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  • Comment tirer le meilleur parti possible de vos vêtements
    Réveillez-vous ! 1972 | 8 mai
    • Comment tirer le meilleur parti possible de vos vêtements

      LE VÊTEMENT est un besoin fondamental de l’homme. Pour de nombreux habitants du globe il représente une dépense importante, aussi vous souciez-​vous sans doute de tirer le meilleur parti possible de vos vêtements. Que pouvez-​vous faire pour réduire vos frais vestimentaires ?

      Faites un choix judicieux

      Tout d’abord, choisissez judicieusement vos vêtements. Pour éviter de devoir mettre un vêtement au rebut longtemps avant qu’il ne soit usé, vous avez intérêt à fuir les engouements et les extrêmes de la mode, qui passent très vite. Les vêtements de base de votre garde-robe devraient être de bonne qualité si possible. Étant conçus pour durer plus longtemps, de tels articles sont souvent d’un modèle plus classique. C’est là un avantage toutefois, car ils se démoderont moins vite et peuvent se porter beaucoup plus longtemps. De plus, les vêtements de bonne qualité sont plus seyants ; ils gardent leur forme et leur élégance bien plus longtemps.

      Avant d’acheter un vêtement, examinez-​le avec soin. Est-​il de fabrication soignée ? Les boutons sont-​ils bien attachés ? Les piqûres sont-​elles droites et régulières ? Les boutonnières et les ourlets sont-​ils proprement faits ? Les poches et les doublures sont-​elles d’un tissu serré, sans apprêt ? S’est-​on gardé de ménager outre mesure l’étoffe ? Les dépassants de chaque côté des piqûres sont-​ils suffisamment larges pour que celles-ci ne se déchirent pas ? Les fermetures à glissière fonctionnent-​elles bien ? L’étoffe est-​elle d’un tissage ferme et serré ? Si vous pouvez répondre affirmativement à toutes ces questions, il y a beaucoup de chances que le vêtement soit de bonne qualité.

      N’oubliez pas non plus d’examiner les étiquettes, qui révèlent, entre autres si le vêtement est susceptible de rétrécir ou de déteindre. Elles donnent également, bien souvent, des instructions concernant l’entretien de l’article.

      Tenez également compte des dépenses que cet entretien pourrait occasionner. Les personnes ayant des revenus modestes veilleront à acheter des vêtements qui n’entraîneront pas des frais élevés de nettoyage, et qui pourront éventuellement être réparés de façon pas trop visible. Sous ce rapport, les tissus chinés sont plus pratiques que les tissus unis.

      Demandez-​vous aussi si le nouveau vêtement s’accordera avec les autres articles de votre garde-robe. Vous utiliserez davantage un article (cravate, pantalon, veste de sport, jupe ou corsage) qui s’harmonise avec les vêtements que vous possédez déjà. Les femmes font bien d’acheter plusieurs paires de bas de la même teinte. Ainsi, si elles ont le malheur de faire un accroc à un bas, l’autre servira toujours.

      Évidemment il est important aussi d’acheter des articles à votre taille. Soumis à un effort supplémentaire, un vêtement étriqué se déformera et s’usera plus vite. Des manches et des pantalons trop longs s’effrangent plus rapidement au bord. Un vêtement qui nécessite des retouches importantes va rarement bien et ne dure pas longtemps.

      En achetant des vêtements pour vos enfants, n’oubliez pas qu’ils grandissent vite. Ne prenez pas des vêtements beaucoup trop grands toutefois, mais plutôt ceux que vous pourrez adapter : pantalons à bords relevés, robes à plis, à remplis, et à fronces ou à coutures, qu’il sera possible de lâcher.

      L’entretien des vêtements

      Il ne suffit pas de bien choisir ses vêtements : il faut également bien les entretenir. Suivez donc les instructions que donne l’étiquette concernant le nettoyage ou le lavage de chaque article. Ne tardez pas à réparer les coutures déchirées et les accrocs ou à enlever les taches. Puisque la poussière et d’autres saletés détériorent les tissus, brossez régulièrement vos vêtements et particulièrement l’intérieur des poches et des revers des pantalons. Évitez de bourrer vos poches, car cette habitude déforme le vêtement et en réduit la durée.

      Moins on repasse les vêtements, plus longtemps ils durent. C’est pourquoi il est utile de les porter à tour de rôle, afin de les laisser reposer entre-temps. Pendez avec soin les vestes, les pantalons, etc., pour qu’ils gardent leur forme ou leurs plis. Comme les articles en jersey ont tendance à se déformer, il vaut mieux les plier que de les mettre sur un cintre.

      En rangeant les vêtements d’hiver ou d’été, assurez-​vous au préalable qu’ils sont propres, car les taches attirent les mites et les anthrènes. Une sage précaution consiste à traiter les articles de laine avec un produit antimite. Pour protéger vos vêtements contre la moisissure, mettez-​les dans des housses ou des sacs où ils seront à l’abri de la poussière et que vous rangerez dans un endroit frais et sec.

      Un bon entretien de vêtements judicieusement choisis fera beaucoup pour en prolonger la durée et pour leur conserver un aspect impeccable. Cela exigera peut-être un peu de réflexion et de temps, mais l’effort en vaut la peine.

  • Qui paie la note ?
    Réveillez-vous ! 1972 | 8 mai
    • Qui paie la note ?

      “La pollution de bureau.” Telle est l’expression inventée par un médecin américain. Parlant dans le Journal of the American Medical Association (du 21 décembre 1970), au sujet du flot de publications médicales non sollicitées qu’il reçoit, il attire l’attention sur quelques faits intéressants les concernant.

      Un jour, il a reçu neuf publications de ce genre, et en un mois soixante-dix. Elles avaient toutes trois caractéristiques en commun : elles renfermaient de la publicité pour divers fabricants de produits pharmaceutiques ; aucune d’elles n’était sollicitée ; elles contenaient des articles susceptibles d’intéresser un praticien. En parcourant trois de ces revues, ce médecin constata qu’elles comptaient 173 pages de lecture et 277 pages de publicité. D’après le nombre de lignes dans les soixante-dix publications, il estime qu’il faudrait quarante heures par semaine pour les lire toutes au cours d’un mois.

      On envoie ces revues toutes les semaines ou tous les mois à des centaines de milliers de médecins. Le poids total de celles qu’a reçues ce praticien durant un mois était de quatorze kilos. Il estime donc que si tous les médecins des États-Unis en reçoivent autant, le poids total s’élève à quelque 3 000 tonnes par mois.

      En général, ces revues médicales sont en papier de bonne qualité et contiennent une publicité coûteuse en couleur. Qui paie la note ? Ni les médecins ni les éditeurs, mais les malades qui achètent les médicaments prescrits, car le prix de ceux-ci comprend le coût de la publicité. Manifestement, la fabrication de médicaments est une affaire extrêmement profitable.

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