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  • Examinons les Écritures chaque jour 2019
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Examinons les Écritures chaque jour 2019
es19 p. 108-118

Novembre

Vendredi 1er novembre

Rejet[ons] l’impiété et les désirs de ce monde, et [...] viv[ons] avec bon sens et justice et attachement à Dieu (Tite 2:12).

Celui qui a de l’autodiscipline maîtrise ses pensées et ses actions. On ne naît pas avec cette qualité. On doit l’apprendre. Pour qu’un enfant acquière l’autodiscipline et la sagesse, ses parents doivent le former avec patience « dans la discipline et les avertissements de Jéhovah » (Éph. 6:4). Ceux qui découvrent la vérité à l’âge adulte doivent eux aussi apprendre à développer l’autodiscipline. Même s’ils en possèdent déjà dans une certaine mesure, ils ne sont pas encore des chrétiens mûrs. C’est en s’efforçant de « revêtir la personnalité nouvelle » et d’imiter Jésus qu’ils progresseront en maturité (Éph. 4:23, 24). L’autodiscipline joue un rôle essentiel dans ce processus. w18.03 29 § 3-4.

Samedi 2 novembre

Suivez la voie de l’hospitalité (Rom. 12:13).

Jéhovah et son organisation nous invitent aux réunions. Nous voulons que tous ceux qui y assistent se sentent les bienvenus, en particulier les nouveaux (Rom. 15:7). Eux aussi sont invités par Jéhovah ; nous devons donc les mettre à l’aise, quelle que soit leur apparence ou la façon dont ils sont habillés (Jacq. 2:1-4). Si tu remarques qu’un nouveau est seul, pourrais-​tu lui proposer de s’asseoir à côté de toi ? Il appréciera peut-être que tu lui expliques le déroulement de la réunion et que tu l’aides à trouver les versets dans la Bible. C’est un excellent moyen de « suiv[re] la voie de l’hospitalité ». Régulièrement, des orateurs d’autres congrégations, notre surveillant de circonscription, ou parfois des représentants du Béthel, visitent notre congrégation. Ce sont également d’excellentes occasions de nous montrer hospitaliers (3 Jean 5-8). Nous pourrions par exemple les inviter chez nous pour un goûter ou un repas. w18.03 15 § 5, 7.

Dimanche 3 novembre

Qu’est-​ce qui m’empêche de me faire baptiser ? (Actes 8:36).

Citons le cas d’un homme du nom de Saul. Il était né dans une nation vouée à Dieu, la nation juive. Cependant, les Juifs avaient perdu leur relation privilégiée avec Jéhovah parce qu’ils ne lui obéissaient pas. Comme Saul pensait que c’étaient toujours les Juifs qui servaient Dieu de la bonne façon, il persécutait les chrétiens. Mais un jour, Jésus ressuscité lui a parlé depuis le ciel. Comment Saul a-​t-​il réagi ? Il a volontiers accepté l’aide du disciple Ananias. Puis, « il se leva et fut baptisé » (Actes 9:17, 18 ; Gal. 1:14). On le connaît aujourd’hui sous le nom de l’apôtre Paul. Remarquons que, dès qu’il a compris que Dieu utilisait Jésus pour accomplir sa volonté, Saul s’est fait baptiser. Il n’a pas retardé sa décision (Actes 22:12-16). Aujourd’hui encore, c’est le cas de nombreux étudiants de la Bible, jeunes ou moins jeunes. w18.03 5-6 § 9-11.

Lundi 4 novembre

Je n’ai pas pu vous parler comme à des hommes spirituels, mais comme à des hommes charnels (1 Cor. 3:1).

Jacob n’a pas eu une vie facile. Son propre frère, Ésaü, a voulu le tuer. Son beau-père a essayé plusieurs fois de l’exploiter. Mais Jacob était un homme spirituel (1 Cor. 2:14-16). Il avait foi en la promesse que Jéhovah avait faite à Abraham. Et comme il savait que sa famille jouerait un rôle dans l’accomplissement de cette promesse, il a fait de son mieux pour en prendre soin (Gen. 28:10-15). Comment savons-​nous qu’il n’a pas laissé les personnes « physiques » de son entourage lui faire oublier les promesses de Jéhovah ? Par exemple, quand il s’est senti menacé par Ésaü, il a supplié Jéhovah de le délivrer et a ajouté : « Tu as dit : “Vraiment, je te ferai du bien et je constituerai ta semence comme les grains de sable de la mer” » (Gen. 32:6-12). Manifestement, Jacob avait une foi forte dans les promesses de Jéhovah, et sa façon de vivre le prouvait. w18.02 20 § 9-10.

Mardi 5 novembre

[C’est] un homme intègre et droit, craignant Dieu et s’écartant du mal (Job 1:8).

Job a vécu de gros changements dans sa vie. À un moment, c’était « le plus grand de tous les Orientaux » (Job 1:3). Il était très riche, très connu et très respecté (Job 29:7-16). Malgré cela, il ne pensait pas qu’il était mieux que les autres ou qu’il n’avait pas besoin de Dieu. Jéhovah l’a d’ailleurs appelé « mon serviteur ». Satan a lancé plusieurs attaques brutales et douloureuses contre Job. De plus, il s’est arrangé pour qu’elles semblent venir de Dieu (Job 1:13-21). Puis, trois hommes qui prétendaient être les amis de Job lui ont dit des choses cruelles. Ils ont affirmé en quelque sorte que Dieu le punissait pour sa méchanceté (Job 2:11 ; 22:1, 5-10). Malgré cela, Job est resté fidèle à Jéhovah. À la fin de l’épreuve, Jéhovah a donné à Job le double de tout ce qu’il avait perdu et lui a permis de vivre encore 140 ans (Jacq. 5:11). Au cours de ces années, Job a continué de servir Jéhovah de tout son cœur. w18.02 6 § 16 ; 7 § 18.

Mercredi 6 novembre

Les hommes seront [...] arrogants, orgueilleux, [...] gonflés d’orgueil (2 Tim. 3:2, 4).

Une personne orgueilleuse veut plus que tout être admirée. Un spécialiste a écrit : « Dans son cœur, il y a un petit autel devant lequel elle s’incline pour s’adorer elle-​même. » À propos de l’orgueil, certains disent que ce défaut est tellement désagréable que même les orgueilleux le détestent chez les autres. Jéhovah déteste l’orgueil. Il hait les « yeux hautains » (Prov. 6:16, 17). L’orgueil empêche quelqu’un de s’approcher de Dieu (Ps. 10:4). C’est un défaut manifesté par le Diable (1 Tim. 3:6). Malheureusement, même des serviteurs fidèles de Jéhovah ont été contaminés par l’orgueil. Ozias, roi de Juda, a été fidèle pendant des années. Mais la Bible dit : « Dès qu’il fut devenu fort, son cœur s’enorgueillit, oui jusqu’à causer la ruine, de sorte qu’il se montra infidèle envers Jéhovah son Dieu. » En effet, Ozias est entré dans le temple pour brûler de l’encens, ce qu’il n’avait pas le droit de faire. Le roi Ézéchias aussi s’est montré orgueilleux, mais pendant un temps seulement (2 Chron. 26:16 ; 32:25, 26). w18.01 28 § 4-5.

Jeudi 7 novembre

Que [...] chacun de vous [...] mette quelque chose de côté selon qu’il prospérera (1 Cor. 16:2).

Selon la Bible, les serviteurs de Jéhovah du passé faisaient des offrandes. Dans certains cas, ils donnaient pour financer des projets (Ex. 35:5 ; 2 Rois 12:4, 5 ; 1 Chron. 29:5-9). Au Ier siècle, quand des chrétiens ont appris que leurs frères de Judée avaient besoin d’aide à cause d’une famine, ils ont décidé « d’envoyer, chacun selon ses moyens, des secours [à leur] service » (Actes 11:27-30). Bien sûr, les serviteurs de Jéhovah du passé n’ont pas tous offert la même chose. Au Ier siècle, des chrétiens ont vendu certains de leurs biens, comme leurs champs ou leurs maisons, et ont apporté l’argent de la vente aux apôtres. Les apôtres ont ensuite distribué cet argent aux frères et sœurs qui en avaient besoin (Actes 4:34, 35). D’autres chrétiens mettaient régulièrement de l’argent de côté, puis l’offraient pour soutenir l’œuvre. Ainsi, tous pouvaient donner quelque chose, du plus pauvre au plus riche (Luc 21:1-4). w18.01 18 § 7 ; 19 § 9.

Vendredi 8 novembre

Les garçons s’épuiseront et se lasseront (Is. 40:30).

Quelles que soient nos capacités, ce que nous pouvons accomplir par nos propres forces est limité. C’est un fait que nous devons tous admettre. Prenons l’exemple de l’apôtre Paul. Malgré ses nombreuses capacités, il avait des limites qui l’empêchaient de faire tout ce qu’il souhaitait. Quand il a prié à ce sujet, Jéhovah lui a répondu : « Ma puissance est en train d’être rendue parfaite dans la faiblesse. » Paul a compris la leçon. C’est pourquoi il a dit : « Lorsque je suis faible, c’est alors que je suis puissant » (2 Cor. 12:7-10). Que voulait-​il dire ? Paul avait compris que ce qu’il pouvait faire par lui-​même était limité. Il avait besoin de l’aide de quelqu’un de bien plus puissant. Dieu, par son esprit saint, pouvait le fortifier quand il se sentait faible. Mais il pouvait aussi lui donner la capacité de faire des choses qu’il n’aurait jamais pu accomplir tout seul. C’est pareil pour nous. Jéhovah, par son esprit saint, peut nous rendre vraiment forts ! w18.01 9 § 8-9.

Samedi 9 novembre

Depuis ta toute petite enfance tu connais les écrits sacrés, qui peuvent te rendre sage pour le salut (2 Tim. 3:15).

Si ton enfant souhaite se faire baptiser, lis et étudie les conseils que l’organisation de Jéhovah fournit aux parents. Tu pourras ainsi plus facilement montrer à ton enfant que son choix de se vouer à Jéhovah et de se faire baptiser est très sérieux, mais qu’il lui apportera aussi beaucoup de bienfaits. Si tu es parent, tu as la responsabilité importante — et le privilège — d’élever ton enfant « dans la discipline et les avertissements de Jéhovah » (Éph. 6:4). Cela signifie que tu dois lui enseigner ce que la Bible dit, mais aussi l’aider à acquérir la conviction que ce qu’il apprend est vrai. En effet, il a besoin d’une conviction forte qui le poussera à se vouer à Jéhovah et à le servir de tout son cœur. Que la Parole de Dieu, l’esprit saint et tes efforts aident ton enfant à devenir « sage pour le salut » ! w17.12 22 § 17, 19.

Dimanche 10 novembre

Tu te lèveras pour ton lot à la fin des jours (Dan. 12:13).

Daniel avait presque 100 ans et approchait de la fin de sa vie. Pourrait-​il revivre ? Absolument ! À la fin de son livre, nous lisons cette assurance que Dieu lui a donnée : « Quant à toi, va vers la fin ; et tu te reposeras ». Daniel savait que les morts se reposent et qu’ils n’ont « ni plan, ni connaissance, ni sagesse dans le shéol », où lui-​même irait dans peu de temps (Eccl. 9:10). Mais tout n’était pas fini pour lui. Jéhovah lui promettait un avenir. Le message continuait avec les paroles du texte d’aujourd’hui. Daniel ne savait pas exactement quand cela arriverait. Il comprenait qu’il allait mourir, puis se reposer. Mais cette promesse, « tu te lèveras pour ton lot », lui indiquait clairement qu’il serait ressuscité dans l’avenir. Cela arriverait longtemps après sa mort, « à la fin des jours ». On lit dans la Bible en français courant : « Tu te relèveras pour recevoir ta récompense à la fin des temps. » w17.12 7 § 17-18.

Lundi 11 novembre

Un seul témoin ne peut déposer contre une âme pour qu’elle meure (Nomb. 35:30).

Jéhovah a chargé les anciens d’Israël d’appliquer ses normes de justice. Pour cela, ils devaient commencer par vérifier tous les faits. Ensuite, ils devaient bien analyser les mobiles du meurtrier, son état d’esprit et son comportement avant le meurtre pour savoir s’il fallait lui faire miséricorde ou non. Pour imiter la justice de Dieu, ils devaient déterminer si le meurtrier avait agi par haine pour la victime et avec l’intention de la tuer (Nomb. 35:20-24). Si le meurtrier était accusé d’avoir tué volontairement, il fallait au moins deux témoins pour qu’il soit condamné. Après avoir vérifié les faits, les anciens devaient donc analyser la personne, pas seulement ses actions. Pour cela, ils avaient besoin de discernement, la capacité de comprendre clairement une situation en voyant plus loin que les apparences. Surtout, ils avaient besoin de l’esprit saint, qui les aiderait à imiter le discernement, la miséricorde et la justice de Jéhovah (Ex. 34:6, 7). w17.11 16 § 13-14.

Mardi 12 novembre

Réfléchis à ces choses (1 Tim. 4:15).

Quand nous avons commencé à fréquenter le peuple de Dieu, nous avons découvert des vérités précieuses. Nous avons appris que Jéhovah est notre Créateur, que c’est lui qui donne la vie, et qu’il a un projet pour l’humanité. Nous avons aussi appris que, dans son grand amour, il a payé une rançon par le sacrifice de son Fils pour nous libérer du péché et de la mort. Ou encore : que son Royaume mettra fin à toutes les souffrances et nous permettra de vivre éternellement dans la paix et le bonheur (Jean 3:16 ; Rév. 4:11 ; 21:3, 4). Il arrive que notre explication d’une prophétie ou d’un passage biblique soit rectifiée. Quand nous recevons une nouvelle explication, prenons le temps de l’étudier en profondeur et de la méditer (Actes 17:11). Cherchons à bien comprendre non seulement les changements majeurs, mais aussi les petites différences entre la « vieille » explication et la « neuve ». Ainsi, nous rangerons précieusement cette vérité neuve dans notre réserve spirituelle. w17.06 12-13 § 15-16.

Mercredi 13 novembre

Faites [...] mourir les membres de votre corps qui sont sur la terre, pour ce qui est de la fornication, de l’impureté, des désirs sexuels (Col. 3:5).

Nous devons faire particulièrement attention lorsque nous sommes dans une situation qui pourrait nous tenter de désobéir aux normes morales de Jéhovah. Par exemple, un frère et une sœur se fréquentent dans l’objectif de se marier. Dès le début de leurs fréquentations, ce serait prudent qu’ils se fixent des limites pour ce qui est de se toucher, de s’embrasser, ou de se retrouver seuls ensemble (Prov. 22:3). Un chrétien peut aussi se trouver en situation dangereuse quand il s’absente de chez lui pour un voyage d’affaires ou lorsqu’il doit travailler avec une personne de l’autre sexe (Prov. 2:10-12, 16). Le danger est grand également lorsque nous sommes déprimés ou que nous nous sentons seuls et fragiles. Notre manque d’affection peut devenir si grand que nous serions prêts à accepter les attentions de n’importe qui. Si cela t’arrive, demande de l’aide à Jéhovah et à tes compagnons chrétiens (Ps. 34:18 ; Prov. 13:20). w17.11 26 § 4-5.

Jeudi 14 novembre

Donnez-​vous les villes de refuge (Jos. 20:2).

Dans l’Israël d’autrefois, Jéhovah prenait au sérieux tous les cas de meurtre. Si le meurtre était volontaire, « le vengeur du sang » (le parent masculin le plus proche de la victime) devait mettre à mort le meurtrier (Nomb. 35:19). Ainsi, le meurtrier payait de sa vie celle de l’innocent qu’il avait tué. Il devait être mis à mort rapidement pour que la Terre promise ne devienne pas impure. En effet, Jéhovah avait déclaré : « Vous ne devez pas profaner le pays où vous êtes ; car le sang [d’un humain assassiné] profane le pays » (Nomb. 35:33, 34). Et quand un Israélite tuait quelqu’un par accident ? Même dans ce cas, le meurtrier involontaire était coupable d’avoir tué un innocent (Gen. 9:5). Mais grâce à la miséricorde de Jéhovah, il avait le droit d’échapper au vengeur du sang en s’enfuyant dans l’une des six villes de refuge. Là, il était protégé. Il devait y rester jusqu’à la mort du grand prêtre (Nomb. 35:15, 28). w17.11 9 § 3-5.

Vendredi 15 novembre

L’homme astucieux couvre un déshonneur (Prov. 12:16).

Une sœur d’Australie raconte : « Mon beau-père était très opposé à la vérité. Avant de lui téléphoner pour savoir comment il allait, mon mari et moi demandions toujours à Jéhovah de nous aider à ne pas réagir comme lui quand il s’énervait. Pour éviter les longues discussions qui généralement menaient à une dispute sur la religion, nous fixions une limite à la durée de notre appel téléphonique. » Si un désaccord éclate avec ta famille non Témoin, tu risques de te sentir coupable, en particulier parce que tu aimes tendrement tes proches et que tu t’es toujours efforcé de leur plaire. Cependant, fais passer ta fidélité à Jéhovah avant ton amour pour ta famille. Grâce à ton attitude ferme, elle comprendra peut-être que l’obéissance à la vérité biblique est extrêmement importante. Quoi qu’il en soit, dis-​toi que tu ne peux pas forcer les autres à accepter la vérité. Alors, donne-​leur l’occasion de voir le bien que cela te fait de suivre les conseils de Jéhovah. Notre Dieu aimant leur offre, à eux autant qu’à nous, la possibilité de choisir de le servir (Is. 48:17, 18). w17.10 15-16 § 15-16.

Samedi 16 novembre

Aimons, non pas en parole ni avec la langue, mais en action et vérité (1 Jean 3:18).

Ce n’est pas toujours suffisant d’avoir des paroles pleines d’amour, en particulier quand il faut agir. Par exemple, si un compagnon chrétien n’a pas le nécessaire pour vivre, il ne suffit pas de lui souhaiter que tout aille bien pour lui (Jacq. 2:15, 16). De même, l’amour pour Jéhovah et notre prochain nous pousse à prier pour qu’il y ait plus de prédicateurs, mais il nous pousse aussi à participer pleinement à la prédication (Mat. 9:38). L’apôtre Jean a écrit qu’il faut aimer « en action et vérité ». Donc, nous devons avoir un amour « sans hypocrisie » (Rom. 12:9 ; 2 Cor. 6:6). Notre amour n’est pas vrai si on fait semblant d’être ce qu’on n’est pas, comme si on portait un masque. Mais existe-​t-​il un amour avec hypocrisie ? À vrai dire, non. Ce ne serait pas du tout de l’amour, mais une contrefaçon sans valeur ! w17.10 8 § 5-6.

Dimanche 17 novembre

Il faudra que tu y lises à voix basse jour et nuit, [...] alors tu agiras sagement (Jos. 1:8).

Pour que la Parole de Dieu nous influence, nous devons la lire régulièrement, chaque jour si possible. Bien sûr, nous sommes tous très occupés. Mais nous ne devrions permettre à rien, pas même à nos responsabilités, de nous empêcher de lire la Bible (Éph. 5:15, 16). Beaucoup de Témoins ont de bonnes idées pour trouver le temps de lire la Bible chaque jour, que ce soit au début ou à la fin de la journée, ou à un autre moment. Ils ont le même sentiment que le psalmiste, qui a écrit : « Combien j’aime ta loi, oui ! Tout au long du jour elle occupe mes pensées » (Ps. 119:97). Mais lire la Bible ne suffit pas. Il faut aussi méditer sur ce qu’on lit (Ps. 1:1-3). C’est seulement ainsi que nous arriverons à utiliser la sagesse biblique dans nos vies. Que tu lises la Bible en version papier ou en version électronique, ton but devrait être de faire passer son message de la page à ton cœur. w17.09 24 § 4-5.

Lundi 18 novembre

Ayez tous [...] une tendre compassion (1 Pierre 3:8).

Il ne faut pas forcément avoir de la compassion dans toutes les situations. Saül en a eu pour le roi Agag et il l’a laissé vivre. C’était soi-disant par « pitié ». Mais en fait, c’était de la désobéissance. Par conséquent, Jéhovah a décidé que Saül ne serait plus roi d’Israël (1 Sam. 15:3, 9, 15). Bien sûr, Jéhovah est le Juge juste. Il lit dans les cœurs, et il sait quand il ne faut pas avoir de compassion (Lam. 2:17; Ézék. 5:11). Bientôt, il exécutera son jugement contre tous les humains qui ne veulent pas lui obéir (2 Thess. 1:6-10). Il ne sera pas question pour lui d’avoir de la compassion pour ceux qu’il aura jugés méchants. Par contre, en les détruisant, il exprimera sa compassion pour les justes, qu’il sauvera. Ce n’est donc pas notre rôle de juger qui doit mourir ou vivre. Par contre, nous devons faire tout notre possible pour aider les gens. w17.09 10-11 § 10-12.

Mardi 19 novembre

Le fruit de l’esprit est [...] maîtrise de soi (Gal. 5:22, 23).

La maîtrise de soi est une qualité que Jéhovah peut nous aider à cultiver. Lui, il se maîtrise parfaitement, alors que les humains imparfaits ont du mal à se maîtriser. Le manque de maîtrise est la cause de beaucoup de problèmes, comme l’habitude de remettre à plus tard les choses importantes, ou de mauvais résultats à l’école ou au travail. Et aussi : injures, ivrognerie, violence, divorces, dettes, dépendances, emprisonnements, graves blessures affectives, maladies sexuellement transmissibles, grossesses non désirées... (Ps. 34:11-14). Et la maîtrise de soi est de plus en plus rare. D’après des études, les gens ont beaucoup moins d’autodiscipline aujourd’hui que dans les années 1940. Cela ne nous étonne pas, puisque la Bible a annoncé que, pendant les « derniers jours », les humains seraient « sans maîtrise de soi » (2 Tim. 3:1-3). w17.09 3 § 1-2.

Mercredi 20 novembre

La paix de Dieu, qui surpasse toute pensée gardera vos cœurs (Phil. 4:7).

Si nous avons « la paix de Dieu », nous avons le cœur et l’esprit tranquilles. Nous savons que Jéhovah se soucie de nous et qu’il veut que tout aille bien pour nous (1 Pierre 5:10). Cette certitude nous « garde » en empêchant l’inquiétude ou le découragement de nous envahir. Bientôt, le monde connaîtra la plus grande tribulation de tous les temps (Mat. 24:21, 22). Nous ne savons pas exactement ce qui arrivera à chacun de nous. Mais c’est inutile de nous inquiéter à l’excès. Même si nous ne connaissons pas la façon dont Jéhovah va agir, nous le connaissons lui. Nous avons vu que, dans toute situation, il réalise toujours ce qu’il a décidé, parfois d’une façon surprenante. Chaque fois qu’il agit pour nous, nous ressentons d’une façon nouvelle sa « paix », « qui surpasse toute pensée ». w17.08 12 § 16-17.

Jeudi 21 novembre

Soyez [...] patients [...] jusqu’à la présence du Seigneur (Jacq. 5:7).

« Jusqu’à quand ? » Cette question a été posée par les fidèles prophètes Isaïe et Habaqouq (Is. 6:11 ; Hab. 1:2). Même notre Seigneur Jésus l’a posée en constatant le manque de foi des personnes autour de lui (Mat. 17:17). C’est donc normal si de temps à autre tu poses la même question. Peut-être que tu subis une injustice, la vieillesse, la maladie, ou la pression des « temps critiques, difficiles à supporter » que nous vivons (2 Tim. 3:1). Ou encore, tu es déprimé par la mentalité et le comportement des gens autour de toi. Dans tous les cas, c’est très encourageant de savoir que des fidèles du passé se sont sentis libres de poser cette question, et que Jéhovah ne le leur a pas reproché ! Qu’est-​ce qui peut nous aider dans de telles situations ? Le disciple Jacques répond par les paroles citées dans le texte de ce jour. w17.08 3 § 1-3.

Vendredi 22 novembre

Faites-​vous des amis au moyen des richesses injustes (Luc 16:9).

Jésus encourage ses disciples à se servir des « richesses injustes » pour se faire des amis dans le ciel. Une façon évidente de nous montrer fidèles dans l’utilisation de nos biens, c’est de soutenir financièrement l’œuvre mondiale de prédication prédite par Jésus (Mat. 24:14). En Inde, une fillette avait une tirelire dans laquelle elle mettait régulièrement des pièces. Pour la remplir, elle a même renoncé à s’acheter des jouets. Quand sa tirelire a été pleine, elle a donné l’argent pour qu’il serve à la prédication. Dans le même pays, un frère qui cultive des noix de coco en a offert une grande quantité à l’antenne de traduction en malayalam, en ayant ce raisonnement : « Puisque les frères doivent en acheter, si je leur en fournis directement, je fais une offrande plus intéressante que si je donnais de l’argent. » C’est de la sagesse pratique. De même, des frères de Grèce offrent régulièrement de l’huile d’olive, du fromage et d’autres aliments à la famille du Béthel. w17.07 8 § 7-8.

Samedi 23 novembre

Chantez-​nous un des chants de Sion (Ps. 137:3).

Exilés à Babylone, les Israélites n’avaient pas envie de chanter. Ils avaient besoin de consolation. Toutefois, exactement comme Dieu l’avait prophétisé, la libération est arrivée par le moyen de Cyrus, le roi de Perse. Il s’est emparé de Babylone et a proclamé : « Jéhovah [...] m’a chargé de lui bâtir une maison à Jérusalem [...]. Quiconque parmi vous est de tout son peuple, que Jéhovah son Dieu soit avec lui. Qu’il monte donc » (2 Chron. 36:23). Cette libération a certainement consolé les Israélites qui habitaient à Babylone ! Jéhovah a consolé le peuple d’Israël dans son ensemble, mais aussi les Israélites individuellement. Aujourd’hui, il agit de la même façon. Dieu « guérit ceux qui ont le cœur brisé, et il panse » leurs blessures (Ps. 147:3). En effet, Jéhovah prend soin de ses serviteurs qui ont des problèmes physiques ou qui sont déprimés. Il désire vraiment nous consoler et soulager nos blessures affectives (Ps. 34:18 ; Is. 57:15). Il nous donne de la sagesse et de la force pour nous aider à affronter toute difficulté (Jacq. 1:5). w17.07 18 § 4-5.

Dimanche 24 novembre

Là où est votre trésor, là aussi sera votre cœur (Luc 12:34).

Jéhovah est le plus riche de l’univers (1 Chron. 29:11, 12). Père généreux, il partage sa richesse spirituelle avec toute personne qui reconnaît la valeur supérieure de cette richesse. Quel bonheur qu’il nous offre des trésors spirituels ! Citons-​en trois : 1) Le Royaume de Dieu, 2) le ministère qui peut sauver des vies et 3) les vérités magnifiques révélées dans sa Parole. Mais si nous ne faisons pas attention, nous pourrions oublier la valeur de ces trésors et, en quelque sorte, les gaspiller. Pour ne pas les perdre, nous devons bien les utiliser et entretenir notre amour pour eux. Beaucoup d’entre nous ont profondément changé pour devenir des sujets du Royaume de Dieu (Rom. 12:2). Mais nos efforts ne doivent pas s’arrêter là. Nous devons continuer de nous méfier des choses qui s’opposent à notre amour pour le Royaume. Parmi ces choses, il y a les désirs matériels et les désirs sexuels immoraux (Prov. 4:23 ; Mat. 5:27-29). w17.06 9 § 1 ; 10 § 7.

Lundi 25 novembre

As-​tu pu le savoir ? (Job 38:21).

On ne lit nulle part dans le livre de Job que Jéhovah ait dit précisément à Job pourquoi il souffrait — comme si Jéhovah devait s’expliquer. Son intention était plutôt de faire comprendre à Job combien il était petit comparé à sa grandeur, et qu’il y avait des questions plus importantes dont il fallait se préoccuper (Job 38:18-20). Grâce à cela, Job a pu équilibrer son point de vue. Après tout ce que Job avait subi, Jéhovah a-​t-​il été dur en lui donnant un conseil aussi direct ? Non, et ce n’est pas ce que Job a pensé. Malgré ses souffrances, il a apprécié le conseil. Il a même ajouté qu’il retirait ce qu’il avait dit, en précisant : « Je me repens réellement dans la poussière et dans la cendre. » Le conseil de Dieu, direct mais réconfortant, a été efficace (Job 42:1-6). Quand Jéhovah a vu que Job réagissait bien à sa réprimande et corrigeait son point de vue, il a dit aux autres que sa fidélité dans l’épreuve lui avait plu (Job 42:7, 8). w17.06 24-25 § 11-12.

Mardi 26 novembre

Marie, elle, a choisi la bonne part, et elle ne lui sera pas enlevée (Luc 10:42).

Pour savoir si nous avons une vision équilibrée des questions profanes et des responsabilités spirituelles, demandons-​nous : « Est-​ce que je trouve mon travail intéressant et motivant, mais mes activités spirituelles banales ou même ennuyeuses ? » Cette réflexion peut nous aider à déterminer ce que nous aimons vraiment. Jésus a été un exemple d’équilibre entre le profane et le spirituel. Une fois, il se trouvait chez Marie et sa sœur, Marthe. Tandis que Marthe s’affairait à préparer un repas, Marie a choisi de s’asseoir aux pieds de Jésus et de l’écouter. Quand Marthe s’est plainte que Marie ne l’aidait pas, Jésus lui a dit les paroles du texte d’aujourd’hui (Luc 10:38-42). Jésus lui enseignait là une leçon précieuse. Afin de ne pas nous laisser détourner par des choses profanes et de montrer notre amour pour Christ, nous devons continuer à choisir la « bonne part », de donner la priorité aux choses spirituelles. w17.05 24 § 9-10.

Mercredi 27 novembre

Écoute [...] la discipline de ton père (Prov. 1:8).

C’est aux parents, et non aux grands-parents ou à quelqu’un d’autre, que Jéhovah a confié le privilège d’élever les enfants dans la vérité (Prov. 31:10, 27, 28). Mais les parents qui ne parlent pas la langue locale peuvent avoir besoin d’aide pour toucher le cœur de leurs enfants. Rechercher une telle aide ne veut pas dire renoncer à leur responsabilité spirituelle ; cela peut faire partie de leur mission d’élever leurs enfants « dans la discipline et les avertissements de Jéhovah » (Éph. 6:4). Par exemple, ils peuvent demander aux anciens des suggestions sur la façon de diriger le culte familial et de l’aide pour trouver de bons amis pour leurs enfants. Ils pourraient aussi inviter de temps en temps d’autres familles à se joindre à leur culte familial. De plus, souvent, les jeunes s’épanouissent sous l’influence de frères et sœurs spirituellement équilibrés qui peuvent, par exemple, les accompagner en prédication ou se détendre sainement avec eux (Prov. 27:17). w17.05 11-12 § 17-18.

Jeudi 28 novembre

Fuis en Égypte (Mat. 2:13).

Après que l’ange de Jéhovah a averti Joseph que le roi Hérode projetait de tuer Jésus, le jeune enfant et ses parents sont devenus des réfugiés en Égypte. Ils y sont restés jusqu’à la mort d’Hérode (Mat. 2:14, 19-21). Des dizaines d’années plus tard, à cause d’une persécution, les premiers disciples de Jésus « furent dispersés dans les régions de Judée et de Samarie » (Actes 8:1). Jésus avait prédit que nombre de ses disciples seraient obligés de partir de chez eux : « Quand on vous persécutera dans une ville, fuyez dans une autre » (Mat. 10:23). C’est le cas de milliers de Témoins de Jéhovah. Beaucoup ont perdu des proches et presque tous leurs biens. Certains ont rencontré des dangers durant leur fuite ou leur séjour dans un camp, où des gens bavardaient, buvaient, jouaient à des jeux d’argent, volaient et étaient immoraux. Mais ils sont restés optimistes en se souvenant que, comme la marche d’Israël dans le désert, leur séjour dans le camp aurait une fin (2 Cor. 4:18). w17.05 3-4 § 2-5.

Vendredi 29 novembre

Une paix abondante appartient à ceux qui aiment ta loi, et pour eux il n’y a pas d’obstacle qui fait trébucher (Ps. 119:165).

À de rares occasions, toi ou quelqu’un que tu connais subirez ou remarquerez dans la congrégation quelque chose qui semblera une injustice. Que cela ne te fasse pas trébucher. En fidèles serviteurs de Dieu, nous le prions et comptons sur lui. De plus, nous reconnaissons modestement que nous n’avons sans doute pas tous les éléments. Nous sommes bien conscients que le problème peut résider dans notre vision imparfaite des choses. Nous devons éviter d’avoir des propos négatifs, car cela ne fait qu’aggraver la situation. Enfin, au lieu de prendre les choses en main, soyons résolus à rester fidèles et à attendre patiemment que Jéhovah les rectifie. En ayant une telle attitude, nous serons assurément approuvés et bénis par Jéhovah. Oui, nous pouvons être sûrs que « le Juge de toute la terre » fera toujours ce qui est juste, « car toutes ses voies sont justice » (Gen. 18:25 ; Deut. 32:4). w17.04 22 § 17.

Samedi 30 novembre

Que le méchant abandonne ses façons d’agir [...] ; qu’il revienne à Jéhovah, qui aura pitié de lui (Is. 55:7).

Qu’arrivera-​t-​il à ceux qui refusent de changer, qui continueront de soutenir ce système jusqu’à la grande tribulation ? Jéhovah a promis de débarrasser la terre des méchants pour toujours (Ps. 37:10). Les méchants se croient peut-être à l’abri de ce jugement. Beaucoup ont appris à cacher ce qu’ils font et semblent souvent échapper à la justice et à ses conséquences (Job 21:7, 9). Pourtant, la Bible nous rappelle à propos de Dieu : « Ses yeux sont sur les voies de l’homme, et il voit tous ses pas. Il n’y a pas de ténèbres et pas d’ombre profonde pour que puissent s’y cacher ceux qui pratiquent ce qui est malfaisant » (Job 34:21, 22). On ne peut pas se cacher de Jéhovah. Aucun imposteur ne peut le tromper ; aucune ombre n’est trop profonde pour que la vision illimitée de Dieu ne puisse percer jusqu’au fond des choses. Après Har-Maguédôn, on aura beau regarder là où se trouvaient les méchants, on ne les verra plus. Ils auront disparu, et pour toujours ! (Ps. 37:12-15). w17.04 10 § 5.

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