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  • g76 22/7 p. 29-31
  • Coup d’œil sur le monde

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  • Coup d’œil sur le monde
  • Réveillez-vous ! 1976
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Plus…
Réveillez-vous ! 1976
g76 22/7 p. 29-31

Coup d’œil sur le monde

Au Sahel, la famine a fait 100 000 morts

De 1968 à 1974, une sécheresse catastrophique a frappé la Gambie, la Haute-Volta, les îles du Cap-Vert, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal et le Tchad. À présent que les différents rapports des pays intéressés ont été dépouillés, il est possible de faire un premier bilan de cette catastrophe. Les experts estiment que cette sécheresse et la famine dont elle a été la cause ont provoqué quelque cent mille morts, sans compter ceux qui sont décédés par suite de maladies contractées en raison de la malnutrition. En outre, un tiers du bétail de ces États a été anéanti. Le Sahel a subi des dommages écologiques irréparables. L’humus ayant été détruit dans de vastes régions, la terre cultivable a été transformée en poussière. La production agricole de ces pays a donc beaucoup diminué. Au Sénégal et en Mauritanie, des milliers d’acacias ont été victimes de la sécheresse. Or, ces arbres fournissaient un produit d’exportation : la gomme arabique. La production de l’arachide, du coton et du riz a, elle aussi, beaucoup baissé.

Métiers dangereux

Aux États-Unis, le métier le plus dangereux est celui de sapeur-pompier. D’après un rapport publié par la revue Parade, une enquête menée par l’Association internationale des sapeurs-pompiers révèle qu’en 1974 il y a eu 84 accidents mortels pour 100 000 pompiers. Les deux autres métiers les plus dangereux sont ceux de mineur et de policier. Parmi les mineurs, il y a eu 71 morts accidentelles pour 100 000 emplois, et, pour la police, on a compté 51 morts pour 100 000 policiers.

Cellules d’une momie

L’autopsie d’une momie égyptienne a révélé la présence de leucocytes ou globules blancs. On avait déjà retrouvé des globules rouges dans une momie, mais c’est la première fois qu’on a découvert des leucocytes. Les chercheurs ont constaté que la structure des globules est restée inchangée, bien que la momie soit vieille de quelque 2 200 ans. D’autre part, ces globules sont identiques aux cellules d’un homme d’aujourd’hui. Un professeur de pathologie a déclaré : “Je reconnais ces cellules en me servant, pour les examiner, des mêmes critères structuraux que ceux que j’utiliserais pour le même type de cellule de mon propre sang.”

Délinquance infantile

Scotland Yard s’inquiète de l’accroissement du nombre de délits commis par les enfants. Plus de la moitié des cambriolages signalés à Londres en 1975 ont été commis par des enfants âgés de onze à quinze ans. Le Daily Mail de Londres a écrit : “Scotland Yard craint que ces enfants ne deviennent des adultes délinquants, ce qui aggraverait considérablement la criminalité. La délinquance infantile inquiète également la police britannique dans les villes de province.

Briques crues plus durables

La moitié des habitants de la terre vivent dans des maisons bâties de briques séchées au soleil. Mais ces constructions ne sont pas très durables, car ce matériau de construction est vite érodé par les intempéries. Dernièrement, un groupe d’ingénieurs anglais a produit une brique crue qui résiste bien à l’action du vent et de l’eau. Ils ont découvert que si l’on ajoute de la chaux à certaines terres trouvées en Asie et en Afrique, on peut faire des briques crues beaucoup plus durables. Ils pensent que cette nouvelle brique pourra contribuer à la solution du problème du logement dans les pays en voie de développement, sans augmenter beaucoup les frais de construction.

La survivance après la mort

Un sondage effectué en République fédérale allemande a confirmé qu’il y a une très nette baisse dans la croyance selon laquelle la vie continue après la mort. Aujourd’hui, 64 pour cent des Allemands n’y croient plus, et le pourcentage est plus élevé chez les hommes que chez les femmes.

Habitudes des gens qui vivent longtemps

D’après le périodique Changing Times, des recherches faites par l’université de Californie ont identifié certaines habitudes communes aux gens qui atteignent un âge très avancé. Ce sont : Huit heures de sommeil pour les hommes, sept pour les femmes ; un petit déjeuner copieux et deux autres repas pris à des heures régulières ; pas de casse-croûte entre les repas ; de l’exercice (souvent par la pratique d’un sport) ; la modération dans la consommation des boissons alcooliques ; aucun usage de tabac ; poids bien surveillé.

Pollution de la mer de Galilée

L’assèchement des marais de la vallée du Houleh, au nord de la Galilée, et les méthodes modernes de cultures employées dans les kibboutz de cette région ont eu une conséquence inattendue : la pollution de la mer de Galilée ou lac de Tibériade. En effet, depuis plusieurs années, les chercheurs israéliens avaient remarqué des quantités excessives de nitrates et de phosphates dans les eaux du lac. Lorsqu’elles atteignent un taux trop élevé, ces matières favorisent la prolifération d’algues microscopiques dont la décomposition pollue l’eau. Non contrôlé, ce phénomène peut entraîner la disparition des poissons. Les chercheurs ont découvert que l’assèchement des terrains marécageux de la vallée du Houleh a favorisé une réaction chimique entre le sol asséché et l’oxygène de l’air. Ce phénomène a déterminé l’apparition de nitrates qui ont fini par s’accumuler dans les eaux du lac. Pour combattre ce phénomène, les chercheurs ont recommandé d’humidifier le sol desséché, ce qui favorise la multiplication de bactéries qui décomposent les nitrates. D’autre part, ils conseillent aux cultivateurs des kibboutz d’employer moins d’engrais phosphatés.

L’aventure spatiale a quinze ans

Ce fut en 1961  que le Soviétique Gagarine fit un tour du globe en satellite artificiel, son vol ayant duré 108 minutes. Depuis lors, les Russes ont placé 32 hommes en orbite autour de notre planète, à bord de divers vaisseaux spatiaux. Quant aux Américains, ils ont envoyé 71 hommes dans l’espace, dont 12  sur la Lune. L’Union soviétique poursuit ses expériences de vols habités autour de la terre, tandis que les États-Unis ont suspendu leurs vols spatiaux habités jusque vers 1980. Ils comptent expérimenter alors une “navette spatiale”, espèce d’avion qui pourra voler dans l’espace et revenir sur terre, en se posant sur un terrain d’aviation. L’année dernière, Soviétiques et Américains ont collaboré dans la mission Apollo-Soyouz, expérience d’arrimage de cabines, avec passages des occupants de l’une à l’autre. Depuis, la collaboration américano-soviétique dans le domaine spatial se limite à quelques expériences sans grande portée. Commentant ce fait, La Tribune de Lausanne a écrit : “À Moscou, les experts estiment qu’étant donné l’état actuel des relations entre les deux pays, la coopération spatiale entre Américains et Soviétiques ne sera marquée par aucune opération importante dans un avenir proche.”

Satellites canadiens

Étant donné l’étendue de son territoire, le Canada s’est toujours intéressé aux moyens de communication modernes. Au cours des dernières années, le gouvernement d’Ottawa a fait lancer par la NASA (Administration américaine de l’Aéronautique et de l’Espace) trois satellites de télécommunications, servant aux liaisons téléphoniques et à la diffusion de certaines émissions de télévision. Cependant, ces satellites, baptisés Anik, étaient de fabrication américaine. Ottawa a donc décidé d’entreprendre la réalisation de ses propres satellites de télécommunications. Un premier satellite expérimental a été lancé avec succès au mois de janvier. Ce satellite passe pour être le plus avancé de tous les engins civils réalisés à ce jour dans le monde occidental.

“Déséquilibre des forces”

Le général américain George Brown, président du comité des chefs d’état-major aux États-Unis, a révélé dernièrement les faits suivants : “Depuis 1962, date à laquelle a commencé l’expansion navale soviétique, les Soviétiques ont construit plus de 1 300 bâtiments, alors que les États-Unis, dans le même temps, en ont construit 300. Durant les cinq dernières années, les Soviétiques ont produit environ 15 000 chars ; les Américains, 2 100. Ils ont produit environ 20 000 transports blindés de troupes contre 7 900 aux États-Unis. (...) Les Soviétiques ont encore produit durant ces cinq dernières années 6 750 pièces d’artillerie et 4 600 avions tactiques, tandis que les États-Unis en ont construit respectivement 1 350 et 3 000. (...) Les Soviétiques ont accru, depuis 1965, de 224 à environ 1 600 le nombre de leurs missiles intercontinentaux, et de 29 à environ 730 le nombre de missiles balistiques tirés depuis des sous-marins. Dans le même temps, les États-Unis ont maintenu à 1 054 le nombre de leurs missiles intercontinentaux et à 656 celui de leurs engins lancés depuis des sous-marins. (...) Les Soviétiques ont porté depuis 1965 leurs effectifs militaires de 3 400 000 à 4 400 000 hommes, alors que les effectifs américains sont passés à 2 100 000 hommes.” Le général Brown a tiré la conclusion suivante : “En Europe centrale, il existe aujourd’hui un déséquilibre des forces en présence au profit de celles du pacte de Varsovie.”

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