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  • Hénoch
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    • paroles très claires de Jésus rapportées en Jean 3:13, Hénoch n’a pas été enlevé au ciel. Il semble que, comme pour Moïse, Jéhovah fit disparaître le corps d’Hénoch, car “on ne le trouva nulle part”. — Deut. 34:5, 6; Jude 9.

      Hénoch n’est pas le rédacteur du “Livre d’Hénoch”, livre apocryphe non inspiré qui fut écrit de nombreux siècles plus tard, sans doute durant les second et premier siècles avant notre ère.

  • Hépher
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    • HÉPHER

      {Article non traduit.}

  • Héphérites
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    • HÉPHÉRITES

      {Article non traduit.}

  • Hephzibah
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    • HEPHZIBAH

      {Article non traduit.}

  • Héraut
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    • HÉRAUT

      Officier de cour qui faisait une proclamation publique des ordres et des décrets royaux. Ce mot apparaît en Daniel 3:4, où il est question d’un héraut qui proclame le décret de Nébucadnezzar ordonnant au peuple d’adorer la statue qu’il a érigée.

      Le verbe grec traduit par “prêcher” est kêrusséin; ce terme se rencontre souvent dans les Écritures grecques chrétiennes. Il a pour sens premier “proclamer en qualité de héraut; être héraut; faire fonction de héraut; être annonceur; rassembler par l’entremise d’un héraut; proclamer (comme le fait un conquérant)”. Le nom dérivé kêrux signifie “héraut; messager public; envoyé; crieur (qui fait certaines proclamations et qui maintient l’ordre dans les assemblées, etc.)”. Un autre dérivé, kêrugma, désigne “ce qui est crié par un héraut; proclamation; annonce (d’une victoire aux jeux); ordre; convocations [sommations]”. La Bible d’Osty de 1973 rend Marc 13:10 comme suit: “Il faut d’abord qu’à toutes les nations soit proclamé l’évangile.” (Voir GL; Jé; voyez aussi Marc 1:45; Révélation 5:2). Cela veut dire que les proclamateurs de l’évangile agiraient en qualité de hérauts.

      Ainsi kêrusséin signifie généralement “proclamer (une bonne ou une mauvaise nouvelle)”, ce qui le distingue de éuaggélizô, “apporter ou annoncer une bonne nouvelle”. Noé était un prédicateur (ou héraut, kêrux) pour le monde antédiluvien qu’il avertit (II Pierre 2:5). Christ prêcha (tel un héraut) aux esprits en prison, mais il ne leur apporta pas une bonne nouvelle (I Pierre 3:18, 19). Cependant, plusieurs textes de l’Écriture utilisent kêrusséin en rapport avec la prédication (ou proclamation) publique de la bonne nouvelle du Royaume de Dieu. — Mat. 24:14; Marc 14:9; Luc 8:1; 9:2; Rom. 10:14.

  • Herbe
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    • HERBE

      Toute plante appartenant à la famille des graminées, y compris les céréales, l’herbe des prés et des pâtures, la canne à sucre ainsi que le bambou. De même qu’aujourd’hui encore, dans l’usage courant de ce mot, on ne suit pas strictement la classification scientifique, de même les anciens Hébreux ne faisaient probablement pas la distinction entre l’herbe véritable et les plantes herbacées.

      L’herbe qui vint à l’existence le troisième jour de la création (Gen. 1:11-13) sert, directement ou indirectement, de nourriture aux humains et aux animaux. Comme d’autres plantes, elle joue aussi un rôle important dans la purification de l’air en absorbant le gaz carbonique et en produisant de l’oxygène. Les racines très étendues des plantes herbacées contribuent également à limiter l’érosion du sol. C’est donc fort justement que l’herbe est incluse dans les choses données par Jéhovah, au même titre que la lumière du soleil et la pluie qui sont indispensables à la croissance de l’herbe. — Ps. 104:14; 147:8; Zach. 10:1; II Sam. 23:3, 4; Job 38:25-27; Mat. 5:45.

      Les Israélites étaient habitués à voir l’herbe se faner sous la chaleur intense du soleil durant la saison sèche. C’est pourquoi la vie brève de l’homme est à juste raison comparée à la durée éphémère de l’herbe en opposition avec l’éternité de Jéhovah et de sa “parole”. (Ps. 90:4-6; 103:15-17; És. 40:6-8; 51:12; I Pierre 1:24, 25.) Les malfaiteurs aussi sont semblables à l’herbe qui se flétrit rapidement (Ps. 37:1, 2). Ceux qui haïssaient Sion ainsi que les peuples appelés à être écrasés par des conquérants sont comparés à l’herbe qui pousse sur les toits de terre et qui n’a pas de racine. Cette herbe se dessèche avant qu’on l’arrache ou est brûlée par le vent d’est. — Ps. 129:5, 6; II Rois 19:25, 26; És. 37:26, 27.

      Une prophétie de restauration annonçait que les os des serviteurs de Dieu ‘pousseraient comme l’herbe tendre’, c’est-à-dire seraient revigorés par une force nouvelle. — És. 66:14; voir Ésaïe 58:9-11.

  • Herbe (Mauvaise)
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    • HERBE (MAUVAISE)

      Il s’agit généralement de plantes gênantes qui n’ont apparemment aucune utilité là où elles poussent. Certains biblistes se sont efforcés d’identifier chaque terme hébreu ou grec rendu par “mauvaise herbe” à une plante bien précise, mais ils ne peuvent le faire avec certitude.

      Le mot hébreu boʼshâh dériverait d’une racine signifiant “puer”. Il désigne donc une variété de plantes dégageant une mauvaise odeur, une “herbe puante”. Le fidèle Job déclara que si sa vie n’avait pas été intègre, alors, qu’au lieu d’orge pousse l’herbe puante. — Job 31:40.

      On pense que ḥôaḥ, un autre terme hébreu, désigne les plantes épineuses en général, par exemple l’herbe épineuse qui pousse sur les terres cultivées et qui envahit rapidement celles qui sont abandonnées (Job 31:40; És. 34:13; Osée 9:6). Le même mot apparaît en Job 41:2 où il semble être question d’une épine que l’on passe à travers les branchies d’un poisson pour le porter. Ḥôaḥ est également utilisé dans un sens figuré (Cant. 2:2). Avec l’herbe épineuse qu’il tient à la main, un ivrogne peut se faire du mal ou blesser quelqu’un d’autre; il en va de même du stupide qui fait un mauvais usage d’un proverbe parce qu’il ne le comprend pas (Prov. 26:9). Joas, roi d’Israël, déclara que l’orgueilleux Amasiah, roi de Juda, qui voulait s’attaquer à lui, ressemblait à une herbe épineuse qui demanderait à s’allier par mariage à un cèdre du Liban. — II Rois 14:8, 9; II Chron. 25:18.

      De même, le mot hébreu shayith paraît désigner une variété d’herbe qui croît sur les terres abandonnées ou en friche (És. 5:6; 7:23-25; 27:4). Ce terme (traduit par “mauvaises herbes”) est utilisé dans un sens figuré pour représenter des individus qui, en raison de leur infidélité, ont perdu toute valeur et méritent seulement d’être brûlés. — És. 9:18, 19; 10:17-19; voir Daniel 4:20-22.

      En Proverbes 24:31, la forme plurielle du mot qimmôsh, couramment traduit par “ortie”, semble désigner des mauvaises herbes de toutes sortes. — Voir ORTIE.

      La mauvaise herbe (gr. zizanion) de l’illustration de Jésus, rapportée en Matthieu 13:24-30, 36-43, est généralement identifiée à l’ivraie enivrante (Lolium temulentum) qui ressemble beaucoup au blé lorsque l’un et l’autre sont en herbe. Cependant, une fois qu’ils sont tous deux arrivés à maturité, on peut facilement distinguer l’ivraie du blé en raison de ses graines noires beaucoup plus petites. C’est pour cette raison, ajoutée au fait que les racines de cette mauvaise herbe enlacent le blé, qu’il ne serait pas sage d’arracher l’ivraie avant l’époque de la moisson. Si les graines de l’ivraie se trouvaient mélangées aux grains de blé après la moisson, cela pouvait être mauvais pour celui qui en consommait. On a attribué certains vertiges et même un empoisonnement mortel à la consommation de pain fait avec une farine contenant une trop forte proportion d’ivraie. On pense généralement que la toxicité de l’ivraie serait due à un champignon qui se développe dans ses graines.

  • Herbe salée
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    • HERBE SALÉE

      Ainsi a-​t-​on traduit le mot hébreu mallouaḥ qui se rencontre une seule fois dans l’Écriture pour désigner ce dont se nourrissaient les pauvres (Job 30:4). Ce terme qui, croit-​on, dérive d’une racine signifiant “saler” est aussi traduit par “arroche” (Os; Jé), “pourpier de mer” (Da) et “mauve(s)”. (AV; RS.) Cette dernière traduction semble résulter de la ressemblance entre le mot hébreu mallouaḥ et le grec malakhê d’où viendrait le français “mauve”. Toutefois, en Job 30:4 les traducteurs de la Septante n’ont pas utilisé malakhê mais alima (“herbes salées”, LXX de Bagster). Alima, comme mallouaḥ, désignerait soit le goût salé de la plante, soit la région où elle pousse.

      Dans la Bible, on traduit le plus souvent mallouaḥ par “arroche” ou “pourpier de mer”. (Atriplex halimus.) Cet arbrisseau broussailleux a généralement une hauteur de 30 à 90 centimètres, mais sur les bords de la mer Morte on en trouve des spécimens qui ont trois mètres de haut. Ses feuilles, petites et épaisses, ont un goût amer, et au printemps cet arbrisseau porte de minuscules fleurs pourpres. L’air marin est nécessaire à sa survie.

  • Herbes amères
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    • HERBES AMÈRES

      {Article non traduit.}

  • Hérès
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    • HÉRÈS

      {Article non traduit.}

  • Héresch
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    • HÉRESCH

      {Article non traduit.}

  • Héreth (Forêt de)
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    • HÉRETH (FORÊT DE)

      {Article non traduit.}

  • Héritage
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    • HÉRITAGE

      Patrimoine transmis lors de la mort du propriétaire à son héritier ou à ceux qui sont habilités à lui succéder; tout ce qu’on reçoit d’un ancêtre ou d’un prédécesseur comme par une succession. En Israël, l’héritage se composait essentiellement des possessions foncières, mais il pouvait également comprendre des biens mobiliers. Par ailleurs, la Bible parle aussi d’héritages d’ordre spirituel. Ainsi, les chrétiens engendrés de l’esprit saint sont appelés “héritiers de Dieu, mais cohéritiers de Christ”. S’ils restent fidèles, ils peuvent s’attendre à recevoir “l’héritage éternel”. — Rom. 8:17; Héb. 9:15.

      À L’ÉPOQUE PATRIARCALE

      Abraham, Isaac et Jacob, fidèles patriarches hébreux, ne possédaient pas de terres, exception faite du champ où se trouvait la caverne qui leur servait de sépulture et de celui que Jacob acheta près de Sichem (Gen. 23:19, 20; 33:19). Au sujet du séjour d’Abraham en Canaan, Étienne, martyr chrétien, déclara: “Mais il ne lui a pas donné de propriété héréditaire dans ce pays, pas même la largeur d’un pied; mais il a promis de le lui donner en possession et, après lui, à sa postérité, alors qu’il n’avait pas encore d’enfant.” (Actes 7:5). Dès lors, l’héritage que ces hommes transmirent à leurs enfants se composait de leur bétail et de leurs biens mobiliers. Le fils premier-né héritait d’une double portion de la propriété ancestrale, soit deux fois le lot attribué aux autres fils. Les filles du patriarche Job, elles, reçurent un héritage parmi leurs frères. Toutefois, la Bible ne précise pas si leur part comprenait des terres. — Job 42:15.

      Pour certaines raisons, le père pouvait transférer le droit d’aînesse à un fils cadet. Tous les pères qui, d’après la Bible, ont opéré pareil changement ne l’ont pas fait par caprice ni par favoritisme, mais sous la direction divine. — Gen. 25:23; 46:4; 48:13-19; I Chron. 5:1, 2.

      Le concubinage était une pratique légale. D’ailleurs, la Bible présente parfois une concubine comme la “femme” de son compagnon, et, réciproquement, elle appelle ce dernier son “mari”. De même, le père de la concubine est quelquefois décrit comme le beau-père du concubin, qui, dès lors, est tenu pour son gendre (Gen. 16:3; Juges 19:3-5). Les fils de la concubine étaient donc des enfants légitimes. Aussi disposaient-​ils du même droit de succession que les fils de l’épouse en titre.

      Alors qu’il n’avait pas d’enfant, Abraham avait fait de son esclave Éliézer son héritier présomptif. Toutefois, Jéhovah lui fit savoir qu’il aurait un fils pour héritier. — Gen. 15:1-4.

      À L’ÉPOQUE DE LA LOI

      Sous la Loi, le père n’était pas autorisé à accorder le droit de primogéniture au fils de sa femme favorite aux dépens de son véritable premier-né, si celui-ci lui avait été donné par une femme qu’il aimait moins. Il lui fallait laisser à l’aîné de ses fils une double part de tout ce qu’il possédait (Deut. 21:15-17). À défaut de fils, l’héritage revenait aux filles (Nomb. 27:6-8; Josué 17:3-6). Cependant, les filles qui recevaient un héritage foncier ne devaient épouser qu’un homme de la tribu de leur père, afin que leur héritage ne circulât pas d’une tribu à l’autre (Nomb. 36:6-9). Quand il n’y avait pas d’enfant, l’ordre de succession était le suivant: 1) les frères du défunt, 2) les frères de son père et 3) le plus proche parent par le sang (Nomb. 27:9-11). L’épouse, de son côté, n’héritait rien de son mari. Lorsqu’un homme mourait sans avoir d’enfant, sa femme gardait la possession foncière jusqu’à ce que celle-ci fût rachetée par celui qui disposait du droit de rachat. Dans ce cas, ce dernier devait racheter l’épouse avec la propriété (Ruth 4:1-12). Sous la loi du lévirat, le premier enfant que la femme donnait au racheteur devenait l’héritier de son ex-mari et perpétuait son nom. — Deut. 25:5, 6.

      Les héritages fonciers

      Les Israélites reçurent leur héritage de Jéhovah, qui fixa pour Moïse les frontières de leur pays (Nomb. 34:1-12; Josué 1:4). Les fils de Gad et de Ruben ainsi que la demi-tribu de Manassé se virent accorder leur lot par Moïse (Nomb. 32:33; Josué 14:3). Quant à l’héritage des autres tribus, il fut déterminé par le sort, sous la surveillance de Josué et d’Éléazar (Josué 14:1, 2). Conformément à la prophétie de Jacob consignée en Genèse 49:5, 7, Siméon et Lévi ne reçurent pas en héritage un territoire indépendant. En effet, on donna à Siméon des terres (et des villes enclavées) à l’intérieur du territoire de Juda (Josué 19:1-9), tandis que l’on assigna à Lévi quarante-huit villes disséminées dans tout le pays d’Israël. Nous lisons que les Lévites avaient Jéhovah pour héritage, car ils s’étaient vu confier un service spécial au sanctuaire. Ils percevaient la dîme

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