est peut-être le “Jonathan” de II Samuel 21:21 et de I Chroniques 20:7.
2. Fils de Récab; compagnon du roi Jéhu. Sa rencontre avec Jéhu ne fut pas fortuite, car, de sa propre initiative, Jonadab “venait au-devant de lui”. En retour, il reçut la bénédiction de Jéhu. Les événements montrèrent que Jonadab approuvait la décision de Jéhu d’éliminer complètement le culte de Baal en Israël. À chaque proposition de Jéhu, Jonadab répondit rapidement par l’affirmative. “Ton cœur est-il droit envers moi?” demanda Jéhu. “Il l’est”, répondit Jonadab. “Donne-moi ta main”, dit Jéhu. Jonadab lui donna donc sa main. Une fois que Jonadab fut sur le char de Jéhu, celui-ci lui dit: “Viens avec moi et vois que je ne tolère aucun acte de rivalité contre Jéhovah.” Une fois de plus, Jonadab exprima son accord. Finalement, quand ils allèrent à Samarie et que tous les adorateurs de Baal furent rassemblés, Jonadab ne rebroussa pas chemin. Il accompagna Jéhu dans la maison de Baal et resta à ses côtés pendant le massacre qui suivit. Jéhu, quant à lui, démontra son entière confiance en Jonadab. — II Rois 10:15-28.
Presque trois cents ans plus tard, Jérémie, dirigé par Jéhovah, cita en exemple les Récabites, descendants de Jonadab, pour leur fidélité aux ordres de leur ancêtre, laquelle tranchait avec la désobéissance dont le peuple de Juda et de Jérusalem faisait preuve envers Dieu. Jonadab avait ordonné aux Récabites de vivre dans des tentes, de ne rien semer, de ne pas planter de vigne et de ne pas boire de vin. Quand Jérémie leur offrit du vin, ils refusèrent en se référant au commandement de Jonadab, leur ancêtre. À cause de leur fidélité, Jéhovah
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