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  • 1ère partie — Autour du monde avec le vice-président

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  • 1ère partie — Autour du monde avec le vice-président
  • La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1957
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La Tour de Garde annonce le Royaume de Jéhovah 1957
w57 1/12 p. 363-364

1re partie — Autour du monde avec le vice-président

NEUF jours de quarantaine devant lui, à son arrivée dans un pays très éloigné de chez lui, telle fut la situation fâcheuse dans laquelle se trouva le vice-président de la Watch Tower Bible and Tract Society de Pennsylvanie, le samedi matin, 22 décembre 1956, à l’aéroport de Karachi, Pakistan. F. W. Franz, en compagnie de N. H. Knorr, président de la même Société, était arrivé d’Istamboul, Turquie, avec près de deux jours de retard dus au mauvais temps qui avait régné sur l’Angleterre et sur l’Europe et retardé l’envol des avions. En cette circonstance critique, ils avaient réussi à trouver un avion qui leur permit de quitter Istamboul quelques heures plus tôt que l’horaire prévu. Mais, quelques jours auparavant, cet avion s’était envolé d’une zone de l’Afrique du Sud où régnait la fièvre jaune. Quand il arriva avec ses passagers à Karachi, les autorités médicales, ayant examiné les registres officiels de l’avion, conclurent qu’il n’avait pas été convenablement désinfecté à l’aéroport international de New-​York et à celui d’Angleterre. Tous les passagers arrivant à Karachi s’étaient donc trouvés exposés à la fièvre jaune. Finalement, après deux heures d’attente avant midi, les passagers qui possédaient des certificats, valables et acceptables, de vaccination contre la fièvre jaune, purent accomplir les formalités des douanes et sortir librement dans la ville. Le président de la Société, frère Knorr, était du nombre.

Les préparatifs se poursuivirent pour transférer en ambulance les passagers détenus, au nombre de quinze y compris le vice-président, jusqu’au lointain bâtiment de l’aéroport où l’on gardait en quarantaine. Vers seize heures et demie, le vice-président et deux autres passagers montèrent dans l’ambulance, faisant partie du dernier transport. Mais, cette attente de plus de quatre heures avait permis au président de lui rendre deux visites, tout d’abord en lui parlant au travers d’une fenêtre à laquelle il avait grimpé, et, plus tard, par la fenêtre d’un corridor, peu de temps avant de prendre l’avion du soir pour Lahore, Pakistan. Ces visites non conventionnelles encouragèrent fort le vice-président détenu qui ignorait ce qu’on allait faire de lui, car on lui avait pris son passeport et ses tickets de voyage ; il était pour ainsi dire sans aucun secours. En tout cas, c’était une bonne chose pour le président de la Société d’être libre, de pouvoir assister à l’assemblée des témoins de Jéhovah qui se tenait à Lahore, avant sa clôture le dimanche soir, et se rendre ensuite à ses autres rendez-vous en Inde et à Ceylan.

Dès leur entrée dans le bâtiment de quarantaine, isolé, les nouveaux arrivés subirent une désinfection qui les prémunit contre une nouvelle infection ou contagion. On attribua au vice-président un lit dans une chambre contenant cinq lits. Il s’assit à une table et attendit, confiant que le Dieu tout-puissant interviendrait pour qu’il lui fût possible de faire honneur à ses rendez-vous aux assemblées de New-Delhi et de Calcutta, en Inde, et de Rangoon, en Birmanie. L’obscurité vint avec le coucher du soleil. Dix-huit heures et quart ; la sonnette d’une porte au dehors retentit ; un pas rapide se fit entendre ; puis, un cri de femme ! Le vice-président se précipita dans le vestibule. Il fut salué par ce cri : “ Nous sommes libres ! ” Pendant plus de huit heures nous avions été retenus prisonniers, et maintenant l’agent de la Compagnie d’aviation américaine nous attendait dehors, avec des automobiles, pour nous emmener d’abord au service des douanes de l’aéroport afin d’y accomplir les formalités, puis à l’hôtel et vers un bon repas pris en toute liberté. “ Gott sei Dank ! ” (“ Grâces soient rendues à Dieu ! ”), s’exclama un passager originaire d’Allemagne. Oui, notre délivrance était la réponse à une prière victorieuse adressée à Jéhovah. Tout le long de la journée, une bataille ardente s’était livrée entre les fonctionnaires des services sanitaires et de l’immigration pakistanais, et ceux de la Compagnie d’aviation Pan American et de l’ambassade américaine. Des câblogrammes avaient été échangés entre le Pakistan, l’Amérique et l’Angleterre, concernant les mesures sanitaires. Finalement, les autorités pakistanaises, en accord avec les lois sanitaires internationales, estimèrent pouvoir déclarer que les passagers détenus n’offraient aucun risque pour la santé de leurs semblables. Ils furent donc libérés de toute autre quarantaine. Le vice-président pouvait ainsi sans retard faire honneur aux rendez-vous imminents qu’il avait dans les neuf jours suivants. La nouvelle de sa mise en liberté fut télégraphiée ce soir-​là au président de la Société à Lahore, Pakistan.

Le lendemain matin, frère Franz put avancer d’un jour son départ du Pakistan-Ouest pour se rendre en Inde en avion cet après-midi-​là. Dans l’intervalle, un homme de bonne volonté de Karachi, un certain M. Britain, averti par téléphone de Lahore, de la présence du vice-président de la Société à Karachi, eut la chance de le trouver immédiatement à sa sortie des bureaux de la Airlines Corporation de l’Inde. Cette rencontre réjouissante se fit sur le trottoir, dehors. M. Britain, cet homme de bonne volonté, qui avait été empêché d’assister à l’assemblée de Lahore par suite d’un surcroît de travail, sacrifia plus d’une demi-heure à conduire en voiture frère Franz aux endroits les plus intéressants de Karachi et à l’hôtel. Frère Franz eut quelques regrets d’avoir avancé son départ de la capitale, ce qui l’empêchait de visiter trois personnes qui n’avaient pas le privilège d’aller à Lahore pour l’assemblée. Mais, s’en tenant aux nouvelles dispositions, il fut piloté sans accident par un homme à la barbe fournie, coiffé d’un turban et au teint basané, qui, aux commandes de l’avion, lui fit survoler de très haut les canaux de l’Indus, le désert brûlé de l’Inde, en direction du nord-est, vers l’aéroport de New-Delhi. Ce soir-​là, ses efforts pour entrer en contact avec les missionnaires de la Watch Tower n’aboutirent pas.

NEW-​DELHI, INDE

Ce fut une grande surprise lorsque, vers le milieu de la matinée du lundi 24 décembre, frère Franz se présenta au serviteur du home de missionnaires de New-​Delhi. Les missionnaires et les frères de l’endroit avaient décidé d’aller au-devant de lui à l’aéroport, ce soir-​là, à 18 h 40. Or, il était déjà dans la ville et la majorité des frères l’ignoraient et pensaient l’accueillir à l’aéroport. Mais, c’est le contraire qui se produisit ! Frère Franz alla à l’aéroport, à la rencontre de nos frères de l’Inde. Ce fut une très grande surprise lorsqu’on le vit, amené en auto par une personne de bonne volonté, s’avancer au-devant de la foule accueillante. Une jeune sœur hindoue lui mit autour du cou une guirlande parfumée de roses et de chrysanthèmes, en signe traditionnel de bienvenue sur cette grande terre continentale qu’est l’Inde.

Le vice-président, disposant d’un peu de temps, décida de l’employer au mieux pour les frères. Aussi, les trente-sept personnes venues lui souhaiter la bienvenue l’accompagnèrent jusqu’à la Salle du Royaume qui n’était pas très éloignée de l’aéroport. Une des familles de la localité a fourni gracieusement une grande chambre qui sert de Salle du Royaume. Là, toutes les personnes présentes suivirent avec le plus grand intérêt et le plus vif plaisir le premier récit officiel de la tournée de service accomplie jusqu’à ce jour autour du monde. Sans aucun doute, elles furent toutes très réjouies et profondément émues de recevoir, par l’intermédiaire d’un représentant de la Société, les messages d’amour provenant des bureaux de la Société à Brooklyn, de l’École de la Watchtower, Galaad, et des groupes de témoins de Jéhovah du Portugal, de l’Espagne, de l’Italie, de la Grèce, de la Turquie et du Liban ; elles ressentirent plus vivement le lien parfait de l’unité qui nous maintient ensemble sur tout le globe. Ce fut un festin auquel les frères ne s’attendaient pas, et quand ils apprirent comment leurs compagnons de lutte dans d’autres parties de la terre restent fermement attachés à leur droit de “ proclamer la bonne nouvelle de son salut ”, leur propre détermination de poursuivre cette activité vitale en fut affermie. Les frères furent alors informés des dispositions prises en vue de se réunir tous le lendemain matin, à 8 h 30, pour l’activité avec les périodiques, en cette matinée traditionnelle de Noël.

En Inde, les Hindous, comme les chrétiens nominaux, tirent le meilleur parti possible du 25 décembre ; ils s’envoient des cartes et répandent le prétendu esprit de Noël. Comme dans les pays occidentaux, Noël signifie de bonnes affaires pour de nombreux boutiquiers. Dans aucun pays, les témoins de Jéhovah ne suivent cet exemple. Avec les frères de tous les autres lieux où leurs activités les identifient, les frères de Delhi profitent du jour férié pour s’engager dans l’activité avec les périodiques, attirant ainsi, par l’intermédiaire de La Tour de Garde et de Réveillez-vous !, l’attention des Hindous de l’Est sur la seule chose qui établira la paix totale parmi les hommes de bonne volonté, à savoir, le gouvernement du Monde Nouveau de Jéhovah. Donc, ce matin-​là, à la Salle de réunions, C.P.W.D., louée pour la journée, il y eut une agréable réunion d’une demi-heure. Frère Franz dirigea la discussion du texte quotidien et quelques démonstrations furent présentées pour illustrer les méthodes d’introduction des périodiques. À 9 h 15 environ, vingt-huit frères et sœurs sortirent dans le champ. Le vice-président travailla toutes les deux maisons avec le serviteur du home de missionnaires pendant une heure. À la fin de l’activité, on constata qu’en une heure les vingt-huit proclamateurs avaient placé 145 périodiques et 36 brochures, soit plus de cinq périodiques chacun, sans compter les feuilles d’invitation, au sein d’une population mêlée sur le plan religieux. Cela démontra la possibilité pour beaucoup de proclamateurs de groupes d’atteindre en peu de temps plus de la moitié de la norme mensuelle fixée pour le placement des périodiques s’ils travaillent avec détermination et profitent de toutes les occasions pour élargir le champ d’action de cette branche importante de publicité du Royaume.

À 11 heures, la réunion se rouvrit pour l’audition du discours prévu, prononcé par le vice-président. Les gens de bonne volonté étaient invités à cette session, ce fut une joie de voir une assistance totale de soixante-quinze personnes. Eu égard au fait que l’Inde est si éloignée des bureaux principaux de la société du Monde Nouveau à Brooklyn, tous les assistants se sentirent vraiment heureux d’entendre l’orateur expliquer le fonctionnement de l’incomparable organisation visible de Jéhovah. Il y eut ensuite un dîner substantiel, mais, à 16 heures, l’auditoire, accru, revint s’asseoir, cette fois pour entendre le discours public prononcé par l’orateur en visite sur “ La Paix du Monde Nouveau viendra de notre temps. Pourquoi ? ” L’assistance était composée de gens de diverses religions — hindoue, jain, sikh, mahométane et prétendue chrétienne, — et, bien que ce fût le jour de Noël, l’assistance s’éleva à quatre-vingt-cinq personnes. Parmi elle se trouvaient un certain nombre de personnes invitées le matin, lors de la distribution des périodiques. Au cours du discours, prononcé en anglais seulement, il fut clairement établi que la prophétie de Jésus sur la détresse du présent monde le justifiait indubitablement comme véritable prophète de Dieu, digne d’être accepté par les hommes de toutes nations, et cela quelle que soit leur religion. En qualité de Prince régnant, il garantira la paix du monde nouveau qui doit succéder à la guerre d’Harmaguédon. C’est maintenant le moment d’entrer dans l’organisation de Dieu composée de gens paisibles afin de survivre à la fin de ce monde de nations en guerre qui surviendra bientôt à Harmaguédon, et d’entrer dans le monde nouveau de paix.

Après le discours, l’orateur se mêla familièrement à l’assistance et fut très heureux d’être présenté aux personnes de bonne volonté venues entendre ce discours d’importance internationale. Il discuta avec elles en détail les nouveaux points auxquels elles s’intéressaient. Là-bas, en Orient, il y a beaucoup d’esprits intelligents et réfléchis. La Parole de Dieu, la Bible, a pour eux le seul message adéquat.

C’était une assemblée d’un jour seulement. Aussi, le lendemain, les missionnaires et un pionnier du pays purent emmener le vice-président faire un tour pour lui montrer les célèbres curiosités de Delhi. Le groupe se rendit tout d’abord au Koutab, tour magnifique, se découpant dans le ciel, artistement dessinée et bâtie par étapes, entre le douzième et le quatorzième siècles de notre ère. Elle est dépeinte comme la septième merveille de l’Inde et se trouve à dix-sept kilomètres environ au sud-ouest de Delhi. On raconte que l’idée première qui présida à son érection fut le désir de la femme du maharajah Prithvi Raj Chauhan d’apercevoir tous les jours, du haut de cette tour, le fleuve sacré Jumna. Le célèbre Fort de Delhi fut également visité, après quoi le groupe se rendit dans l’un des temples les plus modernes de Delhi, le temple Birla, du nom du riche magnat qui en finança la construction. Là, la petite troupe dut ôter ses chaussures et circuler en chaussettes spéciales, qu’elle se procura plutôt que de porter les pantoufles usagées remises par les autorités du temple aux visiteurs ne marchant pas nu-pieds. C’était plus sain et plus hygiénique de gravir les degrés du temple et de marcher sur ses dalles en portant des chaussettes neuves bon marché plutôt que de vieilles pantoufles que de nombreuses autres personnes avaient déjà portées. Là étaient exposés les dieux des Hindous, Brahma, Vishnou, Çiva, la déesse Durga et d’autres.

La petite troupe s’arrêta surtout pour lire l’inscription en lettres majuscules noires, peintes sur le côté droit de l’entrée principale et centrale du temple Birla, inscription rédigée en sanscrit, en hindi et en anglais et que l’on pouvait lire ainsi : “ Celui que l’on connaît sous le nom de Vishnoua est en réalité Rudrab, et celui qui est Rudra est Brahmac, entité opérant comme trois dieux, à savoir, Rudra, Vishnou et Brahma. ” Le groupe remarqua immédiatement la ressemblance frappante que cela présentait avec le credo trinitaire de la chrétienté et la similitude d’expression employée pour essayer de le définir. Le temple était aussi orné de la croix gammée qui fut le symbole du nazisme hitlérien ; les crochets de la svastika étaient tournés à droite, suivant le mouvement de l’horloge. Sous le nom “ Svastika ”, le livre-guide dit : “ Ce symbole est des plus sacrés et des plus anciens. Pendant les 8 000 dernières années au moins, il a été le signe de la civilisation et de la culture aryennes (hindoues). Ce symbole signifie une prière implicite pour obtenir le succès, l’habileté et la perfection dans toutes les circonstances de la vie, sous la direction du Tout-Puissant. On le trouve, non seulement en Inde, mais dans les autres pays bouddhistes et étrangers. ” (Page 20). Notre petite troupe remarqua aussi avec étonnement la façon dont les adorateurs du temple croisent leurs mains dans la prière et se prosternent devant les images du temple comme le font les catholiques devant les images de leurs édifices religieux.

Et voilà pour les curiosités ! La soirée fut employée pour une réunion finale avec les frères dans leur Salle du Royaume, car le lendemain matin, le vice-président devait partir de bonne heure pour Calcutta. À l’heure convenue, 18 h 30, les frères se réunirent avec empressement, au nombre de trente-neuf, et leur visiteur de Brooklyn leur parla sur les pensées contenues dans le Psaume 96:1, 2, New World Translation. Les assistants écoutèrent avec un profond intérêt l’exposé de ces faits encourageants, exposé détaillé, clair et vivant, rendant les frères capables de mieux “ chanter à Jéhovah un cantique nouveau ”. Profondément intéressés, tous restèrent pendant près d’une heure et demie et regrettèrent que cela dût prendre fin. Finalement l’auditoire fut invité à assister à toutes les réunions, y compris l’école du ministère théocratique. Cela nous aidera, dit l’orateur, à chanter le “ cantique nouveau ” avec des voix harmonieuses. La réunion se termina d’une façon fort appropriée par le chant intitulé “ Le cantique nouveau ”. La petite assemblée demanda au vice-président d’emporter avec lui un message d’amour pour nos frères de Calcutta et pour tous les autres qu’il rencontrerait sur son chemin de retour à Brooklyn, New-​York.

Le dernier repas pris par frère Franz était typiquement indien : le riz habituel, la viande et les “ chapatties ” (pain azyme du nord de l’Inde). Il jouit de l’hospitalité de l’une des aimables familles ayant pris position pour la pure adoration, et qui a même mis sa salle commune à disposition pour en faire une Salle du Royaume. Le groupe de Delhi avait alors une moyenne de trente-quatre proclamateurs de groupe ainsi que sept pionniers, ce qui fait un total de quarante et un. Ils firent partie des frères qui, dans toute l’Inde, contribuèrent l’année dernière à un accroissement de 9 pour cent du nombre des proclamateurs du Royaume.

Le réveil sonna le jeudi matin, 27 décembre, à 4 heures. Mais ce n’était nullement trop tôt pour le serviteur du home de missionnaires, frère Stephen Smith, qui se préparait à prendre le train pour Bombay, pour un voyage de vingt-quatre heures en troisième classe, afin d’assister à l’assemblée que le président de la Société, frère Knorr, devait desservir dans cette ville. Le vice-président se dirigea aussi en temps voulu vers l’aéroport de Palaam, assez éloigné, pour y prendre l’avion de 7 h 45 en direction de Calcutta. Une conversation agréable eut lieu avec un autre groupe d’amis avant qu’il montât dans l’avion, enrichi des chers souvenirs de sa courte visite aux frères de l’Inde septentrionale. Bientôt, son avion s’éleva, l’emportant dans la direction du Sud, vers le delta du Gange, à plus de treize cents kilomètres.

(À suivre.)

[Notes]

a Ces trois noms signifient respectivement “ Conservateur ”

b “ Destructeur ”

c “ Créateur ”.

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