Nos lecteurs nous écrivent
Remariages
Nous voulions vous dire merci pour les articles de la série “Les jeunes s’interrogent...” qui traitaient des remariages (8 juillet, 22 juillet et 8 août 1985). Il y a deux ans, ma maman s’est remariée, et au début je me faisais beaucoup de souci. Vos articles m’ont aidé à mieux comprendre mes sentiments et à voir ce que je devais faire pour l’unité de ma famille. Maintenant je sais qu’une famille comme la mienne peut être tout aussi solide qu’une autre.
B. A. (11 ans), États-Unis
Orientation professionnelle
Je suis responsable d’un établissement scolaire. Récemment, le directeur d’un collège provincial d’enseignement secondaire m’a invité à participer à une série de conférences d’orientation présentées par des membres de différentes professions devant 40 jeunes qui commencent leurs cours en novembre et qui se trouvent dans la période critique pour choisir une carrière. Pour mon allocution, qui devait durer un peu plus d’une heure, j’ai tiré tous mes renseignements de quatre numéros de Réveillez-vous!, et notamment des articles “Aller à l’université... ou apprendre un métier?” (22 janvier 1985) et “Les jeunes s’interrogent... Comment choisir une carrière?” (22 juin 1985). Les professeurs et le directeur m’ont félicité pour la clarté et la valeur pratique de mon exposé. Je pense toutefois que le mérite en revient à votre périodique, qui est vraiment édifiant et enrichissant.
J. C., Honduras
Les couples qui travaillent
En tant que femme qui travaille, je tenais à vous dire combien l’article “Les couples qui travaillent — La clé de la réussite” (8 mai 1985) m’a été précieux. Je ne comprenais pas pourquoi certains hommes avaient tant de mal à prendre part aux tâches domestiques. L’article m’a montré que ce qui n’est pas naturel pour quelqu’un peut lui échapper complètement, même si cela se voit autant qu’un évier plein de vaisselle sale au moment où je lave le linge. Mon mari et moi-même avons lu l’article ensemble. C’est cela, je crois, qui nous a permis de discuter de la question (sans pour autant nous disputer) et de prendre des dispositions susceptibles d’améliorer la situation. Nous vous remercions beaucoup tous les deux.
V. P., Brésil
Herpès
Quand j’ai lu votre article sur l’herpès (8 décembre 1984), je me suis demandé pourquoi vous n’aviez pas souligné que l’herpès ne touchait pas seulement les gens qui avaient une conduite sexuelle immorale. J’ai dû subir un dépistage avant une opération, et bien que je n’aie jamais eu de relations sexuelles illicites le test était positif.
C. D., États-Unis.
Il est vrai que l’on peut contracter l’herpès génital sans avoir une conduite sexuelle immorale. Nous l’avons d’ailleurs signalé dans les notes en bas de page du numéro précité (pages 4 et 7). Toutefois, il est de fait que l’herpès génital se transmet généralement par contact sexuel, et l’on croit que la généralisation de cette maladie est due à la débauche croissante à laquelle on assiste depuis quelques années. — Les éditeurs.