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  • Rois (Livre des)
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    • les armées alliées de Joram d’Israël, de Josaphat de Juda et du roi d’Édom sont prises au piège dans un désert aride; les directives qu’Élisée leur donne sous l’inspiration divine et par égard pour Josaphat leur procurent le salut et la victoire sur les Moabites (3:1-27).

      C. Élisée augmente miraculeusement la provision d’huile d’une veuve afin qu’elle puisse payer ses dettes (4:1-7).

      D. Un couple de Sunem offre l’hospitalité à Élisée; en retour, il promet à la femme qu’elle aura un fils; plus tard, l’enfant meurt, mais Élisée le ressuscite (4:8-37).

      E. Élisée rend comestible un ragoût empoisonné, il multiplie des pains, guérit Naaman de la lèpre et fait flotter le fer d’une hache (4:38 à 6:7).

      F. Durant un conflit entre Israël et la Syrie, Élisée révèle au roi d’Israël les déplacements des Syriens; ceux-ci cherchent en vain à mettre la main sur lui (6:8-23).

      G. Le roi syrien Ben-Hadad envahit Israël et assiège Samarie qui connaît alors une grande famine; le roi d’Israël en rend Élisée responsable et projette de tuer le prophète (6:24-33).

      H. Élisée prédit la fin de la famine causée par le siège; sa prophétie se réalise (7:1-20).

      I. Élisée rencontre de nouveau la Sunamite; récit de certains événements de la vie de celle-ci (8:1-6).

      J. Élisée se rend à Damas et y annonce que Hazaël deviendra roi de Syrie; ses paroles s’accomplissent (8:7-15).

      K. Relations entre les deux familles régnantes de Juda et d’Israël aux jours d’Élisée (8:16-29).

      L. Élisée envoie son serviteur oindre Jéhu comme roi; Jéhu conspire contre Joram, roi d’Israël, abat la maison d’Achab et anéantit les adorateurs de Baal (9:1 à 10:36).

      M. Les exécutions ordonnées par Jéhu touchent même Achaziah, roi de Juda (9:27, 28); Athalie, la reine mère, s’empare alors du trône et règne jusqu’à ce que Joas soit oint comme roi et qu’elle soit exécutée; le règne de Joas commence bien mais s’achève d’une manière désastreuse (11:1 à 12:21).

      N. Sous le règne de Joachaz, Israël subit l’oppression de la Syrie, mais connaît ensuite du soulagement; Joas (d’Israël), successeur de Joachaz, visite Élisée qui lui prédit qu’il l’emportera sur les Syriens; Élisée meurt (13:1-21).

      III. Joas, roi d’Israël, remporte trois victoires sur les Syriens (13:22-25).

      IV. Règnes du roi judéen Amaziah et du roi israélite Joas; Juda est vaincu par Israël (14:1-22).

      V. Jéroboam (II) règne sur Israël et recouvre le territoire qui avait été perdu (14:23-29).

      VI. Règnes des rois judéens Azariah et Jotham, et des rois israélites Zacharie, Schallum, Ménahem, Pécaïah et Pécah (15:1-37).

      VII. Règne d’Achaz, roi de Juda; son idolâtrie et ses relations avec l’Assyrie (16:1-20).

      VIII. Règne d’Osée sur Israël; parce que la nation s’est mal conduite envers Dieu, elle est exilée en Assyrie, et les monarques assyriens établissent d’autres peuples dans les villes de Samarie (17:1-41).

      IX. Règne d’Ézéchias sur Juda (18:1 à 20:21).

      A. Ézéchias combat l’idolâtrie, se rebelle contre l’Assyrie et fait la guerre aux Philistins; pendant son règne, les habitants du royaume du Nord sont exilés en Assyrie (18:1-12).

      B. Le roi assyrien Sennachérib envahit Juda; il menace Jérusalem, mais la ville est sauvée, comme l’avait prophétisé Ésaïe, quand l’ange de Jéhovah détruit 185000 hommes de l’armée assyrienne, obligeant Sennachérib à rentrer dans son pays (18:13 à 19:37).

      C. Maladie et guérison d’Ézéchias; il reçoit les messagers babyloniens; sa mort (20:1-21).

      X. Règnes de Manassé et d’Amon (21:1-26).

      XI. Règne de Josias (22:1 à 23:30).

      A. On entreprend la réparation du temple; la découverte du livre de la loi donne lieu à de profondes réformes religieuses et entraîne la destruction des objets voués à l’idolâtrie (22:1 à 23:27).

      B. Mort de Josias dans une bataille contre le pharaon Nécoh (23:28-30).

      XII. Règnes de Joachaz et de Jéhoïakim (23:31 à 24:7).

      XIII. Règne de Jéhoïakin et premier exil babylonien (24:8-17).

      XIV. Règne de Sédécias; destruction de Jérusalem et de son temple par les Babyloniens, suivie d’une nouvelle déportation des habitants (24:18 à 25:21).

      XV. Guédaliah est établi gouverneur sur ceux qui n’ont pas été exilés; après son assassinat, le peuple s’enfuit en Égypte (25:22-26).

      XVI. Le roi babylonien Évil-Mérodach relève le roi exilé Jéhoïakin (25:27-30).

      Voir le livre “Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile”, pp. 61-71.

  • Romain
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    • ROMAIN

      À l’origine et au sens strict, habitant de la ville de Rome, en Italie (Actes 2:10; Rom. 1:7). Au fur et à mesure de l’expansion de l’Empire, ce nom prit un sens plus large. Certaines fois, par “les Romains” on entendait l’autorité impériale au pouvoir tandis que “l’usage des Romains” désignait les méthodes de gouvernement de cette puissance (Jean 11:48; Actes 25:16; 28:17). D’autres fois, le mot “Romain” s’applique simplement à toute personne ayant la citoyenneté romaine, quelle que soit sa nationalité ou son lieu de naissance. — Actes 16:21.

      On pouvait devenir Romain en achetant la citoyenneté comme l’avait fait le commandant Claudius Lysias. On pouvait également naître Romain, c’est-à-dire être citoyen romain de naissance. C’était le cas de l’apôtre Paul qui, bien que de nationalité juive et né à Tarse en Cilicie, à des centaines de kilomètres de l’Italie, était pourtant citoyen romain de naissance. — Actes 21:39; 22:3, 25-28; 23:26, 27; voir CITOYEN, CITOYENNETÉ.

      Le citoyen romain jouissait de nombreux privilèges et avantages. Après la conquête de la Macédoine en 167 avant notre ère, la plupart des citoyens romains furent exemptés d’impôts. Les clauses de la loi romaine connues sous les noms de Lex Valeria et Lex Porcia interdisaient de battre, de fouetter, de torturer les citoyens romains ou de leur infliger un châtiment honteux quel qu’il soit. Sous la République, ces lois leur donnaient également le droit de faire appel de la décision d’un magistrat auprès d’une cour populaire. Plus tard, on en appela directement à l’empereur. Si un crime capital était en cause, les citoyens pouvaient demander à être envoyés à Rome pour y être jugés devant l’empereur en personne (Actes 25:11, 12). La violation de la Lex Valeria et de la Lex Porcia était très grave, comme cela est démontré par deux fois dans le cas de Paul. — Actes 16:37-40; 22:25-29.

  • Romains (Lettre aux)
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    • ROMAINS (LETTRE AUX)

      Livre des Écritures grecques chrétiennes écrit par l’apôtre Paul à l’intention des chrétiens de Rome. Le fait que Paul en soit le rédacteur n’a jamais été réellement contesté. L’authenticité de ce livre et son appartenance au canon sacré sont universellement reconnues par presque tous les biblistes, à l’exception de quelques-uns qui ne réussissent pas à le faire concorder avec leurs doctrines personnelles. En réalité, cette lettre est en parfaite harmonie avec le reste des Écritures divinement inspirées. En fait, Paul cite largement les Écritures hébraïques et y fait souvent référence, de sorte que l’on peut dire que la lettre est solidement fondée sur les Écritures hébraïques et sur l’enseignement du Christ.

      LIEU ET DATE DE RÉDACTION

      Cette lettre fut écrite vers 56 de notre ère à Corinthe. Tertius servit manifestement de secrétaire à Paul et écrivit sous sa dictée (Rom. 16:22). Phœbé, qui vivait à Cenchrées, port de Corinthe situé à onze kilomètres de la ville même, transporta peut-être la lettre (Rom. 16:1). Paul n’était encore jamais allé à Rome, comme le prouvent ses remarques du chapitre 1, versets 9 à 15. Tout porte à croire également que Pierre ne s’y était jamais rendu. — Voir PIERRE (LETTRES DE).

      FORMATION DE LA CONGRÉGATION DE ROME

      La congrégation de Rome a pu être formée par certains des Juifs et des prosélytes de cette ville qui étaient allés à Jérusalem pour la fête de la Pentecôte en 33 de notre ère. Ils y avaient été témoins de l’effusion de l’esprit saint et avaient entendu le discours de Pierre ainsi que les autres chrétiens assemblés (Actes chap. 2). À moins que d’autres personnes converties plus tard au christianisme aient apporté la vérité à Rome. En effet, comme cette grande ville était le centre de l’Empire, beaucoup de gens venaient s’y installer. De plus, les voyageurs et les hommes d’affaires étaient nombreux à s’y arrêter. Paul envoie ses salutations respectueuses à Andronicus et à Junias, ses ‘parents et compagnons de captivité’, “des hommes marquants parmi les apôtres”, qui étaient au service du Christ depuis plus longtemps que lui. Ces hommes ont très bien pu contribuer à la formation de la congrégation chrétienne de Rome (Rom. 16:7). À l’époque où Paul écrivit sa lettre, la congrégation existait sans doute depuis quelque temps déjà et était devenue assez vigoureuse pour que l’on parle de sa foi dans le monde entier. — Rom. 1:8.

      BUT DE LA LETTRE

      En lisant la lettre, on s’aperçoit qu’elle était destinée à une congrégation chrétienne composée à la fois de Juifs et de Gentils. À l’époque, il y avait de nombreux Juifs à Rome; ils y étaient revenus après la mort de l’empereur Claude qui les en avait bannis quelque temps auparavant. Même si Paul n’était pas sur place pour affronter en personne les difficultés que rencontrait la congrégation, il avait dû être informé de la situation qui y régnait par ses amis et collaborateurs, Priscille et Aquila, et peut-être par d’autres personnes qu’il avait rencontrées. Les salutations qu’il donne au chapitre 16 montrent qu’il connaissait personnellement bon nombre de membres de cette congrégation. Paul savait que l’opposition principale au christianisme provenait alors des Juifs. Il connaissait parfaitement leur enseignement et les arguments qu’ils opposaient à la foi chrétienne. Les objections auxquelles il fait allusion et qu’il réfute n’étaient certainement pas de simples hypothèses, mais de véritables objections soulevées par les adversaires juifs. Elles avaient peut-être été sources de discussions ou même de conflits dans la congrégation de Rome.

      Dans ses autres lettres, Paul s’attaquait à des problèmes précis et traitait de questions qu’il considérait comme étant de toute première importance pour ceux à qui il écrivait. À propos de l’opposition des Juifs, Paul avait déjà écrit une lettre à la congrégation de Galatie pour réfuter leurs arguments. Toutefois, cette lettre concernait plus particulièrement les efforts faits par des Juifs qui se disaient chrétiens mais étaient “judaïsants”, c’est-à-dire qui insistaient pour que les convertis d’origine gentile se fassent circoncire et observent certaines règles de la loi mosaïque. Il ne semble pas qu’il y ait eu des efforts concertés de ce genre dans la congrégation de Rome, mais les Juifs aussi bien que les Gentils éprouvaient les uns pour les autres de la jalousie et un sentiment de supériorité.

      En conséquence, il ne s’agit pas d’une simple lettre d’ordre général adressée à la congrégation romaine sans but précis, comme certains le supposent, mais d’une lettre qui apportait aux chrétiens de Rome ce dont ils avaient besoin en la circonstance. Ceux-ci allaient comprendre pleinement le sens et la force des conseils de l’apôtre, car ils se débattaient sans aucun doute avec les questions auxquelles il répondait. De toute évidence, le but de Paul était d’aplanir les difficultés soulevées par les divergences de vues entre les chrétiens juifs et gentils et de les amener ainsi à être unis comme un seul homme en Jésus Christ. Quant à nous, la lettre de Paul nous éclaire et enrichit notre connaissance de Dieu. Elle exalte la justice et la faveur imméritée de Jéhovah ainsi que la position du Christ par rapport à la congrégation chrétienne et à toute l’humanité.

      EMPRESSEMENT, BONTÉ DE CŒUR ET SENTIMENTS CHALEUREUX

      Avec beaucoup d’honnêteté et de franchise, Paul exposa la position des Juifs en soulignant que Juifs et Gentils sont au même rang devant Dieu, ce qui l’amena à tenir des propos que les Juifs auraient pu considérer comme une offense. Mais Paul montra son amour pour ses compatriotes et la chaleur de ses sentiments à leur égard en traitant toutes ces questions avec délicatesse. Quand il émettait une affirmation apparemment désobligeante pour la Loi et les Juifs, il la faisait suivre avec tact d’une déclaration apaisante.

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