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  • Tuteur
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    • est devenue notre tuteur menant à Christ, afin que nous soyons déclarés justes en raison de la foi. Mais maintenant que la foi est venue, nous ne sommes plus sous un tuteur”. La Loi était stricte. Elle révélait aux Juifs qu’ils étaient des transgresseurs et elle les condamnait (Gal. 3:10, 11, 19). En quelque sorte, elle confia les Juifs convenablement disciplinés à Jésus Christ, leur Enseignant. L’apôtre Paul dit: “Avant que vienne la foi, nous étions gardés sous la loi, mis en captivité, dans l’attente de la foi qui était destinée à être révélée.” — Gal. 3:23.

      L’apôtre Paul dit aux Corinthiens: “Quand vous auriez dix mille tuteurs en Christ, assurément vous n’avez pas beaucoup de pères; car c’est moi qui suis devenu votre père en Christ Jésus par le moyen de la bonne nouvelle.” (I Cor. 4:14, 15). C’était Paul qui, initialement, avait apporté le message de vie à Corinthe; il était donc comme un père pour la congrégation chrétienne de cette ville. Par la suite, d’autres se sont peut-être occupés des Corinthiens comme un tuteur s’occupe des enfants qui lui sont confiés, mais cela ne changeait rien aux relations qui les unissaient à Paul. Des “tuteurs” comme Apollos se sont sans aucun doute vraiment intéressés à la congrégation; mais il y avait quelque chose de plus dans l’intérêt que Paul lui portait: il avait connu les douleurs propres à la paternité spirituelle. — Voir Galates 4:11, 19, 20.

  • Tychique
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    • TYCHIQUE

      (“fortuit, heureux”).

      Assistant de Paul, un “frère bien-aimé, (...) ministre fidèle et (...) compagnon d’esclavage dans le Seigneur”, originaire du district d’Asie (Col. 4:7). Il était l’un des compagnons de Paul qui, avec lui, venaient de Grèce pour se rendre en Asie Mineure en passant par la Macédoine. Mais on ne sait pas si Tychique a fait tout le voyage jusqu’à Jérusalem (Actes 20:2-4). Tychique est l’un de ceux qu’on pense être “le frère” qui, en Grèce, a aidé Tite à préparer le don pour les chrétiens de Judée (II Cor. 8:18, 19; 12:18). Depuis sa prison à Rome, Paul envoya Tychique à Éphèse et à Colosses pour porter des lettres aux frères de ces congrégations; ces lettres promettaient que Tychique leur en dirait davantage concernant sa situation et qu’il les consolerait. Dans sa lettre aux Colossiens, Paul dit qu’Onésime accompagnera Tychique (Éph. 6:21, 22; Col. 4:7-9). Après sa libération, Paul envisage d’envoyer Artémas ou Tychique en Crète (Tite 3:12). Lors de son deuxième emprisonnement à Rome, Paul dépêche Tychique à Éphèse. — II Tim. 4:12.

  • Tyr
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    • TYR

      (“rocher”).

      Principal port de mer phénicien, situé à environ 50 kilomètres au nord du mont Carmel et à quelque 35 kilomètres au sud de Sidon. Tyr était connue comme une ville très ancienne (És. 23:1, 7), mais on ne sait pas au juste quand les Sidoniens fondèrent cette colonie. Elle est mentionnée pour la première fois après la conquête de la Terre promise en 1467 avant notre ère, et en rapport avec les frontières du territoire de la tribu d’Aser. À cette époque, c’était une ville fortifiée. Depuis le début et tout au long de son histoire, Tyr est manifestement restée en dehors des frontières d’Israël, comme une ville voisine indépendante. — Josué 19:24, 29; II Sam. 24:7.

      Par moments, Tyr et Israël entretenaient des relations amicales, notamment pendant les règnes de David et de Salomon. D’habiles ouvriers tyriens furent engagés pour bâtir le palais royal de David avec du bois de cèdre envoyé par Hiram, le roi de Tyr (II Sam. 5:11; I Chron. 14:1). Les Tyriens fournirent aussi à David du bois de cèdre qui devait être employé plus tard dans la construction du temple. — I Chron. 22:1-4.

      Après la mort de David, Hiram fournit à Salomon des matériaux et de la main-d’œuvre pour la construction du temple et d’autres bâtiments gouvernementaux (I Rois 5:1-10; 7:1-8; II Chron. 2:3-14). Un homme mi-israélite, fils d’un Tyrien ouvrier en cuivre, qui était lui-​même un artisan qualifié, fut employé à la construction du temple (I Rois 7:13, 14; II Chron. 2:13, 14). Pour leur travail, les Tyriens ont reçu comme salaire du blé, de l’orge, de l’huile et du vin (I Rois 5:11, 12; II Chron. 2:15). En plus, Salomon donna vingt villes au roi de Tyr, mais ce dernier n’en fut pas très content. — I Rois 9:10-13.

      Avec le temps, Tyr devint une des grandes puissances maritimes du monde ancien. Ses marins et sa flotte commerciale de navires de “Tarsis” étaient renommés pour leurs voyages lointains. La flotte du roi de Tyr et celle de Salomon coopéraient et participaient ensemble à des expéditions pour importer d’Ophir de l’or et d’autres choses précieuses. — I Rois 9:26-28; 10:11, 22; II Chron. 9:21.

      Bien que les Tyriens aient entretenu des rapports fréquents avec Israël, rien n’indique qu’en tant que peuple ils se soient intéressés au culte de Jéhovah. Leurs relations restèrent essentiellement commerciales. Les Tyriens étaient des Cananéens qui avaient pour religion une forme du culte de Baal, leurs divinités principales étant Melkart et Astarté (Aschtoreth). Jézabel était la fille d’Ethbaal, lui-​même roi des Sidoniens (et des Tyriens) au moment où elle épousa Achab, roi du royaume septentrional d’Israël. Jézabel agit de façon infâme en décidant de faire disparaître le culte de Jéhovah. — I Rois 16:29, 31; 18:4, 13, 19.

      CONDAMNÉE PAR DIEU

      Toutefois, ce ne fut pas à cause de la méchanceté de Jézabel et de sa fille Athalie que Tyr finit par s’attirer la sévère condamnation divine. Tyr acquit beaucoup d’importance aux dépens d’autres peuples, y compris Israël. On y fabriquait des objets en métal et en verre ainsi que de la teinture pourpre. Tyr était un centre commercial pour les caravanes, un important carrefour. Cette expansion industrielle et commerciale fit la richesse de la ville, mais avec la richesse vinrent la vanité et l’orgueil. Ses marchands se vantaient d’être princes, et ses négociants, les gens éminents de la terre (És. 23:8). Avec le temps, Tyr finit par s’opposer à Jéhovah et conspira avec les nations voisines contre le peuple de Dieu (Ps. 83:2-8). C’est donc à cause de son insolent mépris de Jéhovah que cette ville s’attira en fin de compte un jugement de condamnation qui aboutit à sa chute et à sa destruction.

      Dans la deuxième partie du IXe siècle avant notre ère, Jéhovah prit note de l’attitude arrogante de Tyr. Il l’avertit donc qu’elle serait payée de retour pour avoir dépouillé Israël de son or, de son argent et de nombreuses choses désirables pour en orner ses temples à elle. Elle rendrait également des comptes pour avoir vendu en esclavage le peuple de Dieu. — Joël 3:4-8; Amos 1:9, 10.

      Plus tard, le prophète Ésaïe consigna une autre déclaration contre Tyr, disant qu’elle serait oubliée pendant “soixante-dix ans”. (És. 23:1-18.) Des années plus tard, le prophète Jérémie inclut Tyr parmi les nations qui seraient désignées pour boire le vin de la colère de Dieu (Jér. 25:8-17, 22, 27; 27:2-7; 47:2-4). Comme les nations mentionnées dans la prophétie de Jérémie devaient “servir le roi de Babylone soixante-dix ans” (Jér. 25:8-11), cela donne à penser que la prophétie d’Ésaïe, comme celle de Jérémie, se rapporte à la campagne de Nébucadnezzar contre Tyr.

      Également par le truchement d’Ézéchiel, contemporain de Jérémie, Jéhovah annonça que Nébucadnezzar ferait venir le malheur sur Tyr (Ézéch. 26:1 à 28:19). Bien que Tyr fût semblable à un beau navire aux voiles et aux revêtements de pont multicolores et dont la proue était incrustée d’ivoire, elle sombrerait au cœur de la haute mer (Ézéch. 27:3-36). Le ‘roi’ de Tyr (sans doute la lignée des monarques) s’était vanté avec arrogance: “Je suis un dieu. Dans le siège de dieu je me suis assis.” Mais il allait disparaître comme un homme ordinaire et serait détruit par le feu. — Ézéch. 28:2-19.

      DESTRUCTION DE LA VILLE

      Nébucadnezzar maintint un long siège devant Tyr, au cours duquel les têtes de ses soldats furent ‘rendues chauves’ à cause du frottement du casque et ‘toute épaule fut dénudée’ pour avoir transporté les matériaux de construction nécessaires aux ouvrages de siège. Comme Nébucadnezzar ne reçut aucun “salaire” pour avoir exécuté le jugement divin sur Tyr, Jéhovah promit de lui donner les richesses de l’Égypte en compensation (Ézéch. 29:17-20). Selon l’historien juif Josèphe (Contre Apion, t. I, par. 21), le siège dura treize ans et coûta très cher aux Babyloniens. L’histoire profane ne relate pas avec exactitude l’ampleur ou l’efficacité des efforts de Nébucadnezzar. Mais à Tyr, les pertes en vies humaines et en biens ont dû être considérables. — Ézéch. 26:7-12.

      Cependant, quand les Israélites sont revenus de l’exil babylonien, les Tyriens étaient en mesure de les aider en leur fournissant du bois de cèdre du Liban pour le deuxième temple, et de reprendre leur commerce avec la ville rebâtie de Jérusalem. — Esdras 3:7; Néh. 13:16.

      Malgré son ampleur, la guerre qui opposa Tyr à Nébucadnezzar n’a pas sonné la fin définitive de la ville. Plus tard, une déclaration prophétique annonça que Tyr bâtirait un rempart et entasserait de l’argent et de l’or, mais que Jéhovah lui-​même la détruirait complètement. — Zach. 9:3, 4.

      Près de 200 ans après que Zacharie eut prononcé sa prophétie, celle-ci se réalisa. En 332 avant notre ère, Alexandre le Grand conduisit son armée à travers l’Asie Mineure et, dans son mouvement vers le sud, il s’arrêta assez longtemps pour diriger son attention sur Tyr. Quand la ville refusa de lui ouvrir ses portes, Alexandre, dans sa colère, ordonna à son armée d’amasser les ruines de la ville continentale et de les jeter dans la mer, afin de bâtir une chaussée jusqu’à la ville insulaire. Tout cela accomplissait la prophétie (Ézéch. 26:4). Tandis que ses forces navales maintenaient les navires tyriens embouteillés dans leur port, Alexandre entreprit de construire les tours de siège les plus élevées jamais édifiées dans les guerres antiques. Finalement, après sept mois, les assiégeants firent une brèche dans la muraille haute de 46 mètres. Outre les 8 000 soldats tués dans la bataille, 2000 personnages éminents furent mis à mort par représailles, et 30 000 Tyriens vendus comme esclaves.

      MENTIONNÉE DANS LES ÉCRITURES GRECQUES CHRÉTIENNES

      Bien qu’ayant été totalement détruite par Alexandre, Tyr fut rebâtie pendant la période des Séleucides, et au Ier siècle de notre ère elle était un important port d’escale sur la Méditerranée. Pendant le grand ministère de Jésus en Galilée, bon nombre de gens originaires des environs de Tyr et de Sidon vinrent écouter son message et se faire guérir de leurs maladies (Marc 3:8-10; Luc 6:17-19). Quelques mois plus tard, Jésus visita personnellement la région autour de Tyr et, à cette occasion, il guérit l’enfant, possédée par un démon, d’une femme syro-phénicienne (Mat. 15:21-29; Marc 7:24-31). Jésus fit remarquer que s’il avait accompli à Tyr et à Sidon les œuvres de puissance qu’il avait faites à Chorazin et à Bethsaïda, les païens de Tyr et de Sidon auraient mieux réagi que ces Juifs. — Mat. 11:20-22; Luc 10:13, 14.

  • Tyrannus
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    • TYRANNUS

      {Article non traduit.}

  • Tyrien
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    • TYRIEN

      {Article non traduit.}

  • Ucal
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    • UCAL

      {Article non traduit.}

  • Uel
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    • UEL

      {Article non traduit.}

  • Ulaï
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    • ULAÏ

      {Article non traduit.}

  • Ulam
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    • ULAM

      {Article non traduit.}

  • Ulcère
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    • ULCÈRE

      Il s’agit d’une plaie qui ne se cicatrise pas, différente d’une blessure faite par une cause extérieure, bien que l’ulcère de type inflammatoire soit généralement dû à une lésion bénigne, telle qu’une écorchure. Les ulcères peuvent être externes ou internes, et ils se développent aussi bien sur la peau que sur des muqueuses. Dans de nombreux cas, ces plaies suppurent et provoquent la destruction progressive et la mort des tissus de la zone malade. Les ulcères inflammatoires sont douloureux et donnent une sensation de brûlure; ils se développent fréquemment sur la partie inférieure de la jambe.

      La Bible déclare de manière prophétique qu’Éphraïm (Israël) a été malade et que Juda a eu un “ulcère” parce qu’ils avaient perdu la faveur divine par suite de leur mauvaise conduite. En effet, au lieu de placer leur confiance en Jéhovah pour être protégés de leurs ennemis, ils avaient vainement recherché l’appui du roi d’Assyrie, qui était incapable de les guérir de leur condition ‘ulcéreuse’. (Osée 5:13.) Plus tard, lorsque les habitants de Sion ont été emmenés en exil par les Babyloniens, il est dit qu’ils souffraient d’un ulcère. — Jér. 30:12-15, 17; voir Luc 16:20, 21; Révélation 16:2, 10, 11.

  • Ulla
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    • ULLA

      {Article non traduit.}

  • Ummah
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    • UMMAH

      {Article non traduit.}

  • Unique
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    • UNIQUE

      (gr. monogénês).

      D’après les lexicographes (Thayer, Liddell et Scott), le mot grec veut dire “seul de son espèce, unique” ou encore “le seul membre d’une famille ou d’une espèce”. Il est employé pour décrire les relations entre un fils ou une fille et ses parents.

      Les Écritures parlent du “fils unique” d’une veuve qui habitait la ville de Naïn, de la “fille unique” de Jaïrus et du fils “unique” d’un homme que Jésus débarrassa d’un démon (Luc 7:11, 12; 8:41, 42; 9:38). La Septante utilise ce mot-​là à propos de la fille de Jephté, dont il est dit: “Or elle était l’unique enfant, absolument. En dehors d’elle il n’avait ni fils ni fille.” — Juges 11:34.

      À maintes reprises l’apôtre Jean parle du Seigneur Jésus Christ comme du Fils unique de Dieu (Jean 1:14;

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