BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE Watchtower
Watchtower
BIBLIOTHÈQUE EN LIGNE
Français
  • BIBLE
  • PUBLICATIONS
  • RÉUNIONS
  • Menstruation
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • périodiques de sa femme, en demeurant avec elle “selon la connaissance” et en lui assignant de l’honneur “comme à un vase plus faible, le vase féminin”. — I Pierre 3:7.

  • Menthe
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MENTHE

      (hêduosmon).

      Plante herbacée très aromatique que les Écritures ne mentionnent qu’une seule fois, à propos du soin scrupuleux avec lequel les scribes et les Pharisiens donnaient le dixième de la menthe, alors qu’ils négligeaient les choses autrement plus importantes de la Loi (Mat. 23:23; Luc 11:42). En Palestine et en Syrie, on trouve plusieurs variétés de menthe, la menthe aquatique étant la plus courante. Le mot grec hêduosmon ne désigne probablement pas seulement une espèce de menthe, mais les différentes variétés connues.

      Les feuilles de cette plante, dont la tige est de section carrée, poussent deux par deux, une de chaque côté de la tige. Ses petites fleurs, blanches, bleuâtres ou roses, sont disposées par grappes qui forment soit des verticilles, soit des épis terminaux. Depuis les temps anciens, la menthe est utilisée en médecine et comme aromate. En effet, ses feuilles et sa tige renferment une huile très parfumée.

  • Ménuhoth
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MÉNUHOTH

      {Article non traduit.}

  • Méonénim (Grand arbre de)
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MÉONÉNIM (GRAND ARBRE DE)

      {Article non traduit.}

  • Méonothaï
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MÉONOTHAÏ

      {Article non traduit.}

  • Méphaath
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MÉPHAATH

      {Article non traduit.}

  • Méphiboscheth
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MÉPHIBOSCHETH

      (“celui qui disperse” ou “qui chasse la honte”, ou encore “briseur d’idoles”).

      1. L’un des deux fils que le roi Saül eut de Rizpah, fille d’Aïah (II Sam. 21:8). Il figura parmi les sept descendants de Saül que David livra aux Gabaonites pour faire propitiation parce que Saül avait cherché à exterminer ces derniers. Les Gabaonites exposèrent Méphiboscheth et les six autres membres de la maison de Saül “sur la montagne devant Jéhovah”, après les avoir mis à mort “aux premiers jours de la moisson, au début de la moisson des orges”. (Voir Nombres 25:4.) Cependant, Rizpah éloigna d’eux les oiseaux et les bêtes sauvages, et, par la suite, David fit prendre leurs ossements pour les ensevelir avec ceux de Saül et de Jonathan dans la sépulture de Kisch. — II Sam. 21:1-14.

      2. Fils de Jonathan et petit-fils du roi Saül. Lorsque la nouvelle de la mort de Saül et de Jonathan arriva de Jizréel, la nourrice de Méphiboscheth emporta celui-ci — il avait alors cinq ans — et s’enfuit tout affolée. Dans la précipitation de sa fuite, l’enfant ‘tomba et devint boiteux’ des deux pieds (II Sam. 4:4). Au cours des années qui suivirent, Méphiboscheth habita dans la maison de Makir, fils d’Ammiel, à Lo-Débar. David l’apprit par Ziba, ancien serviteur de la maison de Saül. Se souvenant certainement de son alliance avec Jonathan (I Sam. 20:12-17, 42), David voulut exercer la bonté de cœur à l’égard de ‘quiconque resterait encore de la maison de Saül’. On lui amena alors Méphiboscheth. Quand David exprima le souhait de manifester de la bonté de cœur à son égard en lui restituant “tous les champs de Saül” et en l’invitant à ‘manger constamment le pain à sa table’, Méphiboscheth répondit humblement: “Qu’est-​ce que ton serviteur pour que tu aies tourné ta face vers un chien mort tel que moi?” Néanmoins, conformément à la volonté de David, Ziba (qui avait quinze fils et vingt serviteurs) et tous les gens de sa maison devinrent les serviteurs de Méphiboscheth, qui reçut tous les biens de Saül. Après cela, il habita à Jérusalem et mangea constamment à la table du roi. — II Sam. chap. 9.

      Après que David se fut enfui de Jérusalem parce qu’Absalom avait conspiré contre lui, Ziba vint à sa rencontre et lui apporta des provisions. S’étant enquis de Méphiboscheth auprès de lui, David reçut cette réponse de Ziba: “Voici qu’il demeure à Jérusalem; car il a dit: ‘Aujourd’hui la maison d’Israël me rendra la domination royale de mon père.’” Le roi déclara alors à Ziba: “Voici que tout ce qui appartient à Méphiboscheth est à toi.” (II Sam. 16:1-4). Lorsque David revint à Jérusalem, Méphiboscheth descendit à sa rencontre et le récit dit qu’“il n’avait pas soigné ses pieds, et il n’avait pas soigné sa moustache, et il n’avait pas non plus lavé ses vêtements, depuis le jour où le roi s’en était allé jusqu’au jour où il vint en paix”. Quand le roi demanda à Méphiboscheth pourquoi il ne l’avait pas accompagné, celui-ci lui répondit que son serviteur l’avait dupé, et il ajouta: “Il a donc calomnié ton serviteur auprès de mon seigneur le roi. Mais mon seigneur le roi est comme un ange du vrai Dieu” (c’est-à-dire qu’il fera toute la lumière sur cette affaire). De toute évidence, David reconnut l’innocence de Méphiboscheth puisqu’il changea les termes de son premier décret en disant: “Toi et Ziba, vous devrez partager les champs.” Ce à quoi Méphiboscheth répondit: “Qu’il prenne même le tout, à présent que mon seigneur le roi est arrivé en paix dans sa maison!” — II Sam. 19:24-30; voir Proverbes 18:17; 25:8-10.

      Lorsque les Gabaonites réclamèrent la mort des descendants de Saül afin que propitiation fût faite pour la mauvaise action que le roi avait commise contre eux, David éprouva de la compassion pour Méphiboscheth à cause du serment par Jéhovah qui avait été conclu entre David et Jonathan, aussi épargna-​t-​il Méphiboscheth (II Sam. 21:7, 8). Les Écritures ne nous apprennent rien d’autre sur Méphiboscheth, bien que la famille de Saül ait subsisté plusieurs générations par Mica (Michée), fils de Méphiboscheth (II Sam. 9:12; I Chron. 9:39-44). Méphiboscheth était sans doute appelé aussi Mérib-Baal, comme l’indiqueraient I Chroniques 8:34 et 9:40.

  • Mer
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MER

      Ensemble des eaux de la planète, par contraste avec les terres; vaste étendue d’eau salée ou d’eau douce, en principe de moindre dimension qu’un océan, et partiellement ou entièrement enclose de terres. Les eaux couvrent 70,8 pour cent de toute la surface du globe.

      JÉHOVAH À CRÉÉ LA MER ET IL DOMINE SUR ELLE

      À maintes reprises, la Bible désigne Jéhovah comme le Créateur des mers qu’il sépara d’avec la terre ferme lors du troisième jour de création (Gen. 1:9, 10, 13; Néh. 9:6; Actes 4:24; 14:15; Rév. 14:7). Selon les Écritures, Dieu détient le pouvoir sur la mer et il domine sur elle (Job 26:12; Ps. 65:7; 89:9; Jér. 31:35). Lorsque son Fils était sur terre, il lui conféra une autorité irrésistible sur la mer (Mat. 8:23-27; Marc 4:36-41; Jean 6:17-20). L’empire que Dieu exerce sur les mers se traduit dans la façon dont le littoral et les marées maintiennent leurs flots dans les limites qui leur ont été fixées, un peu comme si les mers étaient barricadées avec des portes (Job 38:8-11; Ps. 33:7; Prov. 8:29; Jér. 5:22; voir SABLE). De ce fait et en raison du rôle qu’elles jouent dans le cycle terrestre de l’eau (Eccl. 1:7; Amos 5:8), elles constituent un bel exemple de ce que sont les œuvres merveilleuses de Jéhovah (Ps. 104:24, 25). Pour reprendre une image poétique, même les mers s’unissent pour louer leur Créateur. — Ps. 96:11; 98:7.

      LES MERS DE PALESTINE

      Dans la région où se situait la Palestine, la mer principale était la “Grande Mer [ou Méditerranée]”, également appelée la “mer occidentale” ou simplement “la Mer”. (Josué 1:4; Deut. 11:24; Nomb. 34:5.) Il y avait aussi la “mer Rouge” ou “mer d’Égypte” (Ex. 10:19; És. 11:15), la “mer Salée [la mer Morte]” ou “mer de l’Arabah” ou encore “mer orientale” (Deut. 3:17; Ézéch. 47:18), et la “mer de Galilée”, également désignée sous le nom de “mer de Kinnéreth” ou mer de “Tibériade”. (Mat. 4:18; Nomb. 34:11; Jean 6:1.) Lorsque l’expression “la mer” apparaît dans les Écritures, c’est souvent le contexte qui permet de déterminer de quelle étendue d’eau particulière il s’agit (Ex. 14:2 [voir 13:18]; Marc 2:13 [voir le verset 1 2:1]). Parfois, le terme hébreu est appliqué à des rivières. — Jér. 51:36 (à propos de l’Euphrate); És. 19:5 (le Nil).

      L’ABÎME

      Le mot grec abussos, qui signifie “très profond” ou “extrêmement profond” et qui est souvent rendu par “abîme”, s’applique quelquefois à la mer ou permet de comparer une chose à la mer, du fait de la profondeur considérable, presque insondable de celle-ci (Rom. 10:6, 7; voir Deutéronome 30:12, 13). Dans le livre symbolique de la Révélation, il est dit de la “bête sauvage” qui monte de “l’abîme” (11:7) qu’elle monte aussi de la “mer”. — Rév. 13:1.

      EMPLOI FIGURÉ

      Alors que la Terre promise devait s’étendre “depuis la mer Rouge jusqu’à la mer des Philistins [la Grande Mer] et depuis le désert jusqu’au Fleuve [Euphrate]”, le futur roi messianique devait régner “de la mer à la mer et du Fleuve aux extrémités de la terre”, ce qui semble englober la planète tout entière (Ex. 23:31; Zach. 9:9, 10; voir Daniel 2:34, 35, 44, 45). C’est ce qui ressort de la façon dont Matthieu et Jean appliquent la prophétie de Zacharie, qui est elle-​même une citation de Psaume 72:8. — Mat. 21:4-9; Jean 12:12-16.

      Pour Jérémie, le bruit des assaillants de Babylone ressemblait à celui “de la mer qui est turbulente”. (Jér. 50:42.) Dès lors, quand il annonça que “la mer” monterait sur Babylone, il faisait manifestement allusion au déferlement des troupes conquérantes conduites par les Mèdes et les Perses. — Jér. 51:42; voir Daniel 9:26.

      Ésaïe compara les hommes méchants de la terre, les masses houleuses qui s’opposent à Dieu, à “la mer agitée, quand elle ne peut se calmer, dont les eaux projettent sans trêve des algues et de la boue”. (És. 57:20.) Selon Révélation 17:1, 15, les “eaux” sur lesquelles Babylone la Grande “est assise” représentent “des peuples et des foules et des nations et des langues”. Par ailleurs, Ésaïe prophétisa ce qui suit au sujet de Sion, la “femme” de Dieu: “Car vers toi se dirigera l’opulence de la mer; les ressources des nations viendront à toi.” (És. 59:20; 60:1, 5). Il semble, d’après ce texte, qu’un grand nombre de personnes sortent de la masse des hommes qui peuplent la terre et se tournent vers la “femme” symbolique de Dieu. Cela peut nous aider à comprendre ce que le “roi du nord” prophétique se propose de faire lorsqu’il plante “ses tentes comparables à des palais entre la grande mer [la Méditerranée] et la montagne sainte de la Parure [sur laquelle se dressait le sanctuaire de Dieu, à Jérusalem ou Sion]”. — Dan. 11:40, 45.

      Daniel décrivit quatre “bêtes” qui sortaient “de la mer” et révéla qu’elles représentaient des rois ou royaumes politiques (Dan. 7:2, 3, 17, 23). Dans le même ordre d’idées, Jean parla d’une ‘bête sauvage qui montait de la mer’, et il fit mention de diadèmes et d’un trône symboliques, ce qui permet là aussi d’assimiler cette bête venue de la “mer” à une organisation politique (Rév. 13:1, 2). En outre, il vit en vision l’époque où il y aurait “un nouveau ciel et une nouvelle terre”, et où la “mer”, c’est-à-dire la masse houleuse des hommes opposés à Dieu, ne serait plus. — Rév. 21:1.

      Jude, frère de Jacques, met ses compagnons chrétiens en garde contre un grand danger: des hommes méchants qui s’infiltrent dans la congrégation afin d’y introduire la corruption morale. Il qualifie ces hommes de “flots sauvages de la mer projetant l’écume que sont leurs propres sujets de honte”. (Jude 4-13.) Jude songeait peut-être à une expression qu’Ésaïe (57:20) avait utilisée avant lui et il décrit sans doute d’une manière figurée le mépris que ces hommes-​là, passionnés et irréfléchis, affichent à l’égard des lois divines, les assauts que par leur conduite vile et lascive ils lancent contre les barrières morales élevées par Dieu. Un commentateur écrit ce qui suit: “Ils étalent en public la boue, la fange de leurs excès (...). Ainsi ces gens projettent l’écume que sont leurs propres actes honteux et ils l’exhibent devant tous les hommes qui, par suite, condamnent l’Église à cause des pratiques méchantes de ces hypocrites.” (F. Cook, Commentary sur Jude). Un autre commentateur déclare: “Leurs propos sont aussi inconsistants et dépourvus de valeur que l’écume produite par les vagues de l’océan; de ce fait, ils proclament en réalité leur propre honte.” — Barnes’ Notes on the New Testament (p. 1518); voir la description que Pierre fait de ces hommes en II Pierre 2:10-22.

  • Mérab
    Auxiliaire pour une meilleure intelligence de la Bible
    • MÉRAB

      (probablement “accroissement”).

      L’aînée des deux filles du roi Saül (I Sam. 14:49). Manifestement, Saül avait promis de donner l’une d’elles en mariage à l’homme qui vaincrait Goliath (I Sam. 17:25), et c’est peut-être pour cette raison qu’il offrit Mérab à David. Après son combat contre Goliath, David s’avéra un guerrier glorieux qui agissait prudemment contre les Philistins, à tel point que Saül “eut peur de lui”, tandis que tout Israël et Juda l’aimaient (I Sam. 18:15, 16). En offrant Mérab pour femme à David, Saül l’exhorta à continuer de se montrer vaillant, tout en se disant: “Que ma main ne vienne pas sur lui, mais que vienne sur lui la main des Philistins!”. Il espérait ainsi que David serait tué dans la bataille. Par humilité, David hésita à accepter

Publications françaises (1950-2025)
Se déconnecter
Se connecter
  • Français
  • Partager
  • Préférences
  • Copyright © 2025 Watch Tower Bible and Tract Society of Pennsylvania
  • Conditions d’utilisation
  • Règles de confidentialité
  • Paramètres de confidentialité
  • JW.ORG
  • Se connecter
Partager