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  • Le vrai repentir — Comment le reconnaître?
    La Tour de Garde 1978 | 1er mars
    • dans la congrégation, la paix entre ses membres et avec Dieu. — II Cor. 7:11.

      21. Quel heureux effet la repentance peut-​elle avoir sur nous?

      21 La repentance sincère est donc vitale. Étant donné que nous sommes imparfaits, il nous arrive tous les jours, d’une manière ou d’une autre, de ne pas refléter parfaitement l’image de Jéhovah Dieu. Il convient que nous le regrettions. Toutefois, nous ne devrions pas pour autant nous tourmenter à propos de toutes les fautes mineures qu’il nous arrive de commettre. Mais si nous sommes conscients de commettre souvent des fautes en parole et en acte, nous resterons humbles et il nous sera plus facile d’agir avec miséricorde envers ceux qui pourraient pécher contre nous. C’est alors que si nous prions Dieu de nous pardonner nos fautes, nous serons certains que nos prières lui seront agréables (Mat. 6:12, 14, 15). Ainsi, nous continuerons à faire sa volonté tout en ayant une conscience nette. Oui, nous serons vraiment heureux, sachant que Jéhovah nous a pardonné nos péchés et qu’il nous considère comme ses serviteurs purs qui ont devant eux la perspective de la vie éternelle. — Ps. 32:1, 2; 103:10-13.

  • Faites tout avec une bonne conscience
    La Tour de Garde 1978 | 1er mars
    • Faites tout avec une bonne conscience

      “Heureux l’homme qui ne se met pas lui-​même en jugement par ce qu’il approuve.” — Rom. 14:22.

      1. Pourquoi devons-​nous être prudents pour ce qui est de donner des conseils à quelqu’un en rapport avec des questions personnelles?

      IL N’EST pas facile de prendre de bonnes décisions dans tous les domaines de la vie. Jacques, demi-frère de Jésus Christ, reconnut que “tous, nous trébuchons bien des fois”. C’est pourquoi, dit-​il, “ne soyez pas nombreux (...) à devenir enseignants, sachant que nous recevrons un jugement plus sévère”. (Jacq. 3:1, 2.) Plus souvent nous donnons des conseils aux autres, plus nous augmentons notre part de responsabilité dans les conséquences qui en résulteront.

      2. Pourquoi tous nos conseils doivent-​ils être solidement fondés sur la Bible?

      2 Si nous conseillons autrui uniquement d’après notre conscience ou d’après notre opinion, il nous arrivera fatalement de l’induire en erreur. Même si nous nous efforçons de conseiller quelqu’un en nous basant entièrement sur la Bible, nous devons être sûrs d’avoir la bonne intelligence du texte et ne pas nous perdre en conjectures ni donner un point de vue personnel. Quand quelqu’un accepte et suit un conseil basé uniquement sur la conscience ou l’opinion d’un autre, cela ne lui est guère profitable. Un tel conseil peut même lui faire beaucoup de mal. Comment cela? Eh bien, il n’agit pas selon sa propre conscience. Or, “tout ce qui n’est pas fait par foi est péché”. — Rom. 14:23.

      3. Qu’est-​ce qui est indispensable pour prendre une décision personnelle?

      3 Pour faire quelque chose par foi, ce qui inclut prendre une décision personnelle, il faut acquérir la connaissance exacte ainsi qu’une conviction profonde fondée sur des faits (Héb. 11:1). “Il n’est pas bon que l’âme soit dépourvue de connaissance, et celui qui se hâte avec ses pieds pèche.” (Prov. 19:2). Si l’on n’a pas une connaissance exacte de la volonté de Dieu, on risque de se précipiter dans une mauvaise voie.

      4. Comment celui qui a des difficultés pour prendre une décision peut-​il trouver de l’aide?

      4 Cependant, la foi de certains chrétiens présente des faiblesses, bien souvent à cause d’un manque de connaissance sur certains problèmes de la vie. Jacques dit que les chrétiens peuvent prier Dieu de leur donner la sagesse nécessaire pour faire face à n’importe quelle

  • “Agissez selon votre conscience”
    La Tour de Garde 1978 | 1er mars
    • “Agissez selon votre conscience”

      Quand ils soulèvent certaines questions sur les relations humaines, notamment sur l’honnêteté ou la justice, les gens s’entendent souvent répondre: “Agissez selon votre conscience.” Celui qui donne un tel conseil l’accompagne généralement d’un haussement d’épaules, d’une part parce qu’il hésite à donner un bon conseil et d’autre part parce qu’il pense qu’un conseil plus précis ne serait de toute façon pas suivi.

      Cette expression est devenue si courante que sa signification a évolué au point de vouloir pratiquement dire: “Faites tout ce que votre conscience vous permet.” Quelqu’un qui a peut-être des scrupules de conscience sur un certain point se convaincra lui-​même et réfléchira au moyen de justifier sa conduite douteuse, voire malhonnête, apaisant ainsi sa conscience et se trouvant des excuses pour persévérer dans cette voie.

      Celui qui adopte un tel raisonnement risque de développer une conscience insensible qui ne lui sera plus d’aucun conseil. Elle sera comme les tissus d’une cicatrice laissée par une brûlure profonde. Ces tissus sont insensibles et ne transmettent plus la sensation de douleur qui incite à fuir un danger (I Tim. 4:2). Étant donné où cela peut mener, nous opposerons à l’adage mentionné plus haut cet excellent conseil: Ne transigez jamais avec votre conscience.

      La plupart des gens ont une conscience qui réagit dans de nombreux domaines de la vie. Cependant, elle ne les guide peut-être pas toujours dans la meilleure direction, celle qui conduit à la vie. En effet. s’il est vrai que notre conscience agit pour nous à la manière d’un juge, en interprétant et en appliquant les préceptes et les lois que nous croyons justes, ceux-ci peuvent ne pas être justes s’ils ne sont pas ceux de Dieu.

      Par exemple, dans certains pays la polygamie est très courante. Leurs habitants ne connaissent rien d’autre. Cependant, quand ils acquièrent la connaissance de la Bible, ils s’aperçoivent que ce n’est pas là le genre de mariage que Dieu a prévu pour les chrétiens. Ils doivent donc opérer un changement dans leur conscience et dans leur vie.

      Il y a aussi des chrétiens dont la foi présente des faiblesses, en ce sens qu’ils ont des doutes sur certaines questions de moralité ou de conduite. Ils ont donc besoin d’être instruits pour mieux comprendre quelques principes et leur application, afin d’avoir finalement “les facultés perceptives exercées à discerner le bien et le mal”. — Héb. 5:14.

      Par conséquent, nous devons tous instruire notre conscience, de manière à ce que nos décisions soient solidement fondées sur la Parole de Dieu, et nous opérerons les changements nécessaires si on nous en montre la nécessité, afin de ne pas être des ‘ignorants volontaires’. (II Pierre 3:5, Jérusalem.) C’est alors seulement que nous pourrons ‘agir selon notre conscience’ en toute sécurité. Dans le même temps, nous ne voudrons pas non plus imposer notre conscience aux autres. Certes, nous pourrons peut-être, en nous servant de la Bible, aider quelqu’un à mieux comprendre certaines questions à la lumière des principes fondamentaux, mais nous lui laisserons la même liberté que celle dont nous souhaitons jouir en ne cherchant pas à diriger sa conscience. En effet, si nous agissions ainsi, nous pourrions lui faire du mal en l’empêchant d’avoir une bonne conscience devant Dieu. — I Cor. 8:12.

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