BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Calah
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • CALAH

      (vigueur).

      Ville fondée par Nimrod en Assyrie et faisant partie, à l’origine, de “la grande ville” que constituaient Ninive, Calah, Résen et Réhoboth-Ir, les trois dernières villes étant vraisemblablement des “faubourgs” de Ninive (Gen. 10:9-12). Calah, dont le nom apparaît sous la forme de Kalhu dans les textes cunéiformes assyriens, devint une des trois principales villes de l’Empire assyrien avec Ninive et Assur. Calah était située dans l’angle nord-est formé par le Grand Zab et le Tigre à leur confluent, soit à environ 30 kilomètres au sud-est de Ninive. Son site est aujourd’hui occupé par une ville moderne qui porte le nom de Nimroud, préservant ainsi le nom de l’antique fondateur de la ville.

      Les fouilles effectuées dans les ruines de Calah ont mis au jour quelques-uns des plus beaux spécimens de l’art assyrien, notamment de gigantesques lions ailés à tête d’homme et d’énormes taureaux ailés, d’immenses et nombreux bas reliefs qui recouvraient les murs du palais ainsi que de très beaux objets sculptés en ivoire. On a également découvert, en excellent état, une statue d’Assurnasirpal ainsi que ce qu’on appelle l’“obélisque noir” de Salmanasar III qui porte le nom de Jéhu, roi d’Israël, et indique que celui-ci payait tribut à l’Assyrie.

      Calah fut une ville très importante pendant environ 150 années, lorsque la Puissance assyrienne était à son apogée. Puis, avec le déclin de l’empire, comme les autres villes royales elle connut la désolation. Au cinquième siècle avant notre ère, Xénophon trouva la ville déserte. — Comparez avec Ésaïe 30:30-33; 31:8, 9.

  • Calcaire (Pierre)
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • CALCAIRE (PIERRE)

      Cette roche très tendre qui se pulvérise facilement affleure dans de nombreuses régions de la Palestine. Comme elle est inutilisable pour la construction et qu’elle peut être facilement réduite en morceaux et même en poussière, le prophète Ésaïe s’est servi de cette pierre comme d’une image très puissante pour montrer ce qu’Israël devait faire aux autels idolâtriques s’il voulait obtenir le pardon divin. — És. 27:9.

  • Calcédoine
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • CALCÉDOINE

      La pierre à laquelle on donne aujourd’hui ce nom est une variété cryptocristalline de quartz, transparente et translucide, utilisée comme pierre ornementale et en bijouterie. Un peu moins dense que le quartz à l’état pur, elle se trouve généralement en masses globuleuses dans les cavités des roches volcaniques. La variété la plus courante est partiellement transparente avec des taches ou des zones concentriques d’un blanc laiteux. Il existe des calcédoines de couleurs très variées: blanche, grise, jaune, bleue, marron.

      Dans l’Antiquité, on utilisait couramment la calcédoine pour faire des pierres gravées. Son nom est celui d’une ville grecque, Chalcédoine (en Asie Mineure), d’où venait ce minéral. Le seul texte de la Bible faisant allusion à cette pierre dit que le troisième fondement de la muraille de la Nouvelle Jérusalem était de calcédoine. — Rév. 21:2, 19.

  • Calcol
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • CALCOL

      {Article non traduit.}

  • Caleb
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • CALEB

      (chien ou aboyeur).

      Fils de Jéphunnéh, le Kénizzite, de la tribu de Juda, oncle d’Othniel et probablement descendant de Caleb, fils d’Hezron (Nomb. 32:12; Josué 15:17; I Chron. 4:13, 15; voir OTHNIEL). À l’âge de 40 ans, Caleb fit partie du groupe de douze espions que Moïse envoya en éclaireurs explorer le pays de Canaan pendant 40 jours. À leur retour, Josué et lui, inébranlables face à l’opposition de tous les autres espions, firent un rapport favorable et dirent: “Montons tout de suite et, à coup sûr, nous prendrons possession du pays.” (Nomb. 13:6, 30; 14:6-9). Parce qu’il avait ‘suivi sans réserve Jéhovah, son Dieu’, il fut un des rares adultes de cette génération, avec Josué et quelques Lévites, à entrer en Terre promise, en 1473 avant notre ère. Six ans plus tard, lorsqu’il réclama son héritage, Caleb déclara: “Maintenant voici que, comme il l’a promis, Jéhovah m’a gardé en vie ces quarante cinq ans, depuis que Jéhovah a fait cette promesse à Moïse, alors qu’Israël marchait dans le désert, et maintenant voici que je suis aujourd’hui âgé de quatre-vingt-cinq ans. Aujourd’hui je suis encore aussi fort qu’au jour où Moïse m’envoya. Telle ma vigueur alors, telle ma vigueur à présent pour la guerre, pour sortir comme pour entrer.” — Josué 14:6-11.

      La ville d’Hébron (la place forte appelée Kiriath-Arba, qui était occupée par les Anakim, fils d’Anak, des géants) et le territoire alentour, y compris la ville proche de Debir, furent assignés à Caleb pour sa possession. En I Samuel 30:13, 14, il est question d’une incursion des Amalécites “au sud de Caleb”. Il ne s’agit évidemment pas ici d’une ville appelée ainsi, mais plutôt de la région assignée à Caleb et à laquelle on donna son nom. Par conséquent, l’incursion eut lieu ‘au sud du territoire de Caleb’.

      Lorsqu’il prit possession de son héritage, Caleb déclara: “Celui qui frappera Kiriath-Sépher [appelée aussi Debir] et s’en emparera, assurément je lui donnerai pour femme Acsah, ma fille.” Son neveu Othniel (le premier juge d’Israël après la mort de Josué) captura la ville et obtint la récompense promise. Caleb donna alors à sa fille, sur la requête de celle-ci Gulloth-le-Haut et Gulloth-le-Bas comme cadeau de mariage en plus d’une “pièce de terre au sud”. — Josué 15:13-19; Juges 1:11-15; 3:9-11.

  • Caleb-Éphrathah
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • CALEB-ÉPHRATHAH

      {Article non traduit.}

  • Calébite
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • CALÉBITE

      {Article non traduit.}

  • Calendrier
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • CALENDRIER

      Système de division du temps en années, mois, semaines et jours. Longtemps avant la création de l’homme, Dieu avait fourni la base permettant de mesurer le temps. Genèse 1:14, 15 nous dit que les “luminaires dans l’étendue des cieux” devaient, entre autres choses, servir de signes “pour les époques [les saisons], et pour les jours, et pour les années”. Le jour solaire, l’année solaire et le mois lunaire sont des divisions naturelles du temps définies respectivement par la rotation quotidienne de la terre autour de son axe, par son orbite annuelle autour du soleil et par les phases mensuelles de la lune en fonction de sa position par rapport à la terre et au soleil. En revanche, la division du temps en semaines et du jour en heures est arbitraire.

      La Bible nous apprend que depuis le premier homme Adam le temps a été mesuré en années. Ainsi, nous lisons qu’Adam avait “cent trente ans” quand il devint père de Seth. — Gen. 5:3.

      Les hommes en vinrent aussi à diviser le temps en mois. On s’aperçoit qu’à l’époque du déluge, ils divisaient le temps en mois de 30 jours, car la Bible parle d’une période de cinq mois qui équivalait à 150 jours (Gen. 7:11, 24; 8:3, 4). Le même récit révèle également que Noé divisait l’année en douze mois.

      Il est question à la même époque de périodes de sept jours, périodes qui pouvaient même avoir été déjà utilisées régulièrement très tôt dans l’histoire humaine (Gen. 7:4, 10; 8:10, 12). Toutefois, rien ne prouve que Dieu ait imposé à l’homme l’observance d’un sabbat hebdomadaire avant le jour où il donna des instructions formelles à ce sujet aux Israélites après leur sortie d’Égypte.

      Au cours des millénaires, les hommes ont mis au point divers calendriers dont certains continuent d’être utilisés aujourd’hui. Les plus anciens calendriers étaient, pour la plupart, des calendriers lunaires. Les mois de l’année étaient déterminés en fonction des cycles complets de la lune, par exemple d’une nouvelle lune à la nouvelle lune suivante. En moyenne, une lunaison correspond à 29 jours, 12 heures, 44 minutes et 2,78 secondes. Les mois comptaient habituellement 29 ou 30 jours, mais dans le récit biblique, le terme “mois” sous-entend généralement 30 jours. — Comparez Deutéronome 21:13; 34:8; Révélation 11:2, 3.

      Par rapport à l’année solaire qui compte 365 jours 1/4, il manque presque 11 jours à une année de douze mois lunaires. Puisque c’est l’année solaire qui fixe le retour des saisons, il fallut ajuster le calendrier à celle-ci. Il en résulta ce qu’on appelle des années “luni-solaires”, c’est-à-dire des années solaires avec des mois lunaires. Pour cela, on ajoutait des jours à chaque année ou un mois supplémentaire certaines années, afin de compenser la durée trop courte des douze mois lunaires.

      LE CALENDRIER HÉBREU

      Les Israélites utilisaient un calendrier-solaire. Cela est évident puisque Jéhovah Dieu fixa le commencement de leur année sacrée au mois d’Abib, au printemps, et précisa les dates auxquelles devaient être célébrées certaines fêtes qui étaient associées aux récoltes. Pour que ces dates coïncident avec les récoltes en question, il fallait un système qui fasse correspondre le calendrier avec les saisons, donc qui compense la différence entre les années lunaire et solaire. — Ex. 12:1-14; 23:15, 16; Lév. 23:4-16.

      Au moment de l’exode (Ex. 12:2; 13:4), Dieu ordonna aux Israélites de faire débuter l’année sacrée au printemps, avec le mois d’Abib (ou Nisan). Mais la Bible montre qu’auparavant les Juifs faisaient débuter l’année en automne. Dieu accepta cela, si bien que son peuple utilisa deux systèmes: un calendrier sacré et un autre, civil ou agricole (Exode 23:16; 34:22; Lév. 23:34; Deut. 16:13). Après l’exil, le 1er Tischri, dans la seconde moitié de l’année, marqua le début de l’année civile. Aujourd’hui encore, c’est à cette date que les Juifs fêtent leur nouvel an, ou Rosh Hashanah (en hébreu “tête de l’année”).

      En 1908, on découvrit à Guézer la seule inscription paléohébraïque ressemblant approximativement à un calendrier. On pense qu’elle date du onzième ou dixième siècle avant notre ère. Il s’agit d’une sorte de calendrier agricole qui énumère les différents travaux des champs qui se succédaient à partir de l’automne: deux mois de ramassage, deux mois de semailles et deux mois de croissance printanière; puis un mois de coupage du lin, un mois de moisson des orges et un mois de moisson en général; encore deux mois d’émondage des vignes et, finalement, un mois de fruits de fin d’été (voir Sur la pierre et l’argile, Henri Michaud, page 23). — Lév. 26:5.

      Le tableau qui accompagne cet article énumère les différents mois tout en indiquant leur position dans les calendriers sacré et civil ainsi que leur correspondance approximative avec les mois de notre calendrier actuel.

      Notons que les chrétiens, qui sont sous la nouvelle alliance, ne sont nullement tenus d’observer un calendrier sacré ou religieux qui fixerait des jours saints ou des fêtes. C’est ce que montre clairement l’apôtre Paul en Galates 4:9-11 et Colossiens 2:16, 17. Le seul événement qu’ils sont tenus de commémorer

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager