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  • g71 22/2 p. 16-20
  • Une preuve vivante que la paix sur la terre est possible

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  • Une preuve vivante que la paix sur la terre est possible
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Réveillez-vous ! 1971
g71 22/2 p. 16-20

Une preuve vivante que la paix sur la terre est possible

Les assemblées “Les hommes de bonne volonté” au Canada

LES dix assemblées tenues au Canada l’été dernier sous le thème “Les hommes de bonne volonté”, étaient un changement agréable pour toute personne lasse d’entendre parler de haines, d’émeutes, de crimes, de guerres, de toxicomanie, de l’accroissement des naissances illégitimes et des maladies vénériennes.

Ces assemblées constituaient pour tous les amis réfléchis de la justice l’assurance qu’il existe des gens qui, par leur conduite, sont la preuve vivante qu’un monde sans haine, sans crainte et sans guerres est possible.

Étant donné le total de 91 876 assistants, personne ne pouvait prétendre que ce qui se passait à ces assemblées était le fait d’une simple coïncidence ou d’un heureux hasard.

Les assistants désiraient apprendre comment être des “hommes de bonne volonté” de Dieu. Cette expression est tirée de la Bible, le Livre qui montre que l’homme doit se concilier la faveur ou bonne volonté divine, afin d’obtenir la vie et la paix éternelles. — Luc 2:13, 14.

La collaboration dans la paix

Assister aux dix assemblées aurait exigé un grand voyage, car les villes où elles ont eu lieu s’échelonnaient sur plus de six mille kilomètres, s’étendant d’une côte à l’autre du Canada. Inutile de dire que les préparatifs ont exigé un travail énorme.

À Amherst (Nouvelle-Écosse), par exemple, l’assistance étant plus nombreuse que prévu, on a eu du mal à trouver assez de chaises pour tout le monde. Les autorités scolaires avaient mis à la disposition des congressistes toutes les chaises de toutes les écoles situées dans un rayon de 140 kilomètres de la ville. Lorsqu’il devint évident qu’il n’y en aurait pas assez, les témoins en firent venir d’autres par camion de Halifax, qui se trouve à 220 kilomètres d’Amherst.

Pour organiser le travail à de telles assemblées, les témoins de Jéhovah recourent parfois aux mêmes méthodes qu’ils utilisent dans leur ministère public et qui ont déjà fait leurs preuves. C’est de cette façon que l’on effectua notamment le nettoyage du lieu de l’assemblée d’Edmonton, dans l’Alberta. On divisa le bâtiment en dix-sept “secteurs” que l’on répartit entre les dix-sept congrégations de la ville. Quand les volontaires se présentaient, on leur demandait simplement à quelle congrégation ils appartenaient, puis on les dirigeait vers le secteur approprié.

Les délégués à ces assemblées témoignaient d’un désir ardent et vraiment remarquable de servir leurs semblables. Afin d’agrémenter le menu de la cafétéria à l’assemblée de Prince George, en Colombie britannique, un témoin partit à la pêche dans son bateau et attrapa 1 270 kilos de saumon et de flétan. Il mit toute sa pêche à la disposition de ses frères chrétiens.

Quelquefois les efforts ne semblaient pas produire tout de suite les résultats espérés. À Sault-Sainte-Marie, dans l’Ontario, on déploya de grands efforts pour amener les autorités municipales à permettre l’installation de la cafétéria sur un terrain asphalté près du lieu de l’assemblée. Comme elles refusèrent d’accéder à cette requête, il a fallu chercher un autre terrain. Cependant, par la suite, les témoins furent très heureux que les choses se soient passées ainsi, car pendant l’assemblée la municipalité a dû faire défoncer le terrain asphalté en quatre endroits pour essayer de découvrir le siège d’une obstruction dans les égouts. Si donc la cafétéria avait été installée sur ce terrain, il aurait été nécessaire de la déplacer le premier jour de l’assemblée.

Le service du logement

Afin que de telles assemblées puissent avoir lieu, il faut trouver des logements pour les délégués. Des milliers de témoins ont pris part à la recherche de chambres, heureux de faire preuve ainsi d’hospitalité chrétienne.

L’université York de Toronto mit ses dortoirs à la disposition des organisateurs de l’assemblée dans cette ville ; ils ont pu y loger plusieurs centaines de congressistes. Des collèges et des universités de Sherbrooke (Québec), d’Edmonton et d’Amherst ont également offert des dortoirs. Ceux de l’université Mount Allison d’Amherst étaient assez spacieux pour héberger environ mille personnes.

Lorsqu’on se rendit compte que l’assistance prévue (2 500 délégués) serait largement dépassée à Amherst, on étendit les recherches jusqu’à Moncton, à une soixantaine de kilomètres. Une habitante de Moncton, qui avait d’abord refusé de loger des témoins, téléphona un peu plus tard au service du logement pour dire qu’elle avait changé d’avis. Elle déclara qu’en examinant ses mobiles elle avait dû admettre que son refus était motivé par des préjugés. Elle désirait à présent offrir des chambres. Mieux encore, elle ajouta qu’elle irait trouver ses voisines qui avaient refusé aussi pour la même raison. Pendant les quelques jours suivants elle téléphona à plusieurs reprises pour dire : “Venez voir Mme une telle, car elle veut bien loger quelqu’un.” Cette dame a trouvé ainsi des chambres pour vingt-cinq congressistes.

Le baptême

On a versé bien des larmes de joie à ces assemblées lorsque les délégués étreignaient et félicitaient les nouveaux membres de l’heureuse famille d’“hommes de bonne volonté” de Jéhovah. Il s’agissait de leurs fils, de leurs filles et de leurs amis qui s’étaient fait baptiser. À Sault-Sainte-Marie, la plupart des 207 candidats au baptême qui se levèrent pour répondre aux questions qu’on leur posa, étaient jeunes.

Néanmoins, de nombreuses personnes plus âgées se firent également baptiser. À Edmonton, deux stations de télévision diffusèrent des images de l’immersion. Les 208 candidats comprenaient un couple âgé de Rocky Mountain House, dans l’Alberta. Pendant de longues années, ces époux avaient recherché la vérité divine en examinant à cette fin diverses religions. Il y a environ un an ils commencèrent à étudier la Bible avec les témoins de Jéhovah. “Nous ne tâtonnons plus dans les ténèbres, déclara la femme, qui a soixante-douze ans. Nous sommes si heureux d’avoir enfin trouvé la vérité !” Son mari, âgé de quatre-vingts ans, dit : “J’ignorais que j’avais une si grande famille.”

Une habitante de Levis était parmi les 151 personnes baptisées à Sherbrooke. Elle étudiait la Bible depuis peu quand son mari commença à se montrer très opposé. Il menaça même de la mettre à la porte et de détruire ses écrits bibliques. Cependant, tout en s’occupant de son foyer, elle continuait d’étudier. Maintenant, elle était baptisée. Et son mari ? Il s’était fait baptiser six mois plus tôt ! En effet, un an auparavant, sa fillette de six ans lui avait demandé un soir de lui faire la lecture à l’heure du coucher. Il accéda à sa demande et elle lui remit le livre Du paradis perdu au paradis reconquis. Ce qu’il y lut éveilla son intérêt et il finit par accepter le manuel biblique intitulé La vérité qui conduit à la vie éternelle. Après avoir lu cet ouvrage il demanda qu’on l’aide à étudier la Bible et se fit baptiser en 1969.

On enregistra le plus grand nombre de baptêmes à Toronto, où 662 personnes ont témoigné ainsi de leur désir d’être des hommes de bonne volonté de Dieu. Aux dix assemblées, 2 012 nouveaux témoins en tout ont symbolisé par le baptême l’offrande de leur personne à Jéhovah, le Dieu qui donne la paix.

Plus de délégués que le nombre prévu

Au cœur de l’été, des tracteurs s’immobilisèrent, des cultivateurs quittèrent leurs champs et des familles de fermiers la prairie, afin de se rendre à l’assemblée de Regina. Beaucoup de ces délégués avaient dû commencer leurs préparatifs des semaines à l’avance pour pouvoir se libérer à ce moment-​là, mais ils ne regrettaient pas d’être venus. On s’attendait à environ 3 500 assistants. Par bonheur, de nombreux délégués s’étaient munis de fauteuils pliants. En effet, le dernier jour de l’assemblée on compta 5 533 personnes au discours public intitulé “La race humaine sera sauvée, — par le Royaume” !

Quiconque se mêlait aux foules de délégués à l’assemblée de Sault-Sainte-Marie (et il en allait de même pour les neuf autres assemblées), pouvait constater que la paix et le contentement y régnaient. La joie des congressistes était grande aussi, car le nombre d’assistants était beaucoup plus élevé que prévu. En effet, on en attendait environ 2 500, mais 11 054 écoutèrent le discours public.

Heureusement qu’on avait loué à Edmonton un bâtiment immense : l’Edmonton Gardens ! On attendait quelque 4 500 délégués, mais dès le premier jour il devint évident que les 7 000 places seraient occupées. La joie des assistants augmentait de pair avec leur nombre qui atteignit 8 255 (près du double des prévisions) le dernier jour.

À l’assemblée de langue française de Sherbrooke, 4 564 personnes écoutèrent le discours public au Palais des Sports, qui compte 4 200 places. Depuis le premier jour, l’assistance avait augmenté de quarante pour cent. À Amherst, où l’on attendait 2 500 délégués, 6 221 personnes se pressaient dans le lieu de l’assemblée. On peut se représenter l’impression faite par ce congrès dans une ville de 10 500 habitants. Ce fut la plus grande assemblée, de quelque genre que ce soit, qui ait jamais eu lieu dans les provinces maritimes.

On avait estimé qu’environ 16 000 personnes assisteraient à l’assemblée de Toronto, mais au discours public on en compta 31 272, donc près du double. Ce fut la plus grande des dix assemblées canadiennes. L’intérêt porté au message d’espérance de la Bible augmente à un rythme rapide, c’est pourquoi l’assistance à toutes ces assemblées dépassa les prévisions.

La publicité

Les moyens d’information accordèrent une grande publicité à ces assemblées. La station de radio CKCY de Sault-Sainte-Marie, craignant qu’en raison des foules tout le monde ne puisse entendre les discours, enregistra des extraits du programme afin de les diffuser. Le vendredi soir, cette station diffusa en direct en modulation de fréquence la représentation dramatique du livre biblique d’Esther, et en retransmit l’enregistrement le lendemain en modulation d’amplitude.

Des représentants du réseau français de la Canadian Broadcasting Company passèrent deux jours à l’assemblée de Sherbrooke pour filmer les parties les plus intéressantes du programme. Le deuxième jour, La Tribune consacra environ le tiers de sa première page à l’assemblée. Les jours suivants il y avait parfois une demi-page de photos ou davantage.

Commentaires sur la conduite paisible des délégués

Nombreux furent les commentaires louant le caractère paisible et le bon ordre des assemblées. La réaction des habitants de Sault-Sainte-Marie fut résumée par ces paroles d’un policier de cette localité. “Les témoins de Jéhovah ont fait régner dans notre ville une ambiance de paix.”

Une ménagère d’Amherst dit en parlant des témoins qu’elle avait hébergés : “Ne faites-​vous jamais de bruit, vous autres ? J’ai logé huit personnes pendant quatre jours et je me rendais à peine compte qu’elles étaient là.” Le propriétaire d’un motel observa : “Ce sont des gens admirables. Je n’ai jamais vu leurs pareils et je les recevrai toujours avec plaisir. (...) Il est évident que les témoins de Jéhovah ont quelque chose que nous n’avons pas.” Le chef de la police dit : “Ils peuvent revenir quand ils voudront, deux fois par an s’ils le désirent.”

Concernant le bon ordre et la propreté si évidente à l’assemblée de Prince George, un inspecteur de l’Hygiène publique déclara : “Sans doute êtes-​vous plus experts en la matière que moi.”

Un des fonctionnaires du stade de Toronto raconta que le jardinier était stupéfait, lorsqu’il arriva le lundi matin, de constater que “pas une seule fleur n’était abîmée”. Au cours de l’assemblée, un des gardiens du stade, qui parlait des témoins à un journaliste, montra du doigt un écriteau disant “Respectez la propreté des lieux”. “C’est la première fois que je vois des gens qui s’efforcent de le faire”, dit-​il.

Le Telegram de Toronto écrivit au sujet des congressistes : “L’honnêteté et l’intégrité des témoins ne font aucun doute. Quoi que l’on pense de ces gens — et beaucoup de personnes ont à leur sujet une opinion négative — on ne peut nier qu’ils mènent une vie exemplaire. Ils ont tous le même point de vue sur toutes les questions.” Le même journal disait dans d’autres numéros : “Ce sont les gens les plus aimables que l’on puisse rencontrer.” “Malgré les milliers de délégués, il n’y a aucune bousculade, aucun désordre, même pas de la mauvaise humeur à cause de la chaleur.” “Ils ne sont pas contre la patrie, mais tout simplement pour Jéhovah.” “Ils ne se soulèvent pas (...) et ne participent à aucune forme de séditiona.”

À mesure que le présent ordre de choses se détériore rapidement dans toutes les régions du globe, il devient évident pour toute personne réfléchie qu’il existe des gens différents des autres, des gens qui constituent une preuve vivante que la paix sur la terre est possible.

Que cette conduite pacifique soit fondée sur l’amour fut démontré lorsqu’un malheur frappa un délégué et sa famille à l’assemblée d’Amherst : leur caravane prit feu et ils perdirent tous leurs biens. Moins d’une demi-heure plus tard, on avait mis à leur disposition une autre caravane. Les témoins rassemblèrent des vêtements pour toute la famille, parents et enfants, et assez d’argent pour couvrir tous leurs frais pendant l’assemblée et leur permettre de rentrer chez eux.

Que prouvent ces assemblées ?

Ces assemblées ont été organisées principalement en vue de l’instruction et de l’édification des témoins de Jéhovah. Que signifient-​elles donc pour vous ?

Vous souvenez-​vous de certaines des remarques faites au sujet des témoins par d’autres personnes ? On a loué leur honnêteté et leur intégrité, et on les a qualifiés de “gens admirables”. Un photographe de la presse de Toronto n’en disconviendra sûrement pas. Il laissa sa voiture dans le parc de stationnement de l’assemblée, mais oublia d’enlever ses clés de la serrure du coffre. Or, celui-ci contenait du matériel photographique d’une valeur de plusieurs milliers de francs. Lorsqu’il se rendit compte de son oubli, cet homme retourna en toute hâte à sa voiture. Il trouva le coffre fermé à clé. Un témoin, devinant ce qui était arrivé, avait fermé le coffre et porté les clés au service des objets trouvés. Quel soulagement pour le photographe de les récupérer ! La vie ne serait-​elle pas beaucoup plus agréable si tout le monde faisait preuve d’une telle honnêteté ?

En ce qui concerne la propreté et le bon ordre des assemblées, un haut fonctionnaire municipal de Sherbrooke dit : “Un des conseillers municipaux visita l’assemblée. (...) Il déclara que c’était la première fois de sa vie qu’il voyait quatre mille personnes dans un bâtiment, et cependant il n’y avait aucun morceau de papier ou bout de cigarette par terre. Vous êtes les gens les plus propres et les plus ordonnés que j’aie jamais vus.” Ne serait-​il pas agréable de fréquenter toujours de telles personnes ?

Les propos d’un journaliste de Sherbrooke montrent que les témoins de Jéhovah connaissent une unité telle qu’il n’existe chez eux aucun “fossé entre les générations”. Il dit : “Le ‘profane’ qui s’aventurait dans le Palais des Sports avait aussitôt l’impression que les témoins de Jéhovah sont des gens pacifiques qui s’efforcent de conformer leur vie à la Bible. Des congrès auxquels des familles entières assistent sont quelque chose d’insolite. Et pourtant, à cette assemblée, jeunes et vieux se coudoyaient ; il y avait même des enfants en bas âge, trop jeunes pour comprendre.”

Le véritable christianisme supprime les barrières nationales et raciales dressées par l’égoïsme humain. C’est pourquoi, à ces assemblées, il n’y avait aucune discrimination raciale ou autre. Au contraire, on y organisa des sessions spéciales pour les nombreux immigrants devenus témoins de Jéhovah. À Vancouver, on compta 65 délégués grecs et 106 italiens. À Regina, 146 personnes assistaient aux réunions tenues en ukrainien, et à Winnipeg 209. À Sault-Sainte-Marie, il y avait 67 délégués d’expression finnoise, et à Edmonton 35 d’expression italienne. Le caractère cosmopolite de Toronto se reflétait dans les dispositions prises à l’assemblée pour donner le programme entier en italien à l’intention des 1 545 délégués parlant cette langue. En outre, les principaux discours furent reproduits en espagnol pour 111 assistants, en portugais pour 84 et en grec pour 334.

On comprend mieux le dévouement des délégués à ces assemblées lorsqu’on se rappelle que tous ne sont pas en bonne santé ou en mesure de se déplacer facilement. Quand on voit un septuagénaire souffrant d’un cancer persévérer dans sa résolution de se faire baptiser, on se rend compte des efforts que cet homme a dû faire pour parvenir à nouer ces relations intimes avec Dieu.

Étant donné que la terre sera peuplée de telles personnes après que Jéhovah Dieu l’aura purifiée au cours de la “grande tribulation” proche, peut-​on douter que la paix éternelle y régnera ? Il ressort de ce qui précède que déjà maintenant il existe des gens qui poursuivent la paix (I Pierre 3:8-11). Vous pouvez fréquenter ces amis de la paix non seulement à leurs grandes assemblées, mais également aux réunions hebdomadaires tenues dans leurs Salles du Royaume.

Pourquoi ne pas en faire l’expérience ? Pourquoi ne pas connaître déjà le bonheur, l’unité, la paix, et jouir de la compagnie saine de personnes d’une haute moralité ? Donnez-​vous la peine de découvrir pourquoi ces qualités existent et prospèrent chez les témoins de Jéhovah à une époque où elles font déplorablement défaut dans la société en général. Votre bonheur éternel et celui de votre famille en dépendent.

[Note]

a Le Telegram, numéros des 11, 25 et 28 juillet 1970.

[Illustration, page 17]

Le banquet préparé par Esther pour le roi de Perse et Haman : l’une des scènes de la représentation dramatique à l’assemblée de Sherbrooke (Québec).

[Illustration, page 18]

Une partie des 31 272 assistants à l’assemblée de Toronto, la plus grande de celles qui ont eu lieu au Canada sous le thème “Les hommes de bonne volonté”.

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