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  • Jéhovah est ma forteresse

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  • Jéhovah est ma forteresse
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1981
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1981
w81 15/11 p. 8-12

Jéhovah est ma forteresse

— Raconté par Albert Olih

LA NUIT de novembre était chaude, mais une brise légère me rafraîchissait, si bien que je m’endormis. Mais je me réveillai soudain et j’entendis une grosse voix me demander: “Qu’est-​ce que tu fais là?” J’avais été surpris par un policier lors de sa ronde de minuit.

Naturellement je fus effrayé. Je me levai et expliquai lentement comment j’en étais venu à dormir sous un manguier à côté de la cour de l’école. À quoi il répondit: “C’est bon, mais s’il y a des embêtements dans les alentours, tu auras de mes nouvelles.” Quand il partit, je m’allongeai de nouveau et je considérai les événements qui m’avaient conduit là.

LA RELIGION M’INTÉRESSE, MALGRÉ MON JEUNE ÂGE

Tout commença à l’endroit où mon frère habitait. C’était en 1946, et j’avais alors quinze ans. J’avais quitté mon village sur les bords du Niger et j’étais venu vivre avec mon frère à Lagos afin de poursuivre mes études. Un autre locataire, appelé Young Umoh, attira mon attention parce qu’il était souvent visité par des gens qui s’adressaient l’un à l’autre en s’appelant “frère” ou “sœur”. Je me demandais qui ils pouvaient bien être et j’allai donc poser la question à M. Umoh. Je fus vite absorbé par une conversation très intéressante.

Quand il me dit qu’ils étaient Témoins de Jéhovah, mon intérêt fut excité. En effet, un jeune garçon de mon école et sa sœur étaient connus comme Témoins de Jéhovah. Ils se conduisaient si bien que je me demandais souvent quel genre de religion ils pratiquaient. Aussi étais-​je encore plus désireux d’apprendre quelque chose sur ces gens.

M. Umoh me demanda si je croyais à la Bible, et je lui répondis qu’à l’école j’étais bon en instruction religieuse. Je pensais connaître la Bible. Cependant, quand il commença à me parler du Royaume de Dieu et des bénédictions qu’il apporterait à l’humanité, la Bible devint comme un livre nouveau pour moi.

J’écoutai avec une vive attention alors qu’il m’expliquait comment la domination du Royaume de Dieu transformera la terre en un paradis, comment la volonté de Dieu doit y être accomplie et aussi de quelle façon les humbles recevront la vie éternelle (Mat. 6:9, 10; Luc 23:43; Rév. 20:5). Ces choses me rendirent très heureux, et je décidai de rendre de nouveau visite à M. Umoh pour en apprendre davantage.

Il est vrai qu’au début je n’acceptais pas tout ce qu’il disait. Je craignais qu’il fût un des faux disciples contre lesquels on nous mettait en garde à l’église. Cependant, bien que discutant toujours ce qu’il m’expliquait, j’appréciais énormément les nombreuses choses qu’il m’enseignait avec la Bible.

Puis un jour il m’apprit qu’il ne croyait pas à la trinité. Je fus indigné et voulus quitter la pièce. Mais il dit: “Tu ne m’as pas demandé pourquoi je ne crois pas à la trinité.” Aussi le lui demandai-​je, et la réponse fut à l’origine d’un changement total dans ma vie sur le plan religieux.

Il commença par me demander: “Es-​tu l’égal de ton père en tout, même pour ce qui est de ton âge?” Ensuite, ouvrant la Bible, il me fit voir le passage où Jésus déclara qu’il avait été envoyé par son Père et que son Père est plus grand que lui (Jean 14:24, 28). En s’aidant du récit du baptême de Jésus, il me montra combien il était déraisonnable de croire que Jésus était Dieu. En effet, la voix de Dieu, venant du ciel, l’avait identifié à son Fils (Mat. 3:16, 17). M. Umoh me fit remarquer aussi que le mot “trinité” n’est pas dans la Bible. J’acceptai ces explications parce que la démonstration à l’aide des Écritures était solide.

Ce soir-​là, je m’agenouillai pour prier, mais je découvris que je ne pouvais pas. Depuis mon enfance, on m’avais appris à débuter ma prière en disant: “Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.” Mais puisque j’étais maintenant convaincu qu’il n’y a pas de trinité, je me trouvais dans l’impossibilité de commencer ma prière.

Le jour suivant, je me sentis très triste et je décidai de lire la Bible, en commençant par Matthieu. Je lus sans discontinuer pendant plusieurs jours, jusqu’à la fin de la Révélation. Plus je lisais, plus je trouvais que ce que M. Umoh m’enseignait était en harmonie avec la Bible. C’était la vérité!

Je retournai chez mon ami, lui racontai ce qui était arrivé et lui demandai de m’apprendre à prier. Il était ravi que j’eusse lu les Écritures grecques chrétiennes et il me prêta quelques livres et brochures dont il dit qu’ils m’aideraient. En effet, ces publications allaient avoir une profonde influence sur ma vie par la suite.

L’AIDE D’UN MISSIONNAIRE

Au début de 1947, je partis vivre avec un demi-frère. J’avais alors seize ans. J’avais quitté l’école, je n’avais pas d’argent pour payer mes études supérieures et j’avais des difficultés à trouver un emploi.

Un soir, alors que nous dînions, on frappa à la porte, et, à notre surprise, un Blanc entra dans la pièce. Il était rare qu’un homme de race blanche visitât les foyers des Africains, particulièrement ceux des pauvres. Il se présenta, disant: “Je m’appelle Moreton; je suis du Canada. Je suis Témoin de Jéhovah et je vous apporte une bonne nouvelle d’un gouvernement qui dirigera la terre.”

Mon frère domina sa surprise et lui dit de s’approcher et de manger. À son grand étonnement, M. Moreton prit un morceau d’igname dans le plat, le trempa dans la sauce rouge et le mangea, disant: “C’est une délicieuse nourriture à laquelle Dieu a pourvu pour l’homme.” Puis il développa son message.

Mon frère accepta trois livres et me donna celui intitulé “Que Dieu soit reconnu pour vrai!”. Bien que lui et sa femme ne fussent pas intéressés par une étude biblique, j’invitai M. Moreton à venir m’enseigner.

Avec le temps, je découvris que le tailleur de notre famille avait le même livre, mais que personne ne l’aidait à l’étudier. Aussi, après chaque étude avec M. Moreton, j’allais à sa boutique et j’étudiais le même chapitre avec lui. Cela m’aida à progresser, et bientôt, j’étais capable d’utiliser la Bible pour défendre la vérité.

Un jour, je dis à M. Moreton que je souhaitais être missionnaire comme lui. Il rit et dit: “Tu le seras. Mais tu devras d’abord te préparer à un grand nombre de difficultés.” Il me montra dans la Bible que j’aurais à faire face à la persécution, même de la part de parents proches (Mat. 10:34-38). “Cependant, dit-​il, Jéhovah ne t’abandonnera pas si tu lui restes fidèle.” J’étais loin de me douter que j’allais bientôt constater la véracité de ses paroles.

UNE ÉPREUVE PRÉCOCE QUI TOUCHE MA FOI

Au milieu d’une nuit d’octobre 1947, mon frère me réveilla et me lança un ultimatum: ‘Arrête d’étudier avec les Témoins de Jéhovah et reviens à l’Église anglicane, ou sinon quitte la maison.’ Je le regardai d’un air ébahi. Je n’avais pas de travail, nulle part où aller, et mon village était à environ 500 kilomètres. Mon frère le savait pertinemment, aussi je me demandai où il voulait que j’aille au milieu de la nuit. Toutefois, je pris ma décision. Je refusai d’abandonner le service de Jéhovah.

Cela rendit mon frère furieux, et il se mit à me frapper avec tout ce qu’il pouvait trouver. Sa femme se mit de la partie. Il me chassa de la maison et me poursuivit sur une certaine distance. Je me rendis chez des parents proches dans la ville, mais ils refusèrent de m’héberger pour la nuit. L’un d’eux me dit: “Ne prétends-​tu pas que Jéhovah est ton Père et son organisation ta mère? Eh bien, va vers Jéhovah et qu’il t’héberge!”

C’est alors que je pris la résolution que j’ai tenue jusqu’à ce jour. Je me confierais en Jéhovah comme en ma forteresse et je le servirais, advienne que pourra. — Ps. 27:1, 10.

N’ayant aucun lieu où me rendre, j’allai dans un champ à côté de mon ancienne école et dormis sous un gros manguier. C’est là que le policier me trouva, après que j’y eus dormi plusieurs nuits.

La journée, j’allais dans la brousse et je ramassais du bois de chauffage que je vendais pour me procurer de la nourriture. Quelques jours plus tard, M. Moreton me trouva. Quand il entendit mon histoire, il m’encouragea et me rappela ce qu’il m’avait dit sur les difficultés que je rencontrerais si je désirais servir Jéhovah. Il m’invita ensuite à lui rendre visite à l’endroit où il logeait.

Cela me permit de me joindre au groupe de missionnaires, appelé la famille du Béthel, et de les aider dans le travail au sein de leur maison. J’aimais aussi prendre mes repas avec eux. En fait, j’avais le sentiment de faire partie de la famille et bientôt, je commençai à les appeler “frères” et “sœurs”.

LA PRÉDICATION DE MAISON EN MAISON

Un jour, alors que je ne m’y attendais pas, frère Moreton m’invita à me joindre à lui dans la prédication de maison en maison. Il discuta brièvement d’un sujet à la première porte, puis proposa un livre comme manuel d’étude biblique.

Il me donna ensuite sa serviette et dit: “Est-​ce que tu vois cet homme debout au coin de la rue? Va et présente-​lui le message.” Mon cœur battait la chamade, mais je dis une prière silencieuse et allai vers l’homme, me rappelant ce que frère Moreton avait exposé avec simplicité au premier. Je récitai le même texte tiré de la Bible, et il répondit bien à ma présentation. J’avais été lancé dans l’œuvre de prédication et je savais que rien ne m’arrêterait.

LE BAPTÊME ET LE SERVICE DE PIONNIER

J’avais appris que, ayant voué ma vie à Jéhovah, je devais être baptisé dans l’eau, tout comme Jésus l’avait été. Je fus baptisé en décembre 1947, lors de la première assemblée des Témoins de Jéhovah à laquelle j’assistai. Maintenant, chacun dans cette troupe grossissante de Témoins était vraiment mon frère ou ma sœur spirituel.

Quelques mois plus tard, j’ai entrepris le service de pionnier (prédicateur à plein temps). Cela m’a fourni de nombreuses occasions de donner le témoignage de maison en maison, et j’acquis plus rapidement de l’expérience.

Ce fut avec un pasteur des adventistes du septième jour que j’eus une de mes premières discussions vraiment difficiles. Il amena très vite la conversation sur le sabbat et me sermonna, soutenant que ce dernier doit être observé chaque semaine. Les rôles étaient renversés. Je me trouvais là avec cet homme qui me prêchait, lisant les textes qu’il citait et écoutant ses explications. Je lui dis que je savais très peu de choses à propos du sabbat, mais je lui promis de faire des recherches et de revenir plus tard.

Quand je revins, je trouvai quelques-uns des membres de sa congrégation avec lui. Il espérait profiter de l’occasion pour les impressionner. En me présentant à eux, il dit: “C’est un jeune Témoin de Jéhovah qui a été égaré par quelques faux prédicateurs. Je suis heureux qu’il ait écouté mon enseignement et soit venu pour des explications supplémentaires.” Je demandai qu’on me permit de parler le premier. En partant du premier texte de la loi de Moïse qu’il avait cité, je me reportai aux Écritures grecques chrétiennes et expliquai pourquoi les chrétiens ne sont pas obligés d’observer un sabbat hebdomadaire. — Rom. 10:4; Gal. 4:9-11; Col. 2:16, 17.

Surpris par ma connaissance accrue, le pasteur dit: “Tu as très bien manié les Écritures. C’est ce que les membres de mon Église devraient être capables de faire. Ils devraient être capables d’aller de porte en porte et de défendre leur foi, exactement comme tu l’as fait.” Ce soir-​là, lui et les membres de son Église acceptèrent 29 livres pour l’étude de la Bible.

JÉHOVAH EST MA FORTERESSE

Afin de m’acquitter de certaines obligations financières, je pris un emploi dans la Société des chemins de fer nigérians et je logeai chez un autre demi-frère. Ma confiance en Jéhovah fut alors une nouvelle fois éprouvée.

J’avais accepté une participation au programme d’une assemblée des Témoins de Jéhovah qui devait se tenir dans l’est du Nigeria au début de 1950. Ce serait ma première participation, et je ne voulais certainement pas manquer cette occasion. Aussi, à mon travail, je fis une demande au chef de bureau pour avoir quatre jours de congés sans solde, mais il la repoussa. J’étais si déçu que je perdis l’appétit. Pendant toute une journée, je ne mangeai pas, consacrant mon temps à la prière pour que Jéhovah me facilite les choses.

Le lendemain matin, j’allai droit vers notre chef de service, bien que cela fût interdit aux simples employés. Quand je lui dis que j’étais Témoin de Jéhovah, il répondit: “J’aurais dû m’en douter. J’ai vu que vous travaillez consciencieusement, et vous me rappelez mon frère en Angleterre qui est le seul Témoin de Jéhovah de la famille. Nous le considérons comme un fanatique parce qu’il a refusé de s’engager dans l’armée et de combattre pendant la guerre, mais c’est le seul de la famille à qui nous pouvons nous fier. Il est bon qu’un Témoin de Jéhovah travaille avec nous.”

Je lui parlai ensuite de mon désir d’assister à l’assemblée et de ma demande. Il dit: “Certainement, vous irez à l’assemblée. Mais vous avez besoin de plus de quatre jours, à cause du voyage. Je vous donnerai une semaine complète. Venez avec moi.” Il m’emmena vers le chef de bureau et lui dit: “Vous serez heureux d’apprendre qu’il y a un Témoin de Jéhovah parmi nous. Ce sont des gens très sincères, honnêtes et travailleurs. Aussi, accordez à M. Olih sept jours pour aller à son assemblée; de plus, nous le paierons pendant son absence.”

Quelque temps plus tard, je reçus une invitation à travailler à la filiale de la Société Watch Tower à Lagos. Cette société est l’instrument légal dont se servent les Témoins de Jéhovah. Ainsi, en avril 1951, je devins membre de la famille du Béthel de Lagos.

Exprimant son désaccord, mon frère dit: “Maintenant que tu as décidé de quitter ton travail et que tu vas servir ton Jéhovah, si quelque chose devait t’arriver, ne reviens pas me voir, parce que je ne t’aiderais certainement pas.” Je l’assurai que j’espérais en la sollicitude de Jéhovah, lequel a sans aucun doute continué de me la témoigner durant les trente années que j’ai servi au Béthel. Elles ont été des années de grande joie, riches en occasions de servir et en privilèges.

Regarder en arrière et voir comment Jéhovah a été ma forteresse et comment il a progressivement subvenu à mes besoins, tout cela fortifie ma foi. Ce fut à l’une de nos assemblées, en 1953, que je rencontrai Francisca, une jeune sœur togolaise. Après avoir correspondu pendant trois ans, nous nous sommes mariés. Elle a continué de servir à mes côtés et, en dépit de problèmes de santé, elle a été d’un grand encouragement pour moi. Mon service nous a conduits dans tout le Nigeria. J’ai eu le privilège de parler devant une assistance nombreuse lors de nos assemblées et d’enseigner les ministres itinérants (surveillants de circonscription et de district) dans des écoles conçues pour leur formation.

Je me souviens de la première fois que Francisca et moi avons voyagé à l’étranger. C’était pour assister à une assemblée internationale à Londres en 1969. J’ai considéré cela comme une bourse d’études venant de l’organisation de Jéhovah. Comment aurais-​je pu faire un voyage à Londres si l’organisation n’avait pas été là? Depuis, nous sommes allés à des assemblées dans de nombreux pays d’Europe, d’Amérique et d’Afrique. En 1976 et 1978, quelle joie ce fut pour nous d’habiter pendant un certain temps avec la famille du Béthel de Brooklyn, au siège de la Société Watch Tower à New York! Avec d’autres membres de comités de filiale du monde entier, j’avais été invité à des réunions spéciales et à suivre un programme sous la direction du Collège central des Témoins de Jéhovah. Que pouvais-​je demander de plus, sinon que je puisse rester fidèle à notre Dieu aimant, Jéhovah?

Mon service n’a pas toujours été facile. J’ai rencontré des difficultés, j’ai dû faire face à des épreuves, je suis tombé malade et j’ai eu des accidents graves. Ma foi a été éprouvée. Mais j’ai reçu aussi une abondance de connaissances bibliques et de forces spirituelles, avec des joies indicibles en servant Jéhovah et mes frères.

Cette promesse de Jésus s’est réalisée dans mon cas: “Nul n’a quitté maison, ou frères, ou sœurs, ou mère, ou père, ou enfants, ou champs, à cause de moi et à cause de la bonne nouvelle, qui ne reçoive au centuple, maintenant, dans la présente période de temps, maisons, et frères, et sœurs, et mères, et enfants, et champs, avec des persécutions, et dans le système de choses à venir, la vie éternelle.” Mes sentiments sont les mêmes que ceux du psalmiste qui déclara: “Je dirai à Jéhovah: ‘Tu es mon refuge et ma forteresse, mon Dieu en qui je me confierai.’” — Ps. 91:2; Marc 10:29, 30.

[Photo d’Albert Olih, page 8]

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