Pɔlu u gem areru diiya tɔn wɔru ge ga mɔru seewa ka Yuuban wirugibun wuswaaɔ ben mɛnnɔ yerɔ
1, 2. Mban sɔ̃na Pɔlu u Yerusalɛmu da, wahala yerà u ka yinna mi?
A gario français sɔɔ
2 A gario français sɔɔ
“Ba Gusunɔ siara” (Gɔrobun Kookoosu 21:18-20a)
3-5. (a) Berà Pɔlu u ka yinna Yerusalɛmuɔ, ka mba n gariya ba kua? (b) Sɔ̃ɔsi terà sa koo kpĩ su gawa Pɔlun mɛnnɔ ka Yerusalɛmun gurobun min di?
3 A gario français sɔɔ
4 A gario français sɔɔ
5 A gario français sɔɔ
Dabira tie ta “wooda bɔkua” (Gɔrobun Kookoosu 21:20b, 21)
6. Wahala yeràn gariya Pɔlu u nua?
6 A gario français sɔɔ
7, 8. (a) Yam waa kɔ̃su terà Yudea Kirisigiba raa mɔ? (b) Ben yam waa kɔ̃su te ta sɔ̃ɔsiwa ma ba ǹ sãa kirisigii naanɛgibu, mban sɔ̃?
7 A gario français sɔɔ
8 A gario français sɔɔ
“Ye ba nua wunɛn sɔ̃, n ǹ gem” (Gɔrobun Kookoosu 21:22-26)
9. Sɔ̃ɔsi terà Pɔlu u wɛ̃ Mɔwisin wooda sɔɔ?
9 A gario français sɔɔ
10. Amɔsunwa Pɔlu u ka sɔ̃ɔsi ma win yam waara kun saka sare wooda ka bangon swaa sɔɔ?
10 A gario français sɔɔ
11. Mba guro guroba Pɔlu sɔ̃ɔwa u ko, adama mba n ǹ daa weenɛ u ko? (A maa yora tem temgia mɛɛrio.)
11 A gario français sɔɔ
12. Amɔsunwa Pɔlu u sɔ̃ɔsi ma u kpeere u ka guro guro ben bwisi sɔmburu ko?
12 A gario français sɔɔ
Quand il n’y avait pas infraction aux principes bibliques, Paul cédait. Et toi ?
LA LOI ROMAINE ET LES CITOYENS ROMAINS
D’ordinaire, les autorités romaines se mêlaient peu des affaires des provinces. D’une manière générale, la loi juive régissait les affaires juives. Les Romains sont intervenus dans le cas de Paul seulement parce que l’émeute déclenchée par son apparition au Temple troublait l’ordre public.
Les autorités romaines avaient un pouvoir considérable sur les sujets ordinaires des provinces. Mais c’était différent quand il s’agissait de citoyens romains. La citoyenneté offrait à son possesseur certains privilèges admis et respectés dans tout l’empire. Ainsi, il était illégal de lier ou de battre un Romain qui n’était pas condamné, car ces traitements n’étaient jugés bons que pour les esclaves. Les citoyens romains avaient aussi le droit de faire appel des décisions d’un gouverneur de province devant l’empereur, à Rome.
Il y avait plusieurs façons d’obtenir la citoyenneté romaine. La première était l’hérédité. Les empereurs l’octroyaient parfois à des individus ou aux populations libres de villes ou de districts entiers en récompense de services rendus. Un esclave qui achetait sa liberté à un citoyen romain, un esclave libéré par un Romain, ou un vétéran de l’armée auxiliaire rendu à la vie civile devenaient eux-mêmes Romains. Apparemment, dans certaines circonstances, il était également possible d’acheter la citoyenneté. Ainsi, le commandant Claude Lysias a dit à Paul : « J’ai acheté très cher ces droits de citoyen. » Et Paul a répondu : « Moi, je les ai de naissance » (Actes 22:28). On en déduit que l’un des ancêtres masculins de Paul a acquis la citoyenneté romaine, mais on ignore dans quelles circonstances.
“N ǹ weenɛ win bweseru ta n wãa!” (Gɔrobun Kookoosu 21:27–22:30)
13. (a) Mban sɔ̃na Yuu gaba sannɔ seeya sãa yerɔ? (b) Amɔsunwa Pɔlun wãara ka yakiara?
13 A gario français sɔɔ
14, 15. (a) Mba Pɔlu u Yuuba tubusia? Mba Romun tabu sunɔ u kua u ka tuba yèn sɔ̃ ba Pɔlu seesimɔ?
14 A gario français sɔɔ
15 A gario français sɔɔ
LES BATAILLES JURIDIQUES DES TEMPS MODERNES
Comme l’apôtre Paul, les Témoins de Jéhovah cherchent depuis longtemps tous les recours légaux qui s’offrent à eux pour lutter contre les restrictions imposées à leur prédication. Avec zèle, ils ‘défendent la bonne nouvelle et la font reconnaître en justice’ (Phil. 1:7).
Durant les années 1920 et 1930, ils ont été arrêtés par centaines pour distribution de publications bibliques. Par exemple, en 1926, 897 affaires étaient en instance dans les tribunaux allemands. Le contentieux était tel qu’il est devenu nécessaire de créer un service juridique à la filiale d’Allemagne. Rien qu’aux États-Unis, durant les années 1930, on a compté des centaines d’arrestations par an pour prédication de maison en maison. En 1936, elles se sont élevées à 1 149. Devant la demande d’assistance, les frères des États-Unis ont créé eux aussi un service juridique. De 1933 à 1939, les Témoins de Roumanie ont fait l’objet de 530 poursuites. Mais leurs appels devant la cour suprême roumaine ont donné lieu à des décisions en leur faveur. On a observé des situations semblables dans bien d’autres pays.
D’autres difficultés juridiques ont surgi lorsque, pour motif de conscience, des chrétiens n’ont pas accepté de participer à des activités contraires à leur neutralité (Is. 2:2-4 ; Jean 17:14). Des adversaires les ont accusés faussement de sédition, ce qui a parfois entraîné l’interdiction totale de leur œuvre. Mais, au fil des ans, de nombreux gouvernements ont reconnu que les Témoins de Jéhovah ne représentaient pas une menace pour eux.
“Nɛ Falisiwa” (Gɔrobun Kookoosu 23:1-10)
16, 17. (a) A tubusio ye ya koora sanam mɛ Pɔlu u ka Yuuban guro gurobu gari kua mɛnnɔ yerɔ. (b) Saa ye ba nùn so, amɔsunwa Pɔlu u ka tii kawabun weenasia sɔ̃ɔsi?
16 A gario français sɔɔ
17 A gario français sɔɔ
Comme Paul, nous cherchons un terrain d’entente quand nous parlons à des gens d’une autre religion que nous.
18. Mban sɔ̃na Pɔlu u tii soka Falisi, amɔsunwa sa koo kpĩ su win weenasia swĩi swɛɛ gɛɛ sɔɔ?
18 A gario français sɔɔ
19. Mban sɔ̃na mɛnnɔ ge ga ǹ gea kue?
19 A gario français sɔɔ
LES SADDUCÉENS ET LES PHARISIENS
Le Sanhédrin (conseil administratif national et tribunal suprême des Juifs) était dominé par deux sectes rivales : les sadducéens et les pharisiens. Selon Flavius Josèphe, les pharisiens se différenciaient des sadducéens principalement en ce qu’ils voulaient imposer au peuple un grand nombre d’observances traditionnelles, alors que l’autre groupe n’estimait obligatoire que ce qu’on lisait dans la Loi de Moïse. Ces deux écoles de pensée étaient d’accord dans leur opposition à Jésus.
Il semble que les sadducéens, fondamentalement conservateurs, avaient des liens étroits avec la prêtrise, et qu’Anne et Caïphe, tous deux d’anciens grands prêtres, appartenaient à cette secte puissante (Actes 5:17). Josèphe précise toutefois que les enseignements sadducéens « ne parvena[ient] à convaincre que les riches » (Antiquités judaïques , trad. J. Chamonard).
Les pharisiens, eux, avaient une grande influence sur le petit peuple. Mais leurs idées, parmi lesquelles l’exigence d’une pureté cérémonielle extrême, rendaient pesante l’observance de la Loi. Contrairement aux sadducéens, ils attribuaient une grande importance au destin et croyaient qu’une âme survivait à la mort du corps, puis recevait une récompense ou un châtiment mérités pour ses vertus ou ses vices.