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  • Madagascar refuse la liberté des cultes
    La Tour de Garde 1971 | 1er avril
    • entourent en enseignant les principes élevés de la Bible.

      Vous pouvez inviter ces fonctionnaires à tenir compte de l’avertissement qui fut donné aux persécuteurs religieux des apôtres de Jésus-Christ, savoir : “Ne vous mêlez pas de ces hommes, mais laissez-​les ; (parce que, si ce projet ou cette œuvre vient des hommes, il sera renversé ; mais s’il vient de Dieu, vous ne pourrez les renverser ;) sinon, vous serez peut-être trouvés comme combattants contre Dieu.” — Actes 5:38, 39.

      Dans sa constitution, la République Malgache ‘affirme sa croyance en Dieu’. Dans votre appel, vous voudrez peut-être dire aux fonctionnaires que s’il en est vraiment ainsi, ils doivent cesser de mener contre Jéhovah Dieu un combat perdu d’avance. Dans votre lettre, vous pouvez exprimer le désir d’entendre le plus tôt possible des nouvelles annonçant au monde entier que la République Malgache a annulé l’interdiction prononcée contre les témoins de Jéhovah et a retrouvé sa dignité, en assurant à ces chrétiens paisibles la liberté religieuse que la constitution malgache ‘garantit’.

      Les personnes qui tiennent à la liberté des cultes et qui auront participé à cet appel, attendront avec impatience la réponse des autorités, non pas une simple déclaration écrite, mais surtout une action bienveillante de la part du gouvernement de la République Malgache devant le tribunal du Dieu Tout-Puissant.

  • Questions de lecteurs
    La Tour de Garde 1971 | 1er avril
    • Questions de lecteurs

      ● Jéhovah ne s’est-​il pas montré partial dans sa façon d’agir avec la nation d’Israël ? Or, dans Actes 10:34, la Bible dit que “Dieu n’est pas partial”. Comment accorder ces deux choses ?

      Être impartial signifie se montrer exempt de prévention ou de favoritisme. L’impartialité consiste à ne pas permettre à la position, aux richesses, à la puissance d’une personne ou à toute autre chose d’influencer notre jugement ou nos actions en sa faveur. Nous n’accepterons pas de pot-de-vin et, d’autre part, nous ne permettrons pas à la sentimentalité de nous influencer automatiquement en faveur d’une personne pauvre. Celui qui est impartial veille à ce que tout individu soit traité en harmonie avec ce qui est juste et droit, selon ses mérites ou ses besoins. — Prov. 3:27.

      Jéhovah a déclaré qu’il “ne fait point acception des personnes et (...) ne reçoit point de présent”. (Deut. 10:17 ; II Chron. 19:7.) Lorsque l’apôtre Pierre comprit que Dieu avait entendu les prières de Corneille, un Gentil incirconcis, et dirigé les événements de telle sorte que cet homme entre en relation avec la congrégation chrétienne, il déclara : “Vraiment je m’aperçois que Dieu n’est pas partial, mais qu’en toute nation l’homme qui le craint et pratique la justice lui est agréable.” — Actes 10:34 ; Rom. 2:10, 11.

      Cependant, certains ont prétendu que dans l’Antiquité Jéhovah avait agi avec partialité en faisant d’Israël son peuple et en lui accordant sa faveur. Mais un examen honnête de ses relations avec ce peuple révélera que pareille accusation est fausse. Si Jéhovah a choisi les Israélites et a traité avec eux, ce n’est pas en raison de leur puissance et de leur grand nombre, mais parce qu’il avait aimé et apprécié la foi et la loyauté de son ami Abraham, leur ancêtre. En outre, il se montra longanime envers eux, parce qu’il leur avait fait porter son nom. — Deut. 7:7-11 ; 29:13 ; Ézéch. 36:22 ; Ps. 105:8-10.

      Quand Israël obéissait, il était béni plus que les autres nations qui n’avaient pas reçu la Loi que Jéhovah avait donnée par l’intermédiaire de Moïse. Lorsque les Israélites désobéissaient, Dieu se montrait patient et miséricordieux, tout en les châtiant. Bien qu’occupant une position privilégiée, leur responsabilité devant Dieu était plus grande, car ils portaient son nom et se trouvaient sous la Loi.

      Celle-ci annonçait des malédictions sur quiconque la transgresserait. Il est écrit : “Maudit soit celui qui n’accomplit point les paroles de cette loi, et qui ne les met point en pratique !” (Deut. 27:26). En violant la Loi, les Juifs tombèrent sous cette malédiction qui s’ajouta à leur condamnation en tant que descendants

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