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  • Autour du monde avec le vice-président (3ème partie)
    La Tour de Garde 1958 | 1er février
    • maintenant son peuple sur la terre avant Harmaguédon et que noua prenions l’engagement de lui être loyaux et de la soutenir continuellement. L’ancien serviteur de filiale, frère Carnie, lui-​même membre diplômé de la Watch Tower Bible and Tract Society, appuya la motion de C. W. Charles pour adopter cette résolution. Un “ Aye ! ” unanime, plein de conviction et de détermination, s’éleva pour adopter cette résolution. C’est ainsi que l’assemblée de Hong-Kong se termina sur une note splendide.

      Le lendemain, lundi, dans la matinée, certains des frères de Hong-Kong rappelèrent l’adieu de Paul aux frères descendus sur le rivage, dans le port de Tyr, une des étapes de l’apôtre (Actes 21:2-6). Sur le sable, près de Repulse Bay Hotel, dix-neuf missionnaires et pionniers spéciaux tinrent une réunion de service près des eaux de cette baie bien connue. Frère Franz considéra leurs difficultés dans le service dans le champ et leur donna des exhortations encourageantes. Il prit ensuite avec eux un excellent repas matériel au Golden City Restaurant au Queens Road Center, dans la ville de Victoria. Il nous fallut alors retourner sur nos pas jusqu’à l’aéroport de Kaï Tak, en dehors de Kowloon. Le vice-président y goûta les derniers et précieux moments de contact et de conversation avec les frères de Hong-Kong avant d’être invité à monter à bord de l’avion “ Orient Star ”. Un parlementaire étant parmi les passagers, tous nos bagages furent embarqués sans contrôle dans ce bimoteur, par courtoisie pour ce voyageur. À 16 h 36 notre avion abandonne la piste, et, bientôt, nous survolons les eaux et les îles de cette région.

      MANILLE, RÉPUBLIQUE PHILIPPINE

      Après avoir offert à ses passagers une magnifique vue aérienne des lumières nocturnes de Manille, notre bimoteur prit contact vers 19 h 35 avec la terre ferme, à l’aéroport des P.A.L. Comme le vice-président se dirigeait vers le bâtiment de la douane, une délégation de nombreux témoins l’accueillit par des cris de joie. Avec l’aide d’un agent des douanes, témoin philippin, il fallut peu de temps pour remplir cette formalité et entrer en contact direct avec les frères venus souhaiter la bienvenue. La filiale de la Watch Tower Society à Quezon City offrit son hospitalité au visiteur officiel en lui attribuant, pour les quatre jours suivants, une chambre pourvue de toutes les commodités du bâtiment de Brooklyn. Mais, avant de nous retirer pour la nuit, nous eûmes la joie d’assister à une grande réunion comprenant la famille des membres de la filiale, des missionnaires et des frères philippins. Elle se prolongea jusqu’à une heure très tardive, ce qui nous permit de faire meilleure connaissance.

      La visite de frère Franz fut l’occasion d’une assemblée nationale des témoins de Jéhovah des nombreuses îles des Philippines, pendant trois jours, du 15 au 17 janvier 1957. Pour cette assemblée, le même stade utilisé au printemps précédent, lors de la visite aux Philippines du président de la Société et de son secrétaire, fut loué : le magnifique stade de football Rizal Memorial. En dépit du peu de temps dont on disposa pour informer les frères dispersés, il fut agréable de constater que ceux qui assistèrent à l’assemblée venaient de toutes les Philippines. Le missionnaire diplômé de Galaad, désigné comme serviteur de l’assemblée, fit un bon travail. La réunion initiale qu’il organisa deux mois auparavant donna un certain développement à l’organisation de l’assemblée car l’entreprise que nous avions devant nous était grande. Une assemblée réussie en fut le résultat.

      Le programme qui se déroula offrit à tous les congressistes un somptueux repas spirituel pour le matin, l’après-midi et le soir. Les discours durent être faits dans les deux principaux dialectes des îles, l’ilocano et le tagala, ainsi qu’en anglais. Une estrade attrayante représentait des tours de garde. Elle était ornée de bannières sur lesquelles on pouvait lire, dans les huit principales langues des Philippines, le texte de l’année 1957. Elle avait été dressée sur le champ herbeux, au milieu et devant les tribunes couvertes, sur le côté desquelles se trouvent les places découvertes qui s’étendent tout autour de la piste ovale du grand stade. Une innovation caractéristique fut le remplacement d’un orchestre par un chœur mixte accompagné simplement par un piano. Sous la direction musicale d’un diplômé de Galaad, le chœur chanta à l’assemblée, comme introduction, la première strophe de chaque cantique, après quoi toute l’assemblée reprenait le chant qui grandissait et s’amplifiait, entonné par des voix puissantes. C’était très bien.

      Le serviteur des relations publiques prit des dispositions pour des interviews. Aussi, le matin du jour de l’ouverture de l’assemblée, le mardi 15 janvier, frère Franz, accompagné de ce serviteur, se rendit aux deux stations de radio où il avait des rendez-vous. La première, DZFM (Station du Peuple), appartient au gouvernement philippin. Le directeur du programme était très aimable. Quoi qu’il ne se sentît pas très bien, il vint au rendez-vous pour l’interview. Il annula même un programme subventionné de trente minutes pour recevoir le vice-président de la Watch Tower Society. L’interview d’une demi-heure fut spontanée et retransmise directement du studio. Le directeur du programme fut heureux des informations d’intérêt public que frère Franz donna en réponse à de nombreuses questions, surtout de la position des témoins de Jéhovah à l’égard du communisme impie. Les îles Philippines n’ont pas de relations diplomatiques avec le gouvernement soviétique de la Russie.

      Immédiatement après la première entrevue, il fallut se rendre à la station CBN (Chronicle Broadcasting Network), station commerciale, pour être exact à un rendez-vous. Une interview de quinze minutes y fut enregistrée. Elle fut diffusée le lendemain, et le service de sonorisation du Stade du Rizal Memorial put l’enregistrer et la retransmettre le soir, pendant la pause de l’assemblée.

      Dans l’intervalle, le serviteur de la filiale de la Société, qui était aussi le président de l’assemblée, tint dans les tribunes du stade une réunion de deux heures avec les serviteurs de district, de circuit et de groupe. La plupart des autres congressistes employèrent la matinée pour aller dans le champ. Quand l’ouverture de l’assemblée officielle de l’après-midi approchait, le ciel se couvrit et il tomba quelques averses. Néanmoins, en ce premier jour les tribunes étaient remplies et quelques congressistes s’assirent dans les places à ciel ouvert. Le serviteur de filiale, en tant que président de l’assemblée, prononça le discours officiel de bienvenue à cette belle réunion de frères. Ensuite, les sept buts spirituels des témoins de Jéhovah pour 1957 furent habilement discutés par sept frères.

      Pour les sessions du soir, la foule augmenta d’une manière appréciable, passant de 5 768 à 6 353. Le discours que leur fit le vice-président sur l’appui à accorder à l’organisation visible de Jéhovah se révéla des plus opportuns tout en leur donnant un point de vue que beaucoup n’avaient pas eu précédemment. Cela leur fournit des raisons de mieux comprendre et de mieux apprécier ce qui suivit : la présentation de la résolution spéciale qui, depuis le début de l’été dernier, avait été adoptée aux assemblées des témoins de Jéhovah sur tout le globe. La résolution, présentée tout d’abord en anglais, était traduite simultanément en ilocano et en tagala, par des interprètes se trouvant à la droite et à la gauche de l’orateur. Quand l’orateur leva la main devant les 6 353 personnes rassemblées, pour que le vote de la motion soit exprimé, des applaudissements enthousiastes retentirent, accompagnés de l’adoption de vive voix de cette courageuse et nette résolution contre la persécution communiste, adoption exprimée en anglais, en ilocano et en tagala. Disons en passant que la traduction simultanée des discours à partir de l’anglais fit gagner beaucoup de temps. En effet, chacun des interprètes était muni d’écouteurs, reliés au microphone central, et chaque groupe de langue, occupant les places assignées dans les tribunes, entendait distinctement et sans confusion. Le dispositif fonctionna d’une manière excellente, et nombreux furent les congressistes qui exprimèrent leur appréciation pour cette grande amélioration apportée dans la méthode de transmission sur celle en service, lors de l’assemblée nationale qui se tint l’année dernière, dans ce même lieu.

      Le mercredi 16 janvier, après avoir considéré le texte biblique quotidien dans le stade, il y eut encore une joyeuse sortie dans le champ. Dans le courant de la matinée, dans les tribunes, des réunions furent tenues en quatre dialectes — cébu-visayan, hiligaynon-visayan, bicolano et pamango — pour le bien des congressistes qui ne comprenaient pas les trois langues employées. Le résumé du programme de la veille, surtout la résolution spéciale contre le communisme, furent présentés lors de ces réunions. Au même moment, dans la cafétéria, située juste de l’autre côté de la rue, le serviteur de filiale conduisait une réunion uniquement avec les serviteurs de district et de circuit des îles Philippines. De cette manière, de la nourriture spirituelle ainsi que de la nourriture matérielle furent dispensées à la cafétéria de l’Assemblée de la Paix du Monde Nouveau, cafétéria dont les cuisines, le service et les nombreuses tables étaient abrités sous des toits ingénieusement construits par les témoins de Jéhovah eux-​mêmes.

      Certains journalistes furent assez intelligents pour s’intéresser à l’événement le plus important qui se déroulait alors dans la capitale du pays. Peu après 10 heures, quatre d’entre eux s’assirent en face de frère Franz dans une salle du bâtiment de l’administration et le harcelèrent de questions. Le reporter du second des journaux à grand tirage se trouva être le plus enthousiaste. Son journal, le Chronicle de Manille, publia l’interview en première page, sous le titre “ Le Chef des Témoins de Jéhovah déclare qu’ils resteront neutres en cas de guerre ”, et, sous la photo du vice-président, on pouvait lire ces mots : “ (...) pas d’ingérence dans la politique. ” L’article était très bon. Les journalistes, ayant obtenu des informations suffisantes, s’en allèrent, et on fit entrer un groupe de vingt-cinq missionnaires, diplômés de Galaad accomplissant le service à plein temps aux îles Philippines. Les réponses à leurs questions, d’un autre ordre, leur furent de précieux conseils concernant les difficultés qu’affrontent les missionnaires. Ces humbles chasseurs et assembleurs des brebis du bon Berger furent exhortés à être optimistes et à aller de l’avant dans leurs activités qui apportent le salut. Il leur fut aussi recommandé de s’attacher fermement à leurs inestimables attributions de service, de ne pas abandonner leur poste.

      Dans l’après-midi, sur l’estrade de l’assemblée, deux discussions dirigées furent conduites par les orateurs de la filiale philippine de la Société et les serviteurs de circuit itinérants. La première traita de l’“ Organisation du groupe ” et la seconde de la “ Proclamation du royaume de Jéhovah avec les périodiques ”. À 14 h 10 frère Franz fut interviewé pendant quinze minutes sur la scène mobile du studio K de la station de radio DZRH, dans l’immeuble de la Compagnie de radiodiffusion de Manille. Cependant, quand les “ grands patrons ” entendirent l’enregistrement de l’interview, ils ne voulurent pas la retransmettre. Le soir vint et, sous un ciel clair de pleine lune, frère Franz parla à l’assemblée sur le thème : “ Rester dans les limites de la société du monde nouveau ”. Les 6 919 assistants, profondément attentifs, éclatèrent en applaudissements. Ils apprécièrent le point faisant ressortir que l’on devait manifester une inébranlable fidélité à l’organisation bénie de Jéhovah.

      Inexorablement, comme dans toutes les assemblées, le jour final de celle de Manille arriva. Ce fut une journée très chargée. Conformément au programme, le baptême fut le premier événement de la matinée. Les questions posées aux candidats au baptême afin de déterminer s’ils en étaient dignes le furent en autant de langues que de dialectes par eux parlés, outre en anglais, en tagala, ilocano, cébu-visayan, hiligaynon-visayan, bicolano, samareno, pangasinan, pampango, zambel et ibanag. En dépit de la différence de langage, ils se ressemblaient tous en étant voués au même Dieu Jéhovah et en comprenant la vérité de son royaume. En conséquence, 279 eurent la faveur d’être baptisés dans la piscine de l’YMCA, non loin du Rizal Stadium, où 6 572 assistants les avaient entendus répondre affirmativement aux questions décisives.

      Eu égard au fait que la fin de la journée était réservée à la réunion publique, l’après-midi, les orateurs firent, de l’estrade, des exhortations d’adieu aux frères. Ils n’ignoraient pas qu’au cours de l’année dernière, l’organisation du témoignage aux Philippines avait subi une perte considérable quant au nombre des proclamateurs, des ministres actifs. Ils encouragèrent donc les congressistes à faire des efforts pour rattraper les pertes et pour marcher du même pas que le reste de la société du monde nouveau dans l’expansion du ministère. C’est avec à-propos que le serviteur de la filiale des Philippines, Earl K. Stewart, prononça le discours final de l’après-midi et les incita à une plus grande efficacité en tant que ministres du monde nouveau. Les 7 652 auditeurs prirent la question à cœur.

      Il y eut une pause de quarante-cinq minutes, puis, dans la fraîcheur d’une soirée précoce, la foule, qui assistait à la conférence publique, cette foule qui remplissait les tribunes et une partie des places à ciel ouvert, prêta l’oreille à la présentation, en anglais, en ilocano et en tagala, du sujet : “ La paix du Monde Nouveau viendra de notre temps. Pourquoi ? ” Les 9 463 personnes qui composaient l’assistance, la plus grande de l’assemblée, étaient émues. Elles applaudirent lorsque l’orateur, frère Franz, apparut devant eux en costume de cérémonie philippin, portant un barong tagala, riche cadeau et marque d’appréciation des frères philippins. Ils applaudirent vigoureusement les points de son discours, rendu sans aucune hésitation et avec animation par les traducteurs placés à sa droite et à sa gauche. Ils entendaient, ils comprenaient, ils sentaient ! Leur appréciation du message du monde nouveau se manifesta une fois de plus lorsqu’ils acceptèrent les milliers d’exemplaires gratuits de la brochure “ Cette bonne nouvelle du royaume ”. Ce discours public et toutes les activités dans le champ que les milliers de témoins en visite dans la ville avaient exercées antérieurement laissèrent le fondement pour un travail complémentaire dont se chargeraient les groupes de la capitale.

      Dans son ensemble, cette assemblée fit ressortir une grande croissance spirituelle sur les précédentes. On nota une amélioration dans la conduite des congressistes. Les différents services de l’assemblée étaient mieux organisés et se révélèrent plus efficaces, surtout la cafétéria de l’Assemblée de la Paix du Monde Nouveau et le service important de la sonorisation. Le service de la publicité envoya des articles à la presse pendant huit jours. Ils le firent à six quotidiens anglais, deux tagala, trois chinois, à six hebdomadaires et à quatorze journaux provinciaux. Près de neuf mètres de colonnes furent consacrés aux articles, surtout dans les quotidiens à grand tirage. Au moment où ce récit fut écrit, un hebdomadaire anglais et un hebdomadaire talaga publièrent chacun un article important fondé sur les renseignements fournis par le service de la publicité.

      Étant donné que la République des Philippines n’entretient pas de relations diplomatiques avec le gouvernement soviétique de Moscou, qu’allait-​on faire de la première copie de la résolution spéciale, adoptée et signée officiellement sur l’estrade de l’assemblée, le premier soir, devant 6 353 congressistes ? Il fallait un intermédiaire pour la remettre, en suivant la voie hiérarchique, aux diplomates soviétiques intéressés. Opportunément, et ce fut son dernier acte avant son départ de la capitale du pays, le vendredi 18 janvier, frère Franz, accompagné du serviteur de la filiale et de notre frère, agent des douanes, se rendit, avant midi, au Ministère de la Justice. Là, ils furent introduits dans le bureau de M. Carlos Garcia, alors vice-président de la République philippine, qui faisait également fonction de secrétaire des Affaires étrangères. Ce fut surtout en raison de cette dernière fonction que nous fîmes une démarche auprès de ce haut fonctionnaire. L’honorable M. Garcia se montra très affable et plein d’égards. Il s’assit avec le vice-président de la Société sur un canapé et s’entretint avec lui sur le ton de la conversation. Il semblait avoir oublié le temps. C’est ainsi qu’avant la fin de l’entrevue, qui dut être interrompue, le vice-président de la Société devant se rendre à l’aéroport, le vice-président des Philippines lui avait accordé quarante minutes de son temps précieux. D’une façon démocratique et pour soutenir la liberté constitutionnelle d’adorer Dieu selon les inspirations de la conscience, il accepta des mains de frère Franz la copie signée de la résolution spéciale et déclara qu’il l’enverrait au fonctionnaire russe intéressé, par l’intermédiaire du gouvernement américain. Nous exprimâmes au vice-président Garcia nos sincères remerciements pour son amabilité. Deux mois plus tard, le 18 mars, ce fut lui qui prêta serment à Manille pour succéder dans sa charge au président Ramón Magsaysay, victime d’un accident d’avion.

      À l’aéroport international de Manille, quelques frères, philippins et missionnaires, s’étaient rassemblés pour voir partir frère Franz. Enfin, vers 14 h 30, l’ancien “ Flying Tiger ” s’éleva dans les airs, au-dessus de la baie de Manille, à destination de l’étape suivante de frère Franz.

      (À suivre.)

  • Comptes rendus extraits de l’Annuaire 1958 des Témoins de Jéhovah
    La Tour de Garde 1958 | 1er février
    • Comptes rendus extraits de l’Annuaire 1958 des Témoins de Jéhovah

      BELGIQUE

      Une prophétie s’accomplissait pour Jésus lorsqu’il citait Ésaïe, et c’est la même qui, de nos jours, s’accomplit sur les témoins de Jéhovah : “ L’esprit de Jéhovah est sur moi, parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres, il m’a envoyé pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la vue, pour renvoyer libres les opprimés. ” (Luc 4:18, NW). C’est de cette façon qu’en Belgique, les témoins de Jéhovah se réjouissent en prêchant la bonne nouvelle par laquelle ils réconfortent les cœurs brisés. Ils effectuent cette mission d’une manière diligente, allant de maison en maison, conduisant des études bibliques et diffusant les auxiliaires bibliques de la Société et la Bible elle-​même. Le meilleur témoignage jamais rendu en Belgique vient de l’être au cours de l’année écoulée. Un nouveau maximum de 4 950 proclamateurs a été atteint. Ils ont également constaté que la prédication pendant les jours de fête, telle qu’au cours de la veillée de Noël et à Noël, donnait d’excellents résultats. L’accroissement de distribution des périodiques a naturellement suivi une courbe proportionnelle à cette activité et, au cours des douze derniers mois, le total d’exemplaires placés est passé de 351 000 à 587 000. Ce témoignage rendu nous réjouit vraiment beaucoup, comme tout ce qui a été accompli en l’honneur et à la gloire de Jéhovah. Le serviteur de filiale nous rapporte les intéressantes expériences que voici.

      La Tour de Garde et Réveillez-vous ! sont incontestablement deux puissants instruments au service de la vérité. Que leurs lecteurs soient catholiques, protestants ou juifs, ils peuvent, par

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