Itre Itus Ka Nyitrepene La Mel Me Huliwa Ne Cainöj Pepa Nyine Huliwan
2-8 NOFEBA
ITRE TRENGAMO QA HNINE LA TUSI HMITRÖTR | ESODO 39-40
“Hnei Mose Hna Trongëne Hnyawane La Itre Hna Amekötin”
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Êtes-vous connu de Jéhovah ?
13 À l’inverse, Moïse était “ de beaucoup le plus humble de tous les hommes qui étaient sur la surface du sol ”. (Nomb. 12:3.) Il a fourni la preuve de son humilité en se montrant déterminé à suivre les directives de Jéhovah (Ex. 7:6 ; 40:16). Rien ne laisse à penser que Moïse avait l’habitude de contester la manière dont Jéhovah faisait les choses ou qu’il s’irritait d’avoir à appliquer les procédures qui lui étaient communiquées. En vue de la construction du tabernacle, Jéhovah lui a dicté jusqu’aux moindres détails. Par exemple, pour la confection des toiles, il a indiqué la couleur du fil et le nombre de brides (Ex. 26:1-6). Si, dans l’organisation de Dieu, un surveillant vous fournit des instructions qui vous paraissent excessivement détaillées, peut-être trouvez-vous cela pénible. Mais Jéhovah, lui, est un surveillant parfait, qui délègue abondamment et qui a confiance en ses serviteurs. Lorsqu’il donne de nombreux détails, il le fait pour de bonnes raisons. On notera que Moïse n’a jamais reproché à Jéhovah de lui fournir autant de précisions, comme si son Dieu le rabaissait ou ne lui laissait aucune part de créativité, de liberté. Au contraire, il a veillé à ce que les artisans ‘ fassent exactement ’ ce qui était demandé (Ex. 39:32). Belle humilité, n’est-ce pas ? Moïse reconnaissait qu’il s’agissait de l’œuvre de Jéhovah et qu’il n’était qu’un instrument dans la réalisation de cette œuvre.
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Êtes-vous fidèle en toutes choses ?
3 “Moïse comme serviteur a été fidèle ”, lit-on en Hébreux 3:5. En quoi ce prophète a-t-il été fidèle ? Lors de la construction et de l’installation du tabernacle, “ Moïse se mit à faire selon tout ce que Jéhovah lui avait ordonné. Ainsi fit-il, exactement ”. (Exode 40:16.) Nous qui adorons Jéhovah, nous nous montrons fidèles en le servant avec obéissance. C’est particulièrement le cas lorsque nous traversons des moments difficiles ou de dures épreuves. Cependant, que nous surmontions des difficultés ne suffit pas à prouver notre fidélité. “ Celui qui est fidèle dans ce qui est tout petit est fidèle aussi dans ce qui est beaucoup, a déclaré Jésus, et celui qui est injuste dans ce qui est tout petit est injuste aussi dans ce qui est beaucoup. ” (Luc 16:10). Il nous faut rester fidèles même dans ce qui semble être de petites choses.
Troa Sine Thel La Itre Mekune Ka Sisitria
it-2-F 510 par. 4
Peau de phoque
Comment les Israélites purent s’en procurer. Si le taḥash de la Bible désigne bien une espèce de phoque, on peut se demander comment les Israélites purent se procurer des peaux de phoques. Bien qu’on associe généralement les phoques à l’Arctique et à l’Antarctique, il faut savoir que certaines espèces préfèrent des climats plus tempérés. Aujourd’hui encore, quelques phoques moines peuplent certaines parties de la Méditerranée ainsi que d’autres mers chaudes. Au cours des siècles, l’homme a considérablement réduit le nombre des phoques ; il se peut donc que dans les temps bibliques ces animaux aient abondé en Méditerranée et dans la mer Rouge. Encore en 1832, une édition du Dictionnaire de la Bible d’Augustin Calmet (p. 139) faisait cette remarque : “ On trouve des phoques sur un grand nombre des petites îles de la mer Rouge, autour de la péninsule du Sinaï. ” — Voir aussi The Tabernacle’s Typical Teaching, A. Pollock, Londres, p. 47.
w15-F 15/7 21 par. 1
Qui devrait remarquer ton travail ?
Le tabernacle achevé, un nuage « se mit à couvrir la tente de réunion, et la gloire de Jéhovah remplit le tabernacle » (Ex. 40:34). Quelle preuve manifeste de l’approbation divine ! À ton avis, qu’ont éprouvé Betsalel et Oholiab à ce moment-là ? Bien que leur nom n’ait pas été gravé sur leurs œuvres, ils ont dû éprouver une grande satisfaction en constatant que Jéhovah bénissait leur dur travail (Prov. 10:22). Leurs ouvrages ont continué de servir au culte pour Jéhovah pendant des années, ce qui les a sûrement réjouis. Dans le monde nouveau, quand ils ressusciteront, ils seront sans aucun doute ravis d’apprendre que le tabernacle a servi au vrai culte pendant quelque 500 ans !
9-15 NOFEBA
ITRE TRENGAMO QA HNINE LA TUSI HMITRÖTR | LEVITIKO 1-3
“Aliene La Itre Huuj Me Itre Ahnahna”
it-2-F 847 par. 1
Sacrifices, offrandes
Holocaustes. Les holocaustes, ou sacrifices entièrement consumés par le feu, étaient présentés entiers à Dieu ; l’adorateur ne retenait aucune partie de l’animal (voir Jg 11:30, 31, 39, 40). L’holocauste constituait une demande à Jéhovah, consistant à accepter, ou à indiquer qu’il acceptait, le sacrifice pour le péché qui l’accompagnait parfois. En tant qu’“ holocauste ”, Jésus Christ s’offrit entièrement, complètement.
it-2-F 849 par. 7
Sacrifices, offrandes
Offrandes de grain. Les offrandes de grain étaient faites en même temps que les sacrifices de communion, les holocaustes et les sacrifices pour le péché, mais aussi comme prémices ; parfois elles étaient faites indépendamment (Ex 29:40-42 ; Lv 23:10-13, 15-18 ; Nb 15:8, 9, 22-24 ; 28:9, 10, 20, 26-28 ; chap. 29). Elles exprimaient la gratitude pour la libéralité dont Dieu faisait preuve en accordant des bénédictions et la prospérité. Elles s’accompagnaient souvent d’huile et d’oliban. Les offrandes de grain pouvaient se présenter de différentes façons : fleur de farine, grain rôti, ou gâteaux en forme de couronne ou galettes cuits au four, préparés sur la poêle ou dans la marmite contenant le bain de friture. Une partie de l’offrande de grain était mise sur l’autel de l’holocauste, une autre était mangée par les prêtres, et dans le cas d’un sacrifice de communion la personne qui l’offrait y avait part également (Lv 6:14-23 ; 7:11-13 ; Nb 18:8-11). Les offrandes de grain présentées sur l’autel ne devaient contenir ni levain ni “ miel ” (mot désignant apparemment du sirop de figues ou du jus de fruits) sujets à la fermentation.—Lv 2:1-16.
it-2-F 847 par. 5
Sacrifices, offrandes
Sacrifices de communion (ou offrandes de paix). Les sacrifices de communion agréables à Jéhovah signifiaient la paix avec Dieu. L’adorateur et sa maisonnée y avaient part (dans la cour du tabernacle ; selon la tradition, des huttes étaient dressées le long du côté intérieur du rideau clôturant cette cour ; dans le temple, des salles à manger étaient prévues). Le prêtre officiant recevait une portion, et les prêtres de service une autre portion. Jéhovah, en quelque sorte, recevait l’odeur agréable de la graisse consumée. Le sang, représentant la vie, était donné à Dieu comme lui appartenant. Ainsi, les prêtres, les adorateurs et Jéhovah partageaient en quelque sorte ce repas, ce qui signifiait des relations de paix. Quiconque en mangeait en état d’impureté (l’une quelconque des impuretés mentionnées dans la Loi) ou consommait la viande au-delà du temps prescrit (sous le climat chaud, elle commençait à se putréfier) devait être retranché du peuple. Une telle personne souillait ou profanait le repas, soit parce qu’elle était impure elle-même, soit parce qu’elle mangeait une chose infecte aux yeux de Jéhovah Dieu, montrant du mépris pour les choses sacrées.—Lv 7:16-21 ; 19:5-8.
Troa Sine Thel La Itre Mekune Ka Sisitria
w04-F 15/5 22 par. 1
Points marquants du livre du Lévitique
2:13—Pourquoi fallait-il présenter du sel avec ‘ toutes les offrandes ’ ? Il ne s’agissait pas de rehausser la saveur de ce qui était sacrifié. Le sel est utilisé dans le monde entier comme agent de conservation. On l’ajoutait vraisemblablement aux offrandes pour symboliser l’absence de corruption ou de decomposition.
it-1-F 1003
Graisse
La raison d’être de cette loi. Sous l’alliance de la Loi, le sang et la graisse étaient tous deux considérés comme la propriété exclusive de Jéhovah. Le sang contient la vie, que Jéhovah seul peut donner ; aussi lui appartient-il (Lv 17:11, 14). La graisse était considérée comme la partie la plus riche de la chair d’un animal. Dès lors, en offrant la graisse de l’animal, l’adorateur reconnaissait que les meilleurs morceaux appartenaient à Jéhovah, qui donne en abondance, et il démontrait son désir d’offrir à Dieu le meilleur. Comme la graisse représentait l’offrande du meilleur à Jéhovah par les Israélites, il était dit qu’elle fumait sur l’autel comme “ nourriture ” et en “ odeur reposante ” pour lui (Lv 3:11, 16). Par conséquent, celui qui mangeait de la graisse s’appropriait illégalement ce qui était sanctifié pour Dieu et empiétait par là sur les droits de Jéhovah. Il était passible de la peine capitale. Cependant, contrairement au sang, la graisse pouvait servir à d’autres usages, du moins si elle provenait d’un animal mort de lui-même ou tué par une autre bête.—Lv 7:23-25.
w04-F 15/5 22 par. 2
Points marquants du livre du Lévitique
3:17. Puisque la graisse était considérée comme la partie la meilleure ou la plus riche d’un animal, le fait d’en interdire la consommation enseignait aux Israélites que la meilleure partie revenait à Jéhovah (Genèse 45:18). Cela nous rappelle que nous devrions donner à Jéhovah ce que nous avons de meilleur.—Proverbes 3:9, 10 ; Colossiens 3:23, 24.
16-22 NOFEBA
ITRE TRENGAMO QA HNINE LA TUSI HMITRÖTR | LEVITIKO 4-5
“Tro Sa Hamë Iehova La Ka Sisitria”
it-2-F 848 par. 12
Sacrifices, offrandes
Sacrifices de culpabilité. Les sacrifices de culpabilité étaient également des sacrifices offerts en raison d’un péché, car toute culpabilité implique un péché. Ces sacrifices étaient requis pour des péchés particuliers à cause desquels une personne portait une culpabilité, et ils différaient légèrement des autres sacrifices pour le péché en ce qu’ils avaient apparemment pour but de faire réparation par rapport à un droit ou de rendre un droit. Il y avait eu violation d’un droit, soit de Jéhovah, soit de sa nation sainte. Le sacrifice de culpabilité avait pour objet soit de faire réparation à Jéhovah au sujet du droit violé, soit de rendre ou de faire recouvrer au pécheur repentant certains droits de l’alliance et de le libérer de la punition consécutive à son péché.—Voir Is 53:10.
w09-F 1/6 26 par. 3
Il tient compte de nos limites
Reflétant la tendre considération de Jéhovah, la Loi stipulait : “ Mais si ses moyens ne lui permettent pas de se procurer un mouton, alors il devra apporter à Jéhovah, comme son sacrifice de culpabilité pour le péché qu’il a commis, deux tourterelles ou deux jeunes pigeons. ” (Verset 7). Si un Israélite était trop pauvre pour se procurer un mouton, alors Dieu acceptait volontiers quelque chose qui était dans ses moyens — deux tourterelles ou deux pigeons.
w09-F 1/6 26 par. 3
Il tient compte de nos limites
Et si le pécheur ne pouvait même pas se procurer les deux oiseaux ? La Loi prévoyait : “ Alors il devra apporter, comme son offrande pour le péché qu’il a commis, un dixième d’épha [environ un kilo] de fleur de farine pour un sacrifice pour le péché. ” (Verset 11). Pour les plus démunis, Jéhovah admettait donc une exception et acceptait un sacrifice non sanglant. En Israël, la pauvreté ne privait personne de la possibilité de faire propitiation de ses péchés et de faire la paix avec Dieu.
Troa Sine Thel La Itre Mekune Ka Sisitria
Ini Qaathene La Itre Hlue i Iehova Ka Nyipici Ekö
14 Loi e tro fe sa pane nyipici koi Iehova, me menyik kowe la itre trejin. Maine jë, atre hë epuni laka, hna kei hnene la ketre trejin kowe la ngazo. Epuni a ajane troa nyipici koi angeic, ke, ketre sinee i epun maine ketre atrene la hnepe lapa i epun. Ngo atre hnyawa fe hi epuni laka, Iehova la nyine tro epuni a pane nyipici kow. Haawe, tui Nathana, drengethenge Iehova jë, me thiina ka menyik kowe lai trejin. Upi angeice jë kowe la itre qatre thup göi troa thele ixatua, nge tha tro kö a hmitr. E tha tro kö angeic, haawe, tro hë epuni lai a ketre qaja kowe la itre qatre thup. E tro epuni a ujë tune lai, epuni lai a nyipici koi Iehova. Nge epuni fe hi a thiina ka menyik kowe lai trejin, ke, tro la itre qatre thupe lai a xatua angeice tro hmaca a imelekeu hnyawa me Iehova. Tro angatre lai a ameköti angeic ngöne la menyik.—E jë la Levitiko 5:1; Galatia 6:1.
it-2-F 861 par. 8
Sainteté
Animaux et productions. Les mâles premiers-nés d’entre les bovins, les moutons et les chèvres étaient considérés comme saints pour Jéhovah et ne devaient pas être rachetés. Ils devaient être sacrifiés, et une portion allait aux prêtres sanctifiés (Nb 18:17-19). Les prémices et la dîme étaient sacrées, de même que tous les sacrifices et tous les dons sanctifiés pour le service du sanctuaire (Ex 28:38). Toutes les choses saintes pour Jéhovah étaient sacrées, et ne devaient ni être considérées à la légère ni prises pour un usage ordinaire, profane. C’est ce qu’illustre la loi sur la dîme. Si un homme avait mis à part la portion qui devait être offerte en dîme, par exemple sur sa récolte de blé, et que lui ou un membre de sa maisonnée en ait prélevé involontairement une partie pour un usage domestique, comme la cuisine, l’homme était coupable d’une transgression de la loi de Dieu sur les choses saintes. Il était tenu par la Loi de faire au sanctuaire une compensation de même quantité, augmentée de 20 %, en plus d’offrir en sacrifice un bélier sans défaut pris dans son petit bétail. Voilà qui engendrait un grand respect envers les choses saintes appartenant à Jéhovah.—Lv 5:14-16.
23-29 NOFEBA
ITRE TRENGAMO QA HNINE LA TUSI HMITRÖTR | LEVITIKO 6-7
“Aqane Amamane La Hni Ne Ole”
Itre Ini Qa Ngöne La Tusi Levitiko
9 Hnaaluene ini: Easa nyihlue i Iehova ke, tru la hni ne ole së koi Nyidrë. Hanawang la tulu ne la itre huuj hna tro fë hnei angetre Isaraela. Kola qaja ngöne la tusi Levitiko laka, ijije hi tro la ketre atre ne Isaraela a tro fë la “nyine huje ne hedö.” (Lev. 7:11-13, 16-18) Pëkö ka musinë angeic troa tro fë la huuje cili, ngo angeic a kuca qa kuhu hni ke, tru la ihnimi angeic koi Iehova. Tro la atre tro fë la huuj me fami angeic me itretre huuj, a öni la mitr hna huujën. Ngo hetre itre götranene kö la öni laka, thatraqai Iehova hmekuje hi. Nemen?
w00-F 15/8 15-16 par. 15
Des sacrifices qui plaisaient à Dieu
15 Une autre offrande volontaire est décrite en Lévitique chapitre 3 : le sacrifice de communion, ou “ sacrifice d’offrandes de paix ”. En hébreu, le mot “ paix ” signifie bien plus que l’absence de guerre ou de troubles. “ Dans la Bible, explique le livre Études des institutions mosaïques (angl.), il exprime en plus l’état ou les relations de paix avec Dieu, la prospérité, la joie et le bonheur. ” On ne faisait donc pas des sacrifices de communion pour être en paix avec Dieu, comme pour l’apaiser, mais pour le remercier, pour célébrer la condition bénie dont jouissent ceux qui sont en paix avec lui parce qu’il les approuve. Une fois le sang et la graisse offerts à Jéhovah, les prêtres et l’offrant consommaient le sacrifice (Lévitique 3:17 ; 7:16-21 ; 19:5-8). Symboliquement, l’offrant, les prêtres et Jéhovah Dieu partageaient ainsi un repas, belle image des liens de paix qui les unissaient.
w00-F 15/8 19 par. 8
Des sacrifices de louange qui plaisent à Jéhovah
8 Que dire de l’auteur du sacrifice ? La Loi stipulait qu’il fallait être pur et sans souillure quand on venait devant Jéhovah. Pour que son holocauste ou son sacrifice de communion soit agréé, celui qui s’était souillé d’une manière ou d’une autre devait donc commencer par restaurer sa pureté aux yeux de Jéhovah en offrant un sacrifice pour le péché ou un sacrifice de culpabilité (Lévitique 5:1-6, 15, 17). Saisissons-nous l’importance de toujours rester purs aux yeux de Jéhovah ? Si nous voulons qu’il agrée notre culte, réparons rapidement toute infraction à ses lois en utilisant les moyens qu’il a prévus pour nous aider : “ les anciens de la congrégation ” et le “ sacrifice propitiatoire pour nos péchés ”, Jésus Christ. — Jacques 5:14 ; 1 Jean 2:1, 2.
Troa Sine Thel La Itre Mekune Ka Sisitria
it-1-F 889 par. 2
Feu
Au tabernacle et au temple. Le feu avait une place dans le culte pratiqué au tabernacle, puis au temple. Chaque matin et entre les deux soirs, le grand prêtre devait brûler de l’encens sur l’autel de l’encens (Ex 30:7, 8). La Loi de Dieu exigeait qu’on maintienne continuellement allumé le feu sur l’autel de l’holocauste (Lv 6:12, 13). Bien que largement acceptée, la tradition juive selon laquelle, au départ, le feu de l’autel fut miraculeusement allumé par Dieu n’est pas corroborée par les Écritures. Selon les premières instructions que Jéhovah donna à Moïse, les fils d’Aaron devaient “ mettre du feu sur l’autel et disposer du bois sur le feu ” avant d’y déposer le sacrifice (Lv 1:7, 8). C’est après l’installation de la prêtrise aaronique et, par conséquent, après qu’on eut offert les sacrifices d’installation, qu’un feu de Jéhovah, provenant sans doute du nuage au-dessus du tabernacle, consuma l’offrande qui se trouvait sur l’autel. Dès lors, ce feu miraculeux se manifesta, non en embrasant le bois sur l’autel, mais en ‘ consumant l’holocauste et les morceaux gras sur l’autel ’. Bien sûr, le feu qui continua à brûler ensuite sur l’autel résultait probablement à la fois du feu de Dieu et de celui qu’on y avait allumé auparavant (Lv 8:14–9:24). De même, un feu miraculeux envoyé par Jéhovah consuma les sacrifices aussitôt après la prière de Salomon lors de l’inauguration du temple.—2Ch 7:1 ; voir aussi Jg 6:21 ; 1R 18:21-39 ; 1Ch 21:26 pour d’autres cas où Jéhovah provoqua un feu miraculeux lorsqu’il accepta des offrandes de ses serviteurs.
si-F 27 par. 15
Livre de la Bible numéro 3—Lévitique
15 (3) Le sacrifice pour le péché est requis en cas de péché involontaire ou de péché commis par erreur. L’animal à offrir est fonction du genre de personne qui a péché et pour qui il faut faire propitiation : un prêtre, le peuple, un chef ou une personne ordinaire. À la différence de l’holocauste et du sacrifice de communion offerts volontairement en faveur d’un individu, le sacrifice pour le péché est obligatoire.—4:1-35 ; 6:24-30.
30 NOFEBA–6 DISEBA
ITRE TRENGAMO QA HNINE LA TUSI HMITRÖTR | LEVITIKO 8-9
“Hatrene Manathith Qaathei Iehova”
it-1-F 1189 par. 2
Installation
Moïse lava Aaron et ses fils, Nadab, Abihou, Éléazar et Ithamar (ou il leur prescrivit de se laver), au bassin de cuivre situé dans la cour, puis il revêtit Aaron de la magnifique tenue de grand prêtre (Nb 3:2, 3). Outre ces vêtements superbes, Aaron fut paré des accessoires représentant les qualités et les responsabilités de sa fonction. Après cela, Moïse oignit le tabernacle, son mobilier et tous ses ustensiles, ainsi que l’autel de l’holocauste, le bassin et les ustensiles pour le service, ce qui les sanctifia, ou mit à part, en vue d’être désormais utilisés exclusivement pour le service de Dieu. Enfin, Moïse oignit Aaron en lui versant de l’huile sur la tête.—Lv 8:6-12 ; Ex 30:22-33 ; Ps 133:2.
it-1-F 1190 par. 3
Installation
Le huitième jour, pleinement équipés et installés dans leur fonction, les prêtres officièrent (sans l’aide de Moïse) pour la première fois, en accomplissant un service de propitiation pour la nation d’Israël. Les Israélites avaient particulièrement besoin d’être purifiés, non seulement parce qu’ils étaient pécheurs par nature, mais aussi parce qu’ils avaient tout récemment désobéi dans l’affaire du veau d’or, ce qui leur avait valu la colère de Jéhovah (Lv 9:1-7 ; Ex 32:1-10). À la fin du premier service célébré par les prêtres nouvellement installés, Jéhovah manifesta son approbation et les confirma dans leur fonction en envoyant un feu miraculeux, sans doute sorti de la colonne de nuage au-dessus du tabernacle, feu qui dévora ce qui restait du sacrifice sur l’autel.—Lv 9:23, 24.
Itre Ini Qa Ngöne La Tusi Levitiko
13 Hnaafoane ini: Iehova a amanathithine la götrane ka mama ne la organizasio i Nyidrëti e celë fen. Hanawang la ka traqa lo 1512 M.P.K., ngöne lo kola acile la uma mano fene la wetre Sinai. (Eso. 40:17) Mose la ka elemekene la icasikeu, ngöne la kola acili Arona me itre nekö i angeic troa itretre huuj. Hnene la nöje Isaraela hna icasikeu, matre troa goeëne la itretre huuj troa tro fë la pane huuje i angatr. (Lev. 9:1-5) Nemene la aqane amamane Iehova laka, Nyidrëti a kapa la itretre huuj hna hnyipi acil? Ame la Arona me Mose a ase amanathithine la nöj, tro pi hi qa hnengödrai la eë i Iehova, troa dreuth asë la itre huuj.—E jë la Levitiko 9:23, 24.
Troa Sine Thel La Itre Mekune Ka Sisitria
Kepine Matre Tro Sa Hmitrötr
6 Nemene la aliene koi së enehila lo kola siëne ekö la itretre huuje i angetre Isaraela? Nyimu atr hne së hna ini Tusi kow ka öhne ka hape, hne së hna nyidrawa la ngönetrei së nge lolo la pengö së. Ketre, hne së pala hi hna nyidrawane la hnë hmi së. Ame la ketre ewekë, tre, loi e troa “pë ethane la hni” ne la itre ka ajane troa nyiyhlue i Iehova. (E jë la Salamo 24:3, 4; Isaia 2:2, 3.) Celë hi matre nyipi ewekë tro sa nyihlue i Iehova cememine la mekune me hni ka wië, memine fe la ngönetrei së ka puiloi. Loi e tro sa isa waipengö së lapa, matre tro sa atrehmekune ngöne la itre drai la itre ewekë ka tru nyine tro sa wenë amekötin ngöne la mele së, matre hmitrötre pala hi së me wië. (2 Korinito 13:5) Hanawange la ketre ceitun, tro la atr hna bapataisone hë, nge ka goeëne lapane la itre iatr ka sis, a sipu waipengöi angeice kö me hape, ‘Eni kö a amamane ka hape ka hmitrötre ni?’ Haawe, loi e tro angeic a thele ixatua matre tro angeic a hmaca qa ngöne la huliwa i angeic ka sis.—Iakobo 5:14
it-2-F 310 par. 5
Moïse
Dieu constitua Moïse médiateur de l’alliance de la Loi avec Israël, position d’intimité avec Dieu à laquelle aucun homme n’a plus jamais accédé, sinon Jésus Christ, le Médiateur de la nouvelle alliance. Avec le sang d’animaux sacrifiés, Moïse aspergea le livre de l’alliance, qui représentait Jéhovah, une “ partie contractante ”, et aspergea aussi le peuple (sans aucun doute les anciens qui le représentaient), l’autre “ partie contractante ”. Il lut le livre de l’alliance au peuple, qui répondit : “ Tout ce qu’a dit Jéhovah, nous sommes prêts à le faire et à obéir. ” (Ex 24:3-8 ; Hé 9:19). En qualité de médiateur, Moïse eut le privilège de diriger la construction du tabernacle et la fabrication de ses ustensiles, selon le modèle que Dieu lui avait donné, puis d’installer la prêtrise en oignant et le tabernacle et Aaron le grand prêtre avec l’huile de composition spéciale. Ensuite il dirigea les premiers services officiels des prêtres nouvellement consacrés.—Ex chap. 25-29 ; Lv chap. 8, 9.