Nos lecteurs nous écrivent

Les jeunes s’interrogent...

Merci pour le dur travail de préparation de la série d’articles “Les jeunes s’interrogent...”. Nul doute que ces articles auront aidé des millions de jeunes dont je fais partie. Ces sujets m’expliquent pourquoi j’accomplis certaines actions et ils me montrent comment on évite de commettre des erreurs insensées.

F. B., États-Unis

J’adhère de tout mon cœur au contenu de l’article “Les jeunes s’interrogent... Vers qui puis-​je me tourner quand j’ai un problème?” (édition française du 8 octobre 1983). Je viens d’entrer au lycée cette année et comme beaucoup d’adolescents, j’ai de nombreux problèmes. Je craignais de confier ces petits problèmes à mes parents. Mais après l’avoir fait, mes parents m’ont aidé à les résoudre. Cette aide a été, en tous points, bien meilleure que celle que mes copains auraient pu me fournir. Mes parents m’ont laissé entendre que je pouvais leur confier tous mes problèmes, quelle que soit leur nature.

M. S., Canada

Je suis tout à fait d’accord avec le conseil contenu dans l’article “Vers qui puis-​je me tourner quand j’ai un problème?”. L’expérience me l’a enseigné. Quand j’étais plus jeune, des filles se moquaient de moi parce que je ne m’habillais pas comme elles et ne leur confiais pas mes problèmes. Mon amie la plus intime était ma mère. Aussi, mes camarades m’ont exclue de leur groupe et m’ont laissée toute seule. Quel fut le résultat? J’ai eu l’occasion de partager la compagnie des adultes et d’acquérir ainsi plus de connaissance et d’expérience tout en devenant mûre dans les domaines émotionnel et spirituel.

C. R., Italie

La réception du périodique contenant l’article “Comment supporter les déceptions?” m’a causé une grande joie. Quand on lit ces articles destinés aux jeunes, c’est comme si on s’entretenait avec un ami qui fait preuve d’une réelle compréhension. Je tiens beaucoup à ces renseignements, comme si c’était de l’argent ou de l’or. Encore merci du fond du cœur.

T. P., États-Unis

Les mariages entre adolescents

Je vous écris pour vous dire combien j’ai apprécié vos articles sur les mariages entre adolescents (édition française du 22 décembre 1983). J’ai pu me reconnaître dans plusieurs des situations qui y sont décrites. J’ai ressenti tout cela parce qu’à 18 ans j’ai pu faire ce que je désirais. Combien je me suis trompé! J’ai dit à mes parents que je savais ce que je voulais et, à présent, je comprends ce qu’ils essayaient de me dire. J’espère que d’autres jeunes prêteront une grande attention à ces articles. Si c’est ce qu’ils font, cela pourra leur éviter beaucoup de peine.

M. M., États-Unis

L’alcoolisme

Ce courrier a trait à votre article sur l’alcoolisme (édition française du 8 octobre 1982) et à ma lettre publiée dans la rubrique “Nos lecteurs nous écrivent” (édition française du 8 février 1983). Depuis lors, plus d’une année s’est écoulée et je désire vous faire part de ma joie, car je n’ai plus bu une seule goutte d’alcool. Je dois cette réussite au fait que vous avez publié cet article. Les conseils qu’il contenait m’ont touché et je les ai mis en pratique.

A. N., États-Unis