tout accès auprès de lui pour que la prière ne passe pas (3:40-45).

D. Rappel des oppressions endurées (3:46-54).

E. Il implore Jéhovah, confiant que celui-ci écoutera (3:55-58).

F. Il exprime sa foi dans la justice de Jéhovah et dans la rétribution des ennemis haineux (3:59-66).

IV. Détresse consécutive au siège et à la captivité (4:1-22).

A. La gloire du temple s’est ternie, les “fils” de Sion sont de peu de valeur, et la soif et la famine règnent (4:1-5).

B. La punition pour le péché est plus grande que celle de Sodome; l’aspect des Naziréens “est devenu plus sombre que le noir”, et la famine a amené les femmes à manger leurs propres enfants (4:6-10).

C. Jéhovah a déversé sa colère, de sorte que Sion est dévorée par le feu, une chose incroyable pour les habitants du pays (4:11, 12).

D. Les prophètes et les prêtres sont responsables du sang versé (4:13-16).

E. On ne peut attendre le salut de la part des hommes (4:17).

F. Les ennemis continuent à se montrer sans miséricorde; même le roi issu de David a été capturé (4:18-20).

G. Qu’Édom exulte maintenant! Sion a payé pour sa faute, mais Édom va devoir répondre de ses péchés (4:21, 22).

V. Requête est faite à Jéhovah pour que soient levées la désolation et la captivité (5:1-22).

A. Que Jéhovah se souvienne de son peuple ‘orphelin’! (5:1-5.)

B. Les Israélites ont donné la main à l’Égypte et à l’Assyrie pour avoir du pain, et ils ont dû porter les fautes de leurs ancêtres (5:6, 7).

C. De simples serviteurs dominent sur eux; les épouses et les vierges, les princes, les vieillards et les jeunes gens ont été humiliés; leur cœur est malade à cause de cet état de choses (5:8-18).

D. Ils supplient Jéhovah de les ramener vers lui, bien qu’il les ait rejetés avec indignation (5:19-22).

Voir le livre “Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile”, pp. 123-125.

LAMPE

Récipient utilisé pour produire de la lumière artificielle. On y brûle des liquides inflammables, telle que l’huile, à l’aide d’une mèche qui s’imprègne de liquide par capillarité et alimente ainsi la flamme. Autrefois, les mèches étaient en lin (És. 42:3; 43:17; Mat. 25:1-4), en jonc décortiqué ou en chanvre. Dans les anciennes lampes on brûlait habituellement de l’huile d’olive (Ex. 27:20) et quelquefois de la térébenthine.

Les lampes domestiques étaient généralement en terre cuite, mais on a également découvert des lampes de bronze en Palestine. La lampe cananéenne commune avait la forme d’une soucoupe au fond incurvé et au rebord vertical. Ce rebord était légèrement pincé à un endroit, là où sortait la mèche. Il l’était parfois à quatre endroits, ce qui permettait d’utiliser quatre mèches. On a même trouvé des lampes à sept becs.

Les lampes communément utilisées dans les foyers ou dans d’autres locaux étaient placées soit dans une niche aménagée dans le mur, soit sur une étagère accrochée au mur ou à une colonne. On les suspendait aussi au plafond au moyen d’une corde ou on les posait sur un pied d’argile, de bois ou de métal. Depuis ces porte-lampes la lumière pouvait rayonner dans toute la pièce (II Rois 4:10; Mat. 5:15; Marc 4:21). Des fouilles effectuées à Méguiddo ont mis au jour des lampes de bronze et des trépieds qui leur servaient de supports. Certaines lampes israélites en terre cuite comportaient un petit socle incorporé.

JÉHOVAH EST UNE LAMPE ET UNE SOURCE DE LUMIÈRE

Jéhovah est la source suprême de la lumière et de conseils. Après avoir été délivré de la main de ses ennemis et de Saül, David déclara: “Tu es ma lampe, ô Jéhovah, et c’est Jéhovah qui fait briller mes ténèbres.” (II Sam. 22:29). On trouve une expression un peu différente dans les Psaumes: “Tu allumeras toi-​même ma lampe, ô Jéhovah!” Là, Jéhovah est présenté comme celui qui allume la lampe avec laquelle David éclaire son chemin. — Ps. 18:28.

JÉSUS CHRIST

Dans la Nouvelle Jérusalem céleste que l’apôtre Jean vit en vision, “la nuit n’existera pas”, mais la lumière ne sera pas celle qui vient du soleil et de la lune. C’est la gloire de Jéhovah Dieu qui illuminera directement la ville, tout comme la nuée lumineuse que les Hébreux appelaient la Schékinah éclairait autrefois le Très-Saint dans le tabernacle et le temple (Lév. 16:2; voir Nombres 9:15, 16). L’Agneau, Jésus Christ, sera la “lampe” de cette “ville” qui répandra sa lumière spirituelle sur les nations, c’est-à-dire sur les habitants de la “nouvelle terre”, afin de les guider. — Rév. 21:22-25.

LES ROIS DE LA LIGNÉE DE DAVID

Jéhovah Dieu établit le roi David sur le trône d’Israël et celui-ci, grâce à la direction divine, guida et gouverna sagement la nation. C’est pourquoi il fut appelé “la lampe d’Israël”. (II Sam. 21:17.) Dans l’alliance pour le royaume qu’il conclut avec David, Jéhovah fit cette promesse: “Ton trône deviendra un trône solidement établi jusqu’à des temps indéfinis.” (II Sam. 7:11-16). Par conséquent, la dynastie davidique par son fils Salomon était comme une “lampe” pour Israël. — I Rois 11:36; 15:4; II Rois 8:19; II Chron. 21:7.

Quand le roi Sédécias fut détrôné et emmené captif à Babylone où il devait mourir, il semblait que cette “lampe” s’était éteinte. Mais Jéhovah n’avait pas renoncé à son alliance. Il interrompait simplement la domination royale “jusqu’à ce que vienne celui qui a le droit légal”. (Ézéch. 21:27.) Comme Jésus Christ, le Messie, le “fils de David”, est l’héritier de ce trône pour toujours, la “lampe” de David ne s’éteindra jamais. Jésus est par conséquent une lampe éternelle, en tant qu’il possède à jamais le Royaume. — Mat. 1:1; Luc 1:32.

LA PAROLE DE DIEU

Étant donné que ‘l’homme doit vivre, non pas de pain seulement, mais de toute déclaration qui sort de la bouche de Jéhovah’ (Mat. 4:4), les commandements de Dieu sont comme une lampe qui éclaire le chemin de ses serviteurs dans les ténèbres du présent monde. Le psalmiste déclara: “Ta parole est une lampe pour mon pied, et une lumière pour ma route.” (Ps. 119:105). De même, le roi Salomon écrivit: “Car le commandement est une lampe, et la loi est une lumière, et les réprimandes de la discipline sont le chemin de la vie.” — Prov. 6:23.

L’apôtre Pierre avait vu s’accomplir beaucoup de prophéties concernant Jésus Christ et il avait assisté personnellement à la transfiguration de ce dernier sur la montagne. Il put donc dire: “Aussi avons-​nous la parole prophétique rendue plus certaine, à laquelle vous faites bien de prêter attention comme à une lampe qui brille dans un lieu obscur, jusqu’à ce que vienne à poindre le jour et que se lève une étoile du matin, dans vos cœurs.” (II Pierre 1:19). Le chrétien était encouragé à prêter attention à la prophétie, dans son cœur. Comme le fit remarquer Pierre, il devait en faire pénétrer le sens non seulement dans son esprit, mais aussi dans son cœur; cette parole guiderait alors le chrétien en toute sûreté, “jusqu’à ce que vienne à poindre le jour et que se lève une étoile du matin”.

JEAN LE BAPTISEUR

En l’année 29 de notre ère, Jean, fils d’un prêtre du nom de Zacharie, vint, disant: “Repentez-​vous, car le royaume des cieux s’est approché.” (Mat. 3:1, 2; Luc 1:5, 13). Israël avait cessé d’obéir à la Loi, aussi Jean fut-​il envoyé pour prêcher la repentance et pour diriger le peuple vers l’Agneau de Dieu. Il vint “pour rendre témoignage de la lumière”, Jésus Christ (Jean 1:6, 7). Il parvint à ramener beaucoup des fils d’Israël à Jéhovah, leur Dieu (Luc 1:16). Aussi Jésus dit-​il à son sujet: “Celui-là était une lampe qui brûle et qui brille.” — Jean 5:35.

LES SERVITEURS DE DIEU

Jésus, qui était une lampe et une lumière, déclara à ceux qui faisaient profession d’être des serviteurs de Dieu: “Vous êtes la lumière du monde. Une ville ne peut être cachée quand elle est située sur une montagne. On allume une lampe pour la mettre, non pas sous le panier de mesure, mais sur le porte-lampe, et elle éclaire tous ceux qui sont dans la maison. Pareillement, que votre lumière brille devant les hommes, pour qu’ils voient vos belles œuvres et rendent gloire à votre Père qui est dans les cieux.” (Mat. 5:14-16). Le serviteur de Dieu devrait faire grand cas de la raison pour laquelle il a reçu la lumière, et comprendre que ce serait pure folie et désastreux pour lui s’il refusait de faire briller la lumière qui émane de lui, comme d’une lampe.

AUTRES EMPLOIS MÉTAPHORIQUES

Ce sur quoi nous comptons pour éclairer notre route est symbolisé par une lampe. Le livre des Proverbes utilise cette image pour mettre en contraste le juste et le méchant. Il déclare: “La lumière des justes se réjouira; mais la lampe des méchants — elle s’éteindra.” (Prov. 13:9). La lumière du juste éclaire de plus en plus. Par contre, aussi brillante que semble être la lumière du méchant et, par conséquent, aussi prospères que puissent paraître ses voies, Dieu fera en sorte que celui-là finisse dans les ténèbres, où son pied trébuchera à coup sûr. C’est ce qui attend quiconque appelle le mal sur son père et sa mère. — Prov. 20:20.

Lorsque ‘la lampe de quelqu’un s’éteint’, cela signifie aussi qu’il n’y a pas d’avenir pour lui. Le livre des Proverbes dit encore: “Il n’y aura pas d’avenir pour l’homme mauvais; et la lampe des méchants s’éteindra.” — Prov. 24:20.

Dans le discours où il insinue que Job dissimule quelque vice secret, Bildad dit au sujet du méchant: “Une lumière s’obscurcira assurément dans sa tente, et en elle sa propre lampe s’éteindra.” Et il ajoute peu après: “Il n’aura ni lignée ni postérité parmi son peuple.” Vu que Salomon est présenté comme une lampe que Dieu a donnée à David, son père, éteindre la lampe d’un homme peut signifier que celui-ci n’aura pas de progéniture à qui transmettre son héritage. — Job 18:6, 19.

L’ŒIL

Au sens figuré, notre œil est une “lampe”. Jésus déclara: “La lampe du corps, c’est l’œil. Si donc ton œil est sincère [simple, tourné dans une seule direction, bien réglé, généreux], tout ton corps sera lumineux; mais si ton œil est méchant, tout ton corps sera enténébré.” (Mat. 6:22, 23, NW, éd. 1950, note en bas de page). L’œil est comme une lampe parce que, grâce à lui, le corps peut se déplacer sans trébucher ou sans se heurter aux obstacles. Jésus, évidemment, pensait aux ‘yeux du cœur’ (Éph. 1:18), comme le montre le contexte.

L’ÉPOUSE

On laissait parfois des lampes allumées durant la journée pour pouvoir facilement ranimer le feu. Certaines brûlaient aussi toute la nuit. Lorsque Proverbes 31:18 déclare au sujet de l’épouse capable que “sa lampe ne s’éteint pas la nuit”, c’est peut-être une image pour dire qu’elle travaille diligemment la nuit et qu’elle se lève même avant l’aube pour reprendre sa tâche. — Voir Proverbes 31:15.

NOTRE SOUFFLE

Proverbes 20:27 déclare: “Le souffle de l’homme terrestre est la lampe de Jéhovah, fouillant soigneusement toutes les parties les plus retirées du ventre.” Ce qu’une personne “exhale”, que ce soient de bonnes ou de mauvaises paroles, révèle ou met en lumière sa personnalité la plus profonde. — Voir Actes 9:1.

[Illustration, page 890]

Deux vues d’une lampe ancienne trouvée à Tel en-Nasbé.

LANCE

Voir ARMES, ARMURE.

LANCE, II

{Article non traduit.}

LANCIERS

Dans l’Antiquité, ces soldats constituaient une section de l’infanterie légère que soutenaient les archers et les frondeurs. Les conducteurs de char et les cavaliers portaient souvent des lances. Les lanciers faisaient partie des armées romaines qui occupèrent la Palestine; l’escorte qui conduisit Paul en secret hors de Jérusalem comprenait, entre autres, deux cents lanciers. — Actes 23:23.

LANGUE

Organe qui joue un rôle important dans le goût. Cependant, les papilles gustatives réparties sur toute la surface de la langue ne perçoivent que l’acide, le sucré, le salé et l’amer. Ce qu’on appelle le “goût” résulte en fait de la combinaison des réactions de ces papilles gustatives et des arômes perçus par le sens de l’odorat. Mais, et c’est plus important encore, la langue est également indispensable à la parole, car l’articulation des mots exige de sa part quantité de mouvements, ce qu’elle fait avec habileté et à une vitesse remarquable. — Voir BOUCHE (Le palais).

Jacques, demi-frère de Jésus, décrit de façon très vivante le pouvoir de la langue et montre la nécessité pour le chrétien de veiller soigneusement à en faire un bon usage. Il souligne que si un chrétien ne tient pas sa langue en bride, son culte sera futile (Jacq. 1:26). Il compare cet organe à un feu capable de détruire toute une forêt. La langue non maîtrisée peut être influencée par des forces destructrices et provoquer une injustice si grave qu’elle risque de contaminer toute la vie de son possesseur. Elle sera alors un véritable poison spirituel pour son propriétaire et pour les autres. L’homme est incapable de dompter sa langue par ses seuls efforts et aucun humain imparfait ne peut éviter complètement de ‘trébucher en parole’. (Jacq. 3:2-8.) Toutefois, bien qu’imparfait, le chrétien n’est pas dans l’impossibilité de dompter cet organe indocile. En effet, grâce à la faveur imméritée que Jéhovah accorde par l’entremise de Christ, il est capable de ‘tenir sa langue en bride’ et renouveler sa personnalité. — Jacq. 3:10-18; I Pierre 3:10; Col. 3:9, 10; voir Psaumes 34:13; 39:1.

Rejoignant la description de la langue donnée par Jacques, le rédacteur du livre des Proverbes dit que le calme de la langue est “un arbre de vie”. En revanche, la déformation en elle signifie “effondrement de l’esprit”. La mort et la vie sont au pouvoir de la langue (Prov. 15:4; 18:21). “La langue douce peut briser un os”, en ce sens que par une réponse douce il est possible d’adoucir une personne dure comme un os et de briser sa dureté, son opposition (Prov. 25:15). En fait, la langue est en mesure de guérir, spirituellement parlant, si elle transmet les déclarations de Dieu (Prov. 12:18). “De Jéhovah vient la réponse de la langue”, car lui seul peut offrir les paroles spirituelles justes qui procurent la guérison (Prov. 16:1). Les Écritures annonçaient que durant son ministère Jésus apporterait la guérison spirituelle parce qu’il transmettrait les déclarations de Dieu; ainsi ‘il panserait ceux qui ont le cœur brisé’. — És. 61:1.

Jéhovah souligne à quel point la langue mensongère est mauvaise en l’incluant dans la liste des sept choses qu’il hait. Il la range avec les “mains qui versent le sang innocent”. (Prov. 6:16-19.) David dit que les méchants cherchent à détruire le serviteur de Dieu avec ‘leur langue qui est aiguisée comme une épée’, mais il montre que Dieu fera en sorte qu’ils soient eux-​mêmes blessés, car ‘leur langue est contre eux-​mêmes’. (Ps. 64:3, 7, 8.) Jéhovah fait cette promesse à son peuple: “Toute langue qui se dressera contre toi dans le jugement, tu la condamneras.” (És. 54:17). Voilà qui est réconfortant pour les serviteurs de Dieu qui restent attachés à sa loi, quand bien même ceux qui passent pour sages dans le monde profèrent de grandes choses et disent: “Par notre langue nous l’emporterons.” (Ps. 12:3-5). Peut-être ces derniers ‘continuent-​ils à tirer la langue’ et à frapper avec la langue (És. 57:4; Jér. 18:18), mais ils échoueront à coup sûr. — Prov. 10:31.

Jéhovah a promis de faire en sorte que la langue des bègues devienne “prompte à prononcer des choses claires” et que celle du muet ‘pousse des cris d’allégresse’. (És. 32:4; 35:6.) Lorsqu’il était sur la terre, Jésus a effectivement guéri des muets et d’autres humains qui avaient des problèmes pour s’exprimer (Marc 7:33-37). Le temps viendra où toute langue dira de bonnes choses, car Jéhovah annonce que toute langue lui adressera des serments. L’apôtre Paul révèle que cela se fera par l’entremise de Jésus Christ quand il dit que ‘toute langue reconnaîtra ouvertement que Jésus Christ est Seigneur à la gloire de Dieu le Père’. — Phil. 2:11; És. 45:23; Rom. 14:11.

Jéhovah se décrit symboliquement comme ayant une langue qu’il utilisera dans sa colère “comme un feu dévorant”. (És. 30:27.) Le jour de la Pentecôte, Jésus Christ répandit l’esprit saint sur quelque 120 disciples réunis dans une pièce à Jérusalem. La preuve en fut donnée d’une manière audible quand ceux-ci se mirent à parler en différentes langues, mais aussi d’une façon visible lorsque des langues, comme de feu, se posèrent sur chacun d’eux. — Actes 2:3, 4.

LANGUE, LANGAGE

Système vocal ou autre qui permet d’exprimer des sentiments ou des pensées et de communiquer. Cependant, on entend généralement par langue un ensemble de mots qui sont combinés selon certaines règles de manière à être compris par un groupe d’individus. Le français “langue” vient du latin lingua qui désignait l’organe du même nom. Les vocables hébreu et grec correspondants désignent à la fois la langue en tant que moyen d’expression et l’organe lui-​même. Le terme hébreu traduit par “lèvre” est également utilisé de la même façon.

ORIGINE DU LANGAGE

Quand Adam, le premier homme, fut créé, il disposait d’un vocabulaire et était capable d’inventer des mots nouveaux pour élargir celui-ci. Sans le vocabulaire que Dieu lui avait donné, l’homme qui venait d’être créé aurait été, au même titre que les animaux inintelligents, incapable de comprendre les instructions que son Créateur lui communiquait verbalement (Gen. 1:27-30; 2:16-20; voir II Pierre 2:12; Jude 10). Si donc l’homme intelligent est de toutes les créatures terrestres la seule capable de maîtriser le langage, ce n’est pas lui, mais Jéhovah Dieu, son Créateur parfaitement sage, qui en est l’Auteur. — Voir Exode 4:11, 12.