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  • g74 8/3 p. 29-31
  • Coup d’œil sur le monde

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  • Coup d’œil sur le monde
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Réveillez-vous ! 1974
g74 8/3 p. 29-31

Coup d’œil sur le monde

“L’Église en crise”

Tel est le titre d’une série d’articles parus dans France-Soir en novembre et décembre dernier. Dans leur introduction, les auteurs, Patrick Miler et Jean Claude, disaient : “Crise de croissance, crise de la vocation, crise de la foi. Peut-être les trois en même temps. En tout cas, les églises se vident et les séminaires aussi. (...) L’Église catholique de France : une mosaïque d’oppositions, de regards et d’approches avec, au bout, la même conviction. C’est du Christ dont chacun veut témoigner. Mais si Jésus Christ revenait, de quel côté se trouverait-​il à l’aise ?” Dans leur premier article, ils citent le Père Bruckberger, qui déclara : “Je ne pense pas que les structures temporelles de l’Église résisteront à la tourmente qui se prépare. (...) Quand le clergé emboîte le pas à de telles formules [“le bonheur ici-bas et tout de suite”, etc.], il commence à ne plus croire à ce pourquoi il est fait, et il perd la foi. Jésus Christ ne lui semble plus qu’un prétexte. Un alibi. On utilise son prestige à des fins qui n’ont rien à voir avec les Évangiles. (...) La conséquence, c’est qu’on ne croit plus beaucoup à la vérité sortant de la bouche des prêtres. Ils ont un langage tellement contourné et un esprit tellement tordu qu’on ne sait plus ce qu’ils veulent dire.” Cet ecclésiastique, cité dans l’article, dit encore : “Aujourd’hui, l’Église se fourvoie. Elle joue sa chance dans la course de l’influence au pouvoir politique et au pouvoir social. (...) Vraiment, ils [les curés] ne sont plus dans le coup. Autrefois, ils étaient les courtisans du roi. Maintenant, ils sont les courtisans du peuple, des mouvements de gauche et du socialisme. C’est pareil. Leur démagogie ne vaut pas mieux que la courtisanerie à l’égard d’un prince.”

“Le culte de l’homme remplace le culte de Dieu”

Les auteurs de l’article précité rapportent ensuite les paroles d’un autre ecclésiastique, l’abbé Coache, qui s’exprima ainsi : “Notre chère Église catholique est en pleine dégradation. Les modernistes installent une nouvelle religion. Le culte de l’homme remplace le culte de Dieu. Le Bon Dieu, on en parle comme d’une chose très vague, un idéal lointain. Je vous mets au défi de trouver un prêtre moderniste qui prêche encore sur la mort de Notre Seigneur et de son sang répandu. C’est l’homme qui devient la préoccupation majeure. (...) On transforme l’Évangile en message subversif. Et comme la mode est à la révolution, on identifie Notre Seigneur à une sorte de Che Guevara palestinien.”

“La foi ira en diminuant”

Telle est l’opinion de 53 pour cent des Français d’après un sondage exclusif IFOP effectué pour le journal France-Soir. Cependant, un pourcentage important (89 pour cent) de croyants, pratiquants ou non, sont d’accord pour faire baptiser leurs enfants, et 71 pour cent d’entre eux pensent qu’il faut leur donner une éducation religieuse. Les résultats de ce sondage, qui servit de conclusion à la série d’articles intitulés “L’Église en crise”, indiquent que “pour les catholiques français, il s’agit bien d’une crise de la foi. Une crise en prise directe sur celle de la société et qui trouve ses racines dans les progrès de la science et le matérialisme de la vie moderne”. La majorité d’entre eux continue à croire à ce qu’un vicaire parisien a appelé “la religion du passeport, des sacrements et des visas pour l’Éternité”. Les Français attendent avant tout de l’Église “qu’elle les rassure. Qu’elle continue à être ce qu’elle a toujours été : une force d’ordre moral avec de bons principes, de bons sentiments et une bonne conscience”. Autre fait intéressant, à la question : “À quoi attribuez-​vous la disparition progressive de la foi catholique ?”, 28 pour cent ont rendu responsables la liberté des mœurs, 20 pour cent les progrès de la science matérialiste, et seulement 8 pour cent l’attitude du clergé.

Les véritables chrétiens d’Afrique

Dans certains pays africains, les témoins de Jéhovah sont persécutés en raison de leur position de neutralité vis-à-vis de la politique. Quelle est l’attitude des Églises “chrétiennes” d’Afrique ? Selon le Post-Gazette de Pittsburgh, Burgess Carr, secrétaire général du Conseil des Églises de toute l’Afrique, déclara que “le Conseil soutient ‘tout combat dénué de violence sadique’ dans la lutte armée menée contre les gouvernements blancs d’Afrique du Sud et de Rhodésie. (...) ‘Tout le monde veut nous rendre responsables de la violence. Ne sait-​il pas que l’Église presbytérienne d’Amérique a soutenu la révolution violente dans ce pays ? A-​t-​on pris le thé à Valley Forge ?’” Cependant, manquant totalement de logique, il qualifia non pas les ecclésiastiques des Églises membres de ce conseil, mais les témoins de Jéhovah de subversifs. Il ajouta : “Le Conseil des Églises de toute l’Afrique ne va pas dire qu’un gouvernement national a tort de prendre des sanctions à l’encontre d’un groupe qui menace (...) des symboles nationaux.” Après avoir rapporté les propos sectaires de Carr, le journal de Pittsburgh ajouta avec exactitude : “Les témoins de Jéhovah refusent de saluer le drapeau de tout gouvernement quel qu’il soit parce que, selon eux, ils doivent en réalité fidélité et obéissance au ‘Royaume du Christ’. Cependant, ils respectent strictement les lois civiles.”

Un Jésuite approuve les homosexuels

De plus en plus d’ecclésiastiques approuvent l’homosexualité. Récemment, c’est un prêtre jésuite, John McNeill, de l’université Woodstock de New York, qui apporta son soutien. Une dépêche de l’Associated Press, rapportée dans le Times de Burlington County (New Jersey), affirma que lors d’une récente conférence de l’Église protestante épiscopalienne il avait déclaré : “Je ne vois pas pourquoi deux homosexuels, qui s’aiment et qui désirent vouer leur vie l’un à l’autre en présence de Dieu, ne pourraient pas le faire dans une église. Il s’agirait d’une cérémonie d’amitié, d’union ou portant tout autre nom que vous souhaitez lui donner.” Pourtant, la Bible dit que de telles personnes doivent être rejetées de l’Église. — I Cor. 5:13 ; 6:9, 10.

Le déclin des Jésuites

Selon des informations venant du Vatican, le nombre des Jésuites est en diminution. Cet ordre religieux, vieux de 433 ans, ne compte plus que 32 000 membres dans le monde ; il en comptait 35 000 il y a cinq ans.

Du sang dangereux

Les risques qu’encourt celui qui accepte le sang d’une autre personne sous la forme d’une transfusion sont plus que jamais évidents. Un professeur de médecine de Kozhikode, en Inde, affirme que dans ce pays un tiers des donneurs de sang sont connus pour être syphilitiques. Pourquoi accepte-​t-​on leur sang ? Le Times of India rapporte : “Il déclara aux journalistes qu’ici les médecins sont obligés d’accepter leur sang de mauvaise qualité parce qu’il n’y a pas assez de donneurs volontaires.”

“La résistible ascension des hépatites virales”

Sous ce titre, Le Monde du 21 novembre 1973 publia un article montrant les causes de l’hépatite virale et rappelant les précautions à prendre pour éviter de la contracter. Il commençait ainsi : “Les baignades et la consommation des coquillages sont devenues — été comme hiver — des pourvoyeurs d’hépatite virale dans des proportions alarmantes. (...) Il apparaît nécessaire de mettre sérieusement en garde contre la propagation du virus A de l’hépatite par l’intermédiaire de la mer. Dans un milieu différent, selon un mode de contamination différent, une autre hépatite, à virus B, devient la hantise des milieux hospitaliers, où cette maladie professionnelle a provoqué des morts, entraîné plusieurs incapacités définitives et de nombreux arrêts de travail prolongés.” Pour les six premiers mois de 1973, plus de deux mille cas ont été officiellement déclarés, mais ce nombre doit vraisemblablement être trois à quatre fois plus élevé. Il est évident que la pollution des mers est une des causes de contamination. Ainsi, fait remarquer Le Monde, “la plupart des agglomérations côtières pratiquent encore le ‘tout à la mer, sans se soucier du parc d’élevage de coquillages, de la colonie de vacances voisine, de l’afflux passager d’estivants qui décuplent pendant deux ou trois mois la population (...). Or une ville de quarante-cinq mille habitants élimine par jour environ 9 tonnes de matières fécales et 50 tonnes d’eaux usées, évidemment riches en microbes pathogènes. il en résulte une situation paradoxale à l’égard des maladies transmissibles, comme l’hépatite : nous sommes, tout à la fois, trop propres en ville pour être immunisés naturellement contre les bactéries et les virus courants, et pas assez pour ne plus être contaminés accidentellement”.

L’hépatite à virus B, nouveau fléau des hôpitaux

En 1972, sur 229 cas de maladies professionnelles reconnues à l’Assistance publique de Paris, plus de 200 concernaient l’hépatite virale. Selon Le Monde du 21 novembre 1973, “cette maladie (...) semble se propager dans les hôpitaux nantis de services de dialyse rénale, d’hépatologie, d’hématologie, de réanimation et partout où les transfusions sont pratiquées de façon courante”. Ce journal ajoute : “L’hépatite à virus B ou hépatite ‘sérique’ a été souvent appelée ‘transfusionnelle’, car les premières observations ont été faites après transfusion d’un sang porteur de virus B. Mais il semble qu’en réalité tout contact direct ou indirect avec le sang par ingestion ou par l’intermédiaire d’une plaie infime, (...) d’une seringue, d’ustensiles pollués, suffise à assurer la contamination par ce virus d’une extrême contagiosité.”

“Les jours de l’homme sont comptés”

Si Dieu n’intervenait pas dans les affaires de l’homme, que se passerait-​il ? Sir Kingsley Dunham, président de l’Association britannique pour les progrès de la science, déclara que “certains savants croient que les jours de l’homme sont comptés”. Pourquoi ? Il incrimina la raréfaction des ressources naturelles, la pollution et la pénurie de denrées alimentaires. Selon Dunham, quelle est la cause profonde risquant d’amener la “disparition” de l’homme ? Il répondit : “On pourrait résumer la cause de la disparition de la race humaine en disant qu’il s’agit des conséquences de la cupidité, de l’irréflexion et de l’insouciance.”

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