donnée à Israël. Elle était un péché sous la Loi et aussi en 49 de notre ère, après l’abolition de la Loi. Et aujourd’hui, l’impureté sexuelle est toujours un péché. Ceux qui la pratiquent ne peuvent hériter le Royaume de Dieu. — I Cor. 6:9, 10 ; Gal. 5:19-21 ; Rév. 21:8.

Il en va de même de l’idolâtrie et du mauvais usage du sang. Ces choses ont été interdites de façon permanente à quiconque désire être approuvé par l’Auteur de la vie, le seul qui mérite notre attachement exclusif. — Gen. 9:3, 4 ; Actes 21:25.

Coup d’œil sur le monde

Le succès du Transsibérien

Le chemin de fer transsibérien, construit de 1891 à 1917, se trouve aujourd’hui doublé, voire triplé, en certaines sections de son parcours, long de plus de 9 000 kilomètres. D’après l’hebdomadaire américain Business Week, le Transsibérien est en train de “se tailler la part du lion” dans le domaine du transport des marchandises entre l’Europe et le Japon. Depuis 1870, environ 15 pour cent du demi-million de conteneurs qui voyagent chaque année entre les pays industriels européens et le Japon transitent par l’URSS. Les tarifs sont entre 20 et 40 pour cent moins élevés que par voie maritime, surtout pour les machines et l’équipement électronique.

“Pollution mentale”

Dans le journal suisse L’employé de commerce du 2 avril 1976, A. Chédel a écrit : “Les statisticiens ont prouvé que l’Américain moyen vit environ 1 300 heures par an devant son récepteur de télévision. Autant qu’à son travail. Les enfants des USA de moins de 14 ans passent 65 pour cent de leur temps de ‘veille’ devant la télévision. Ainsi, à 14 ans, ils auront vu assassiner environ 18 000 personnes dans les westerns et les policiers. À la fin de leurs études supérieures, ils auront englouti environ 350 000 films publicitaires. Et, finalement, ils auront passé dix années de leur vie devant le petit écran. (...) Les divers aspects des mass media [télévision, radio, presse écrite] ont engendré une pollution mentale aussi dangereuse que la pollution matérielle et dont les effets sont universels. (...) Les mass media agissent souvent indirectement sur le public. Les informations atteignent d’abord les personnes les plus réceptives, les plus aptes à convaincre leur entourage. Ces ‘guides d’opinion’ jouent en fait le rôle de médiateurs. Leur influence s’exerce surtout dans la stabilisation des opinions acquises, ce qui entraîne souvent un conformisme, une passivité de la pensée chez ceux qui les subissent. (...) Il est évidemment plus facile d’absorber un chanteur de charme qu’une étude sérieuse sur un sujet scientifique ou social. Les incidences d’une surabondante information sur la majeure partie des auditeurs ou des téléspectateurs sont de même nature que l’absence d’information. L’esprit de synthèse et de sélection faisant défaut, on aboutit invariablement au même résultat : l’anéantissement de la curiosité et de la soif de connaissance. Ce n’est pas par hasard que l’on assiste aujourd’hui à une régression de la culture jusque dans les milieux traditionnellement cultivés (...). Les mass media, tels qu’ils sont conçus, contribueront-​ils à sauvegarder les hommes ?” Il est permis d’en douter.