Textes et commentaires
JEUDI 1er FÉVRIER
Avertis-les de ma part. — Éz. 33:7, KJ.
Jéhovah Dieu ne frappe jamais sans avertir. Est-ce sans avertir qu’il inonda le premier monde dans une destruction par l’eau ? Est-ce sans avertir qu’il consuma Sodome et Gomorrhe dépravées, en faisant tomber une pluie de feu ? Le Tout-Puissant prit-il l’Égypte à l’improviste quand il fit déferler, vague après vague, les plaies destructrices à travers le pays ? Quand Jéhovah manœuvra en vue de la ruine d’Israël et de Juda par des invasions étrangères, les victimes ne furent-elles pas averties ? La puissante Babylone qui, telle une reine pleine de charme, régnait sur les peuples et les nations, fut-elle prise au dépourvu quand les armées ennemies la prirent d’assaut ? Et que dire de la désolation qui frappa Jérusalem au premier siècle de notre ère, est-ce que ce coup est tombé sans avertissement ? À chacune de ces questions les faits crient la réponse : Non ! Tenant compte de la structure périssable du corps de l’homme, Jéhovah Dieu donne ses avertissements par des messagers à forme humaine, messagers que ceux qui sont avertis peuvent écouter à leur aise et auxquels ils peuvent demander des détails. À propos de ce procédé, il dit : “ Je vous ai parlé tôt et tard, mais vous n’avez pas voulu écouter,... j’ai envoyé tous mes serviteurs les prophètes, tôt et tard. ” — Jér. 7:13, 25, AT. wF 15/5/50.
VENDREDI 2 FÉVRIER
Voici, les jours viennent, dit le Seigneur [Jéhovah], où je ferai avec la maison d’Israël et la maison de Juda une alliance nouvelle. — Héb. 8:8.
Les prêtres de la tribu de Lévi étaient une partie du système de choses qui existait sous l’alliance de la Loi. Les sacrifices qu’ils offraient ne pouvaient jamais ôter les péchés des humains, ni rendre l’homme parfait, et ainsi, ils étaient simplement une image du vrai sacrifice à venir. Si les hommes devaient obtenir un bien durable, un système de choses nouveau et meilleur était certainement nécessaire, et Dieu le fit par son Fils Jésus-Christ. (Héb. 1:1, 2) L’ancienne alliance de la Loi empêcha Jésus le Messie de devenir un prêtre sur la terre, et ne fit que condamner les hommes pour leurs péchés plutôt que de les en délivrer. S’il devait donc y avoir un nouveau grand prêtre de Dieu avec un sacrifice qui ôterait les péchés, et si le Messie de la tribu de Juda devait être ce Grand Prêtre, alors il fallait une nouvelle alliance. Christ Jésus fut fait Grand Prêtre par le serment de Jéhovah Dieu, et il lui fut alors donné d’être le Grand Prêtre de la nouvelle alliance. w 1/11/50.
SAMEDI 3 FÉVRIER
Est-il permis... de payer le tribut à César ? — Mat. 22:17.
Dans un proche avenir Jéhovah Dieu mettra définitivement un terme à sa controverse avec César concernant celui qui doit dominer la terre. Quand ce litige suprême de la souveraineté universelle sera tranché, tous ceux qui auront reçu le droit de vivre sur la terre rendront tout à Jéhovah Dieu car César ne sera plus. Alors les devoirs ne seront plus divisés entre Dieu et les puissances politiques de ce vieux monde. Ce vieux monde et ses Césars auront été détruits. Le juste monde nouveau sera là, avec Jéhovah comme vrai Dieu vivant et avec le parfait Gouverneur à qui il a remis l’autorité pour gouverner toute la terre. Mais jusqu’au moment où la bataille d’Armaguédon aura fait disparaître César, tous ses partisans et ses alliés commerciaux et religieux, César doit être pris en considération même par des personnes qui, tout en ne faisant pas partie de ce monde, y vivent cependant. Jésus déclara : “ Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. ” Tant que ce monde existera, les paroles de Jésus s’y appliqueront. w 15/11/50.
DIMANCHE 4 FÉVRIER
Puisque toutes ces choses doivent ainsi se dissoudre, quels ne devez-vous pas être par ta sainteté de la conduite et par la piété de vos œuvres. — II Pi. 3:11, NW.
L’évidence du fait que la puissance actuelle des nations ne préviendra pas le jour de destruction d’une part, et la preuve scripturale de la brièveté du temps qui reste d’autre part, posent aux hommes réfléchis cette question : Que ferons-nous pendant le temps qui reste afin de l’employer de la façon la plus profitable ? Il y a également un contraste très net entre ce que l’avenir réserve à ceux qui font ou ne font pas un sage emploi de leur temps. Une personne sage, qui accepte la preuve claire et scripturale relative à l’époque que nous vivons, trouve ce qu’il convient de faire et quand il faut le faire. De cette façon elle n’a pas besoin de craindre l’expression du jugement de Dieu contre elle. “ Le cœur de l’homme sage discerne à la fois le temps et le jugement. ” (Eccl. 8:5, KJ) De toute évidence, si le vieux monde doit bientôt aller à la destruction, un homme sage sait qu’il ne peut pas employer son temps de la même façon que le monde. Pendant le peu de temps qui reste, il est de la volonté de Dieu que tous les hommes apprennent ce qui le concerne et gagnent la vie. wF 1/6/50.
LUNDI 5 FÉVRIER
Mais que l’endurance accomplisse complètement son œuvre, afin que vous puissiez être accomplis et sains à tous égards, sans faillir en rien. — Jacq. 1:4, NW.
Nous avons maintenant le privilège de nous développer grâce aux nombreuses expériences et épreuves par lesquelles nous passons. Pour ainsi dire, nous perfectionnons notre travail, faisant disparaître les imperfections. Le fait de voir l’amélioration de notre travail nous procure beaucoup de joie. Nous sommes heureux de faire la volonté de Dieu. Au perfectionnement de notre service s’ajoute le sentiment que nous faisons ce qui est juste. Ainsi Dieu nous récompense en nous accordant la liberté qui peut seulement être le fruit d’une bonne conscience. En qualité de chrétiens, nous nous sommes consacrés à servir notre Père, et lui nous aide à garder notre intégrité. En suivant la voie de la justice, nous recevons beaucoup de bénédictions et nous avons le privilège de montrer par notre conduite intègre que ceux qui nous maltraitent sont couverts de confusion. Si nous persévérons dans le service de Dieu et si nous nous attachons fermement à son organisation, nous subirons peut-être des persécutions, mais Dieu nous accordera la force et les moyens de les supporter. C’est une joie de souffrir pour avoir pratiqué la justice. wF 1/7/50.
MARDI 6 FÉVRIER
Alors, lorsqu’ils entendirent le langage franc de Pierre et de Jean, et virent que c’étaient des hommes peu lettrés et ordinaires, ils furent étonnés. — Actes 4:13, NW.
Quoique considérés comme “ hommes peu lettrés et ordinaires ”, Pierre et Jean avaient le cœur rempli du désir de louer Dieu à cause de ce qu’ils avaient entendu dire par Jésus. Ainsi, ni l’instruction ni le manque d’instruction ne peuvent empêcher quelqu’un de chanter les louanges de Dieu, de même que la capacité de prêcher n’est pas déterminée par la situation sociale ou financière d’une personne. Le prédicateur doit avoir un cœur honnête, désirer la vérité et la justice. Cela ne veut pas dire qu’aujourd’hui un homme n’a pas besoin d’étudier la Parole de Dieu car, de même que les disciples durent être enseignés par Jésus, ainsi nous devons apprendre aujourd’hui dans la Bible. Il vous serait impossible de répondre à quelqu’un concernant les œuvres divines et l’espérance que vous avez dans les promesses de Dieu si vous ne vous appliquiez vous-mêmes à étudier ce que Dieu a écrit le concernant. Vous devez toujours être prêts à donner une réponse au sujet de l’espérance qui est en vous afin de ranimer la foi des autres. — I Pierre 3:15, Sy. wF 15/7/50.
MERCREDI 7 FÉVRIER
Non comme dominant sur ceux qui sont l’héritage de Dieu, mais en devenant des exemples pour le troupeau. — I Pi. 5:3, NW.
Si un serviteur ou “ sous-berger ” pense qu’il est important et qu’il devrait être placé sur un piédestal au-dessus de ses frères, pour être admiré et honoré, qu’il lise donc ce que Paul écrivit aux Galates 6:3 (NW) : “ Si quelqu’un pense être quelque chose, alors qu’il n’est rien, il trompe son propre esprit. ” Ne vous laissez pas griser par votre fonction de serviteur. Ne soyez pas un patron autoritaire ou un dictateur cruel pour les “ brebis ”. N’oubliez pas que les brebis appartiennent à quelqu’un d’autre. Elles ne sont pas vos brebis. Elles sont “ mes brebis ” dit le Juste Berger, et comme il les appelle toutes par leur nom, “ elles connaissent sa voix... elles ne connaissent pas la voix des étrangers ”; c’est pourquoi, si vous leur parlez sur un ton autoritaire, avec la voix d’un étranger, elles ne répondront pas. (Jean 10:3-5) Ainsi, la douceur et l’humilité constituent la règle de conduite dans la bergerie de Jéhovah et tous ceux qui s’y trouvent, y compris les “ sous-bergers ” ou serviteurs, doivent obéir à cette règle. Tous doivent imiter le parfait exemple de douceur trouvé dans le Souverain Berger. wF 15/8/50.
JEUDI 8 FÉVRIER
Ils restèrent chacun à sa place autour du camp, et tout le camp se mit à courir, à pousser des cris, et à prendre la fuite. — Juges 7:21.
Les gens du monde peuvent penser que les témoins de Jéhovah sont aussi pauvrement équipés pour le ministère que des soldats armés de torches, de cruches et de cors pour une vraie guerre. Ils ne sont pas équipés par les enseignements religieux orthodoxes, et ils ne sont pas armés d’un diplôme reçu dans quelque séminaire théologique. Ils n’emploient pas les méthodes de prédication orthodoxes. Mais lorsqu’ils commencent à parler et à laisser briller la lumière de la Bible, l’ennemi est confus et bouleversé, incapable de s’opposer aux vérités qui sont proclamées. (Jean 7:15 ; Actes 4:13) La lumière de la Bible est trop forte pour les ennemis dormant depuis si longtemps dans les ténèbres, aussi tâtonnent-ils comme des aveugles plongés dans la confusion, par un message qui leur semble étrange. Incapables de s’appuyer sur la Bible, ils courent vers les traditions, vers les dogmes religieux, vers les coutumes, vers les rites, les cérémonies et vers le formalisme, jusqu’au moment où ils battent ouvertement en retraite, hors du pays de la véritable adoration de Jéhovah. Ils vont même jusqu’à s’entretuer. wF 15/10/50.
VENDREDI 9 FÉVRIER
Quand vous aurez élevé le Fils de l’homme, alors vous connaîtrez ce que je suis, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon ce que le Père m’a enseigné. — Jean 8:28.
Jésus accepta d’être enseigné par son Dieu et Père, et pour suivre ses traces nous devons avoir le même Instructeur que lui. Nous ne pourrions pas avoir un instructeur plus grand et plus compétent que Jéhovah Dieu, ni une instruction supérieure à celle qu’il donne, car celle-ci conduit à un succès certain. À cause de la fidélité de Jésus, Jéhovah l’envoya pour nous enseigner. Ainsi, nous devons devenir des disciples de Jésus ou ses élèves. Nous pouvons gagner l’entrée dans l’école du succès de Jéhovah seulement par Jésus. (Jean 14:6) De même que Jéhovah instruisit Jésus afin qu’il puisse instruire les autres, ainsi nous devons également instruire les autres après avoir été nous-mêmes enseignés. C’est dans un dessein désintéressé que Dieu nous a admis dans son école. Ce n’est pas une école où l’on n’enseigne que la théorie, mais une école très pratique. Nous y assistons afin de pouvoir apprendre à faire sa volonté et de pouvoir instruire les autres pour leur permettre de gagner également la vie. w 1/10/50.
SAMEDI 10 FÉVRIER
Elle enfanta un fils, qui doit paître toutes les nations avec une verge de fer. Et son enfant fut enlevé vers Dieu et vers son trône. — Apoc. 12:5.
Il est parlé de l’organisation céleste de Jéhovah comme de la Jérusalem symbolique. Elle enfanta Jésus-Christ, celui qui devait être intronisé comme Roi du monde nouveau de Jéhovah. La verge de fer signifiait sa colère contre les nations dont les “ sept temps ” fixés avaient pris fin. Ainsi, pour les nations des Gentils, 1914 ne fut pas le moment de se réjouir du fait que Jéhovah avait saisi sa puissance pour diriger la terre et de la naissance du royaume de son Christ. L’histoire montre qu’il en fut ainsi à la date décisive de 1914. Les nations s’engagèrent dans une guerre mondiale livrée entre elles pour la domination du monde, plutôt que d’agir comme des chrétiens et de soumettre leur pouvoir terrestre au Roi intronisé de Jéhovah. Au cours des trente-sept ans écoulés depuis lors, leur colère n’est pas allée en diminuant mais s’est accrue, preuves en sont les persécutions croissantes contre les témoins de Jéhovah. Néanmoins, nous continuerons à annoncer son royaume par son Christ et à le représenter en qualité d’ambassadeurs. w 15/12/50.
DIMANCHE 11 FÉVRIER
Recherchez sans cesse son royaume. — Luc 12:31, NW.
Jésus recommanda à ses serviteurs de rechercher premièrement le Royaume, leur promettant que les choses matérielles y seraient ajoutées. Rechercher premièrement le Royaume signifie avoir en tout temps à l’esprit, et à la première place, les intérêts du Royaume. Celui qui agit ainsi cherchera toutes les occasions de servir en faveur du Royaume et ne recherchera pas continuellement, et en premier lieu, à subvenir à ses besoins matériels et à amasser des biens terrestres pour assurer son avenir. Sans aucun doute, tous ne seront pas à même de se charger du ministère à temps complet. Néanmoins, cette recommandation s’adresse de la même façon à ceux qui trouvent qu’il est nécessaire d’entreprendre un travail profane pour avoir un appui financier. En cherchant continuellement à servir le Royaume selon les occasions qui se présentent, beaucoup ont trouvé leur voie libre pour entrer dans le service de pionnier. Des milliers ont profité de pareilles occasions et, sans doute, il y a maintenant des milliers d’autres personnes associées à des groupes de témoins de Jéhovah, qui pourraient devenir des pionniers si elles cherchaient ce privilège plus ardemment. Un travail à temps partiel destiné à apporter une aide est convenable. wF 15/6/50.
LUNDI 12 FÉVRIER
La sagesse est la chose principale ; acquiers donc la sagesse [ou : Le commencement de la sagesse c’est : acquiers la sagesse] ; avec tout ce que tu possèdes, acquiers la compréhension. — Prov. 4:7, AS, note marg.
Nous reconnaissons qu’avec un tel procédé d’acquisition de la compréhension, quelqu’un peut avoir une connaissance considérable et ne pas posséder pour cela la compréhension. La compréhension n’est pas seulement en rapport avec le fait, mais aussi avec le pourquoi et le comment du fait. Elle implique l’application ou l’emploi de cette connaissance aux fins les meilleures. Il en résulte donc que sans la compréhension, la connaissance n’a que très peu de valeur. Cela devient particulièrement vrai lorsqu’il s’agit de mettre en pratique la connaissance que nous avons de Dieu, de son royaume et de sa loi. Il est possible d’avoir la sagesse, et cependant, ne pas posséder la compréhension. Il se peut que nous ayons choisi une manière d’agir convenable. Il se peut que nous nous soyons consacrés au service de Jéhovah, et en faisant cela nous avons agi avec sagesse ; mais en outre, nous devons acquérir la compréhension. Comme à des fils, il nous révèle le pourquoi et le comment des choses que nous devons connaître. Cette compréhension est à la portée de tout enfant de Dieu, mais il doit l’acquérir pour réussir. wF 1/9/50.
MARDI 13 FÉVRIER
Car l’Écriture dit à Pharaon : “ Car je t’ai laissé subsister à seule fin que par toi, je puisse démontrer ma puissance et que mon nom puisse être publié par toute la terre. ” — Rom. 9:17, NW.
Le nom de Dieu doit être vénéré par toute la terre. Qui porte dignement le nom ? En ce “ temps de la fin ”, il y a des personnes qui portent ce nom. Aujourd’hui, elles sont connues sous le nom de “ témoins de Jéhovah ”. Elles ont le grand privilège de porter le plus grand nom de tout l’univers. À ce privilège est attachée une énorme responsabilité. Elles doivent porter dignement le nom. Elles constituent un groupe de ministres et de missionnaires qui accomplissent leur œuvre évangélique parmi les habitants de toutes les parties de la terre. Ils manifestent leur amour envers Dieu et les hommes en annonçant les desseins de Dieu aux habitants du monde entier, et pour faire cela, ils prêchent exactement comme le faisaient autrefois Jésus et ses apôtres. En 1931, ils proclamèrent au monde leur détermination d’être désormais identifiés par ce nom reçu de Dieu, et par aucun autre. Les faits prouvent que ce nom n’a été donné à aucun autre groupement. wF 15/9/50.
MERCREDI 14 FÉVRIER
Heureux est cet esclave que son maître, à son arrivée, trouve faisant ainsi. En vérité je vous le dis, il l’établira sur tous ses biens. — Mat. 24:46, 47, NW.
Nous pensons certainement aussitôt à la plus grande et la plus précieuse possession du Roi du monde nouveau, c’est-à-dire au Royaume. Mais comment le Royaume pouvait-il être confié à la garde de l’esclave ? Il ne pouvait certainement pas s’agir de la partie céleste du Royaume, car le reste oint est encore sur la terre. Nous trouvons que ce dont il doit justement s’occuper, ce sont les intérêts terrestres du glorieux Royaume. Ce sont les intérêts du Royaume qui sont visibles. Cela peut-il donc vraiment signifier que le maître à son retour, en qualité de nouveau gouverneur de la terre, a établi cet esclave fidèle et prudent comme surveillant sur toutes ses possessions ? C’est exactement ce que cela signifie, rien de moins. “ Il l’établira sur tous ses biens ”. Non seulement nous le croyons, mais nous remercions Dieu et Christ, jour et nuit, pour sa bienveillance envers les enfants des hommes. wF 15/12/50.
JEUDI 15 FÉVRIER
Soyez fervents d’esprit. — Rom. 12:11.
Au fur et à mesure que chaque serviteur croît dans la connaissance, il désire la mettre à la disposition d’autres personnes. Il y a aussi la proclamation de la bonne nouvelle, en s’entretenant avec les personnes étrangères au groupe, avec les gens en général, et cela en allant de maison en maison, puis en faisant d’autres visites jusqu’à ce que l’intérêt soit assez fort pour que la personne éprouve le désir d’étudier. Plus les enfants de Jéhovah parlent entre eux de cette bonne nouvelle et la portent à d’autres, plus ils sont agréables à ses yeux. N’est-ce pas un fait avéré que les serviteurs qui assistent régulièrement aux réunions, s’intéressent aux programmes du ministère et à la prédication elle-même, qui sont présents à chaque séance de leur assemblée de circuit, sont ceux-là même qui ont le plus d’entrain, qui discutent sans cesse de la vérité, recherchant toutes les occasions et les privilèges de service ? Ne parlent-ils pas constamment de leurs visites complémentaires, de leurs études et de la manière dont ils ont pu aider quelqu’un dans le service ? Ces personnes n’ont guère de temps pour autre chose, mais se gardent des choses que ce vieux monde poursuit afin de pouvoir se rendre volontairement les esclaves du Seigneur Jésus. wF 1/8/50.