Nos lecteurs nous écrivent

Comment se présenter à un employeur

Votre article “Les jeunes s’interrogent... Comment se présenter à un employeur?” (édition française du 8 mai 1983) a été particulièrement utile. Nous étions dix-sept à postuler deux emplois dans une firme importante. Après le premier test, tous furent éliminés sauf quatre, et après le dernier entretien deux candidats ont été acceptés. Tous les deux nous avions lu et mis en pratique les excellentes suggestions données par l’article.

N. W. et M. M., Brésil

Le travail peut être une joie

Étant actuellement en prison, j’ai beaucoup de temps pour méditer. Il y a quelques jours, j’ai reçu votre périodique contenant l’excellent article “Le travail peut être une joie — est-​ce votre avis?” (édition française du 8 décembre 1983). Cet article m’a incité à réfléchir sur mon passé. Mon travail était si important pour moi que j’en oubliais complètement ma famille. Les disputes devinrent plus fréquentes à la maison, si bien qu’on entama une procédure de divorce. C’est alors que mon activité criminelle a commencé. Si à ce moment-​là j’avais eu entre les mains votre périodique et si j’avais connu les Témoins de Jéhovah, j’aurais pu certainement éviter bien des choses. J’aurais envisagé la vie de famille de façon complètement différente. Bien des problèmes peuvent être résolus plus facilement si l’on reste attaché à la Bible.

G. S., Allemagne

La cocaïne

Merci pour votre article sur la cocaïne (édition française du 8 novembre 1983). Non seulement vous dites la vérité sur cette drogue nuisible, mais vous expliquez comment arriver à s’en passer. La plupart des articles sur la cocaïne se contentent d’expliquer ses effets néfastes, mais ne donnent pas le remède. Beaucoup de personnes connaissent les effets de cette drogue, mais ce qu’elles veulent savoir, c’est comment cesser d’en prendre. Il est encourageant de voir qu’il y a des gens qui répondent à ce besoin de façon digne de foi et qui ne vous donnent pas l’impression de manquer de volonté.

V. C., États-Unis

Les romans à l’eau de rose

J’ai été heureuse de lire l’article “Les jeunes s’interrogent... Les romans à l’eau de rose — Une lecture inoffensive?” (édition française du 8 février 1984). J’ai constaté, en effet, que je me suis rendue malheureuse à cause de ce genre d’ouvrages. Pendant longtemps je me suis illusionnée sur le type d’hommes qu’on y décrit, beaux, forts et riches... Cela m’a conduite à épouser un homme égoïste, cynique et aimant les plaisirs. Mon mariage a été un fiasco total. Cette vie ne laisse pas de place aux rêves. Gare à celui ou à celle qui se met à rêvasser! Après deux ans de veuvage, je me suis remariée avec un homme calme et travailleur, bien différent des personnages que nous font entrevoir les auteurs des romans à l’eau de rose. Notre petite famille connaît à présent le bonheur, car mon mari fait l’effort de cultiver les “fruits de l’esprit”. (Galates 5:22, 23.) Tout cela pour vous dire combien nous sommes heureux de disposer des publications et des conseils qu’elles contiennent. Merci pour tout!

O. J., France